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« Y a ung grant desordre »

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Véronique Julerot

Remerciements

Texte intégral

1Ma rencontre avec la recherche a eu lieu lors de mon année de maîtrise sous la direction conjointe de Claude Gauvard et Bernard Guenée, initiation passionnante et enrichissante, participation modeste à l’étude des lettres de rémission et de la grâce royale à la fin du Moyen Âge. C’est le souvenir vivace de cette expérience qui m’a incitée à entreprendre, bien des années plus tard, une thèse – travail ardu certes, mais occasion de pleinement profiter du plaisir de la recherche. Si j’ai pu le faire, c’est grâce à la confiance que m’a accordée Claude Gauvard en m’acceptant à nouveau comme élève. Qu’elle soit ici remerciée pour sa disponibilité, ses encouragements, ses conseils et sa manière énergique de me remettre sur le droit chemin.

2Un tel travail n’aurait pu être possible sans les années d’ATER dont j’ai bénéficié à l’université de Grenoble, où Pierrette Paravy m’a chaleureusement accueillie, et où René Verdier m’a prodigué les conseils nécessaires à cette nouvelle expérience professionnelle. Il n’aurait pu l’être non plus sans l’amitié et la confiance d’Anne Lemonde-Santamaria qui m’ont aidée à progresser plus sûrement dans cette aventure.

3La participation aux activités du laboratoire du LAMOP, et notamment au programme des Fasti eclesiae gallicanae dirigé par Hélène Millet, m’a donné de rencontrer de nombreux chercheurs qui m’ont apporté informations et conseils, notamment Pierre Desportes, Anne Hubert-Massoni, Corinne Leveleux-Teixeira, Monique Maillard-Luypaert, Pascal Montaubin et Vincent Tabbagh. Les bourses accordées par l’École française de Rome m’ont fait découvrir un lieu de travail exceptionnel et permis d’élargir l’angle d’attaque de ce travail. Que François Bougard en soit remercié. Je remercie aussi le personnel des différents centres d’archives et des bibliothèques, notamment de la Bibliothèque universitaire et de la Bibliothèque municipale de Grenoble, pour leur gentillesse, leur compétence et leur accueil.

4Le livre, que ce travail universitaire est devenu, doit beaucoup aux conseils de Claude Gauvard et des autres membres du jury devant lequel j’ai soutenu ma thèse en 2002 – Gérard Giordanengo, Hélène Millet, Pierrette Paravy, Jacques Verger –, à la relecture exigeante qu’ont accepté d’en faire Pierrette Paravy et Gérard Giordanengo, mais aussi à l’infatigable et bénéfique souci de correction et de perfection qui anime Élisabeth Mornet, directrice des Publications de la Sorbonne lorsque mon projet y fut agréé. Le détachement que j’ai obtenu pendant deux années au sein du LAMOP, dont je remercie chaleureusement le directeur, Jean-Philippe Genet, a permis que ce texte mûrisse encore grâce aux travaux de recherche que j’y ai accomplis.

5Enfin, le soutien de mes amis Marie-Cécile et Raymond Ferrando-Potier, Laurence Rivière Ciavaldini, Ilaria Taddei, Valérie et Pascal Blain, Monique Viard, l’affection, la patience et surtout la bonne humeur de Guy, Chloé, Clémentine, Benjamin, Paulette, Françoise, Jean-Marc, Lisa et Anne ont largement contribué à l’heureuse issue de cette aventure.

6Que tous acceptent ici ma gratitude.

© Éditions de la Sorbonne, 2006

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