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D’une réforme à l’autre (816-934)

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Michèle Gaillard

Avant-propos

Texte intégral

1Cet ouvrage reprend une partie des travaux que j’ai présentés en novembre 2001 pour obtenir « l’Habilitation à diriger les recherches ». Il doit beaucoup à l’aide matérielle et au soutien moral de ceux qui m’ont entourée de près ou de loin pendant ces dix dernières années. Je pense en particulier à Michel Parisse, qui m’a encouragée et aidée tout au long de ce cheminement et dont l’infinie patience fut parfois mise à rude épreuve, et aussi aux participants de son séminaire de latin médiéval à l’université Paris I : ils ont consacré une partie de leur temps à la traduction des lettres de Frothaire de Toul et de la chronique de Saint-Mihiel que j’ai beaucoup utilisées. Certains, quoique engagés dans une entreprise similaire, n’ont pas mesuré leur temps pour m’apporter leur appui, matériel ou moral ; qu’ils en soient particulièrement remerciés. Ils se reconnaîtront.

2Ce travail a pu être mené à bien grâce à deux années de délégation auprès de l’UMR 5594 de l’université de Dijon, alors dirigée par Christian Sapin, dont l’amitié et la confiance m’ont permis de travailler en toute quiétude et grâce au soutien financier du Centre régional universitaire lorrain d’histoire (EA 3945, antenne de Metz). C’est aussi grâce à un environnement familial chaleureux et serein qu’il a pu prendre sa forme définitive ; ce que je dois à mon mari va donc bien au-delà des aides matérielles qu’il m’a apportées dans la relecture et le maniement de l’outil informatique.

3J’adresse aussi des remerciements particuliers à Monique Goullet (CNRS) qui a revu la plupart de mes traductions, à Élisabeth Mornet pour sa relecture attentive et exigeante, à Nicholas Brousseau (École nationale des Chartes) qui m’a appris à traiter les cartes par ordinateur et à Danielle Meddahi, ingénieur du laboratoire de cartographie de l’université de Metz qui en a assuré la mise au point définitive, ainsi qu’à mes collègues et aux étudiants de l’université de Metz qui m’ont si chaleureusement entourée depuis octobre 2002.

4Je dédie enfin cet ouvrage à la mémoire de Jean-Charles Picard, trop tôt disparu, qui, le premier, attira mon attention sur les problèmes posés par l’application de la réforme de Benoît d’Aniane.

© Éditions de la Sorbonne, 2006

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