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Théorie critique et modernité négro-africaine

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Jean-Godefroy Bidima

Remerciements

Texte intégral

A mon père Godefroy BIDIMA
A ma mère Crescence AKOUMOU
et à ma bien aimée, “académiquement” remerciée plus bas.

1Le paradoxe d’un livre réside dans le fait qu’il se veut une œuvre individuelle tout en étant une élaboration collective. Nous sommes sensibles, avec déférence, à la bienveillance de ceux qui nous ont aidés.

2Nous remercions infiniment certains de nos professeurs de la Sorbonne pour la qualité de leurs enseignements. Nous pensons à Madame le Professeur Hélène Védrine qui a bien voulu diriger notre thèse de Doctorat tout en nous gratifiant de son estime, de son aide et de ses encouragements. Nous ne saurions oublier Monsieur le Professeur Olivier Bloch qui nous a fait l’honneur non seulement de nous admettre dans son groupe de recherches sur l’histoire du matérialisme de l’Université de Paris I, mais aussi de nous soutenir avec disponibilité et amitié dans nos orientations.

3Nous sommes redevables aux travaux effectués sur la Théorie Critique par les Professeurs Olivier Revault D’Allonnes et Marc Jimenez. Le Professeur Louis Sala-Molins nous a permis, à travers ses études sur la souffrance nègre, de voir le rapport entre le concept et la souffrance. Monsieur le Professeur Günther Mensching (Hamburg-Allemagne) et le Professeur Nicolas Tertulian nous ont gratifié de leur disponibilité avec simplicité et décence. Notre passage à l’Institut d’Histoire des Sciences en 1986 nous a permis d’apprécier, à travers nos questions sur les rapports Adorno-Popper, la compétence et la sympathie du Professeur Suzanne Bachelard. Que tous soient ici remerciés.

4Nous exprimons aussi notre gratitude au Conseil Scientifique de l’Université de Paris I-Panthéon-Sorbonne, à l’Institut Missio (Missionswissenschaftliches Institut) de Aachen (Allemagne) et aux Publications de la Sorbonne qui ont bien voulu apporter leurs concours à la publication de ce livre. A travers l’Institut Missio, nous remercions sincèrement Mgr. Jean B. Ama, évêque d’Ebolowa (Cameroun) par l’intermédiaire duquel nous avions obtenu une bourse d’études auprès de cette institution.

5Témoin de ce livre à l’état naissant, Mademoiselle Henriette Mbollé, étudiante en Doctorat d’études cinématographiques et audiovisuelles, dans un pourparler fécond et permanent, inspira certains passages à travers une interrogation et un encouragement hardis. Ayant beaucoup appris par elle, nous lui en savons gré.

6Les encouragements, l’amitié et le dévouement à travers des relectures et des discussions nous ont été d’un grand secours et qu’il nous soit ici permis de remercier Frédérique et Kevin Donovan, Claudine et Michel Trougnou. La Sorbonne nous a fait bénéficier des travaux de certains étudiants. Madame J anela Gosain, étudiante en Doctorat de Philosophie nous a donné l’occasion de secouer, avec douleur et élégance, notre dressage androcrate, tandis que Mademoiselle Scholastique Ngo Bitjocka, étudiante en Doctorat de Lettres, avec compétence, régularité et perspicacité, a enrichi notre réflexion sur la parataxe. Comment ne pas être sensible aux discussions sur la dialectique avec François Manga Akoa et Augustin De Souza Nono ? Qu’ils trouvent tous ici l’expression de notre reconnaissance.

7Notre pourparler avec la Théorie Critique a trouvé des encouragements à travers les échanges, la sympathie, la disponibilité et les informations recueillies qui font et feront continuer notre dialogue avec la Théorie Critique. A cet égard, nous remercions les Professeurs Stephen Eric Bronner (Université du NewBrunswick, U.S.A.) et Douglas Kellner (Université du Texas). La communauté philosophique Sud-Africaine, longtemps isolée, nous a fait l’honneur de mettre à notre disposition des informations utiles par le biais d’un échange qui s’avère fructueux avec les Professeurs Van der Meerwe (Stellenbosch), Patrik Giddy (Lesotho) et Van den Berg (Prétoria). Nos recherches sur la philosophie négroafricaine trouvent aussi un réconfort à travers l’expérience et la compétence de Jacques Moutaux (Inspecteur Général) et du Professeur Georges Ngal (Zaïre). Ceux-ci n’ont jamais ménagé leurs efforts pour encourager la jeune génération des philosophes africains, à ce titre, qu’ils soient ici remerciés.

8Nous remercions enfin nos amis et notre famille : Marie M. Andomzoa, Pius Azegue, Marie M. Bella, Elisabeth Bernard, Régine Bilounga, Nazaire Bitoto-Abeng, Alain Chambault, Alphonse Eloundou, Joseph Essindi, A. Clément Evina, Jean Forno, A. Fouda-Akoumou, Sylvain Germain, Maryline Gesret, Raymond Guillaneuf, Marie-Thérèse et Pierre Lefort, Yves Mbama, Marie M. Melingui, Eloi Messi, Bruno Mimbang, Joséphine Ndzengue, Monique Ngambe, Esther Njole, Benjamin Nkoe, M. Noah-Mvé, Marthe Nsizoa Bidima, N. N-Ondobo, Pius Ondoua, Auguste Owono-Kouma, Sandra Shapshay.

© Éditions de la Sorbonne, 1993

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