Avant-propos
p. 7
Texte intégral
1Les vers cités en introduction, extraits du vingtième chant de L’Enfer de Dante sur le châtiment commun auquel sont condamnés, dans l’au-delà, les astrologues, devins, magiciens et sorcières, m’ont donné l’idée du sujet englobant de ce livre. Il s’agit de la version remaniée d’un mémoire d’habilitation à diriger des recherches, soutenu à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, le samedi 20 décembre 2003. Ce jour-là, Claude Gauvard, professeur à l’université Paris I et membre senior de l’Institut universitaire de France, m’a fait l’honneur de présenter mon dossier auprès d’un jury présidé par Jean-Philippe Genet, professeur à l’université Paris I et directeur du Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris. Les autres membres de ce jury étaient Colette Beaune, professeur à l’université Paris X-Nanterre, Jacques Chiffoleau, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, Danielle Jacquart, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (IVe section), et Agostino Paravicini Bagliani, professeur à l’université de Lausanne. Qu’ils soient tous ici remerciés pour leurs remarques et critiques qui ont contribué à transformer mon essai de synthèse en un véritable livre.
2Je tiens à exprimer ma vive reconnaissance envers Élisabeth Mornet, Julien Véronèse et Nicolas Weill-Parot, qui m’ont relu avec beaucoup de soin et de compétence. Ma gratitude va également aux nombreux étudiants et à mes collègues Guy Beaujouan, Henri Bresc, Charles Burnett, José Chabás, Florence Chave-Mahir, Franck Collard, Graziella Federici Vescovini, Véronique Gazeau, Benoît Grévin, Isabelle Heullant-Donat, David Juste, Benedek Láng, Christopher Lucken, Franck Mercier, Hélène Millet, Pierre Monnet, Philippe Morel, Martine Ostorero, Sophie Page, Vittoria Perrone Compagni, Emmanuel Poulie, Laura Ackerman Smoller, Julien Théry, Maaike Van der Lugt et Catherine Vincent, qui m’ont fourni des matériaux et des renseignements précieux que j’ai pu utiliser.
3Enfin, au seuil d’un volume où les femmes n’ont pas la part belle, il est bon de rappeler ce que je dois à certaines d’entre elles. Claude Gauvard a suscité ce travail et a généreusement contribué à sa publication. Marie-France, mon épouse, mes filles Nathalie, Florence et Isabelle, ainsi que Raymonde, ma belle-mère, m’ont supporté au quotidien, à tous les sens du terme. À chacune, je redis toute mon affection.
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