Les lumières de la guerre, Volume 2
| ,Les auteurs
Texte intégral
1Grégoire Binois est titulaire d’un master de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et de l’École normale supérieure de Cachan. Son mémoire, préparé sous la direction d’Hervé Drévillon, porte sur l’espace de la guerre et la géographie militaire pendant les campagnes d’Allemagne de la guerre de Succession de Pologne.
2Hervé Drévillon est professeur d’histoire moderne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et directeur de l’Institut des études sur la guerre et la paix. Il étudie l’histoire des pratiques et des cultures de guerre ainsi que l’histoire sociale de l’État et des institutions militaires. Il est notamment l’auteur de L’impôt du sang. Le métier des armes sous Louis xiv, Paris, Tallandier, 2005, Batailles. Scènes de guerre de la Table ronde aux tranchées, Paris, Seuil, 2007 et L’Individu et la guerre, Paris, Belin, 2013.
3Bertrand Fonck, archiviste paléographe et docteur en histoire, est conservateur du patrimoine au Service historique de la Défense (département des archives définitives). Il est l’auteur de : Le maréchal de Luxembourg et le commandement des armées au temps de Louis XIV, Seyssel, Champ Vallon, 2014, et de plusieurs articles et contributions sur l’histoire militaire et diplomatique de la période moderne. Il a codirigé avec Laurent Veyssière La guerre de Sept Ans en Nouvelle-France (2011) et La fin de la Nouvelle-France (2013), et, avec Hervé Drévillon et Michel Roucaud, Guerres et armées napoléoniennes. Nouveaux regards (2013).
4Bernard Gainot est agrégé normalien, maître de conférences honoraire en histoire moderne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et professeur associé aux Écoles militaires de Saint-Cyr Coetquidan. Ses travaux portent plus particulièrement sur les guerres coloniales et les guerres révolutionnaires du xviiie siècle. Il a notamment publié Les officiers de couleur dans les armées de la République et de l’Empire (1792-1815), Paris, Karthala, 2007 et 14 juin 1800, Marengo (en collaboration avec Bruno Ciotti), Clermont-Ferrand, Les Éditions Maisons, 2010.
5Jean-Charles Gendre est titulaire d’une licence d’histoire de l’université de Franche-Comté. En 2012, il a soutenu son mémoire de master 1, intitulé La campagne de 1812, regards croisés franco-russes, sous la direction de Bernard Gainot, à l’Institut d’histoire de la Révolution française de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il poursuit actuellement ses recherches sous la direction de Marie-Pierre Rey au Centre de recherche sur l’histoire des Slaves.
6Arnaud Guinier est agrégé d’histoire et ancien élève de l’École normale supérieure. Actuellement pensionnaire à la Fondation Thiers et rattaché à l’Institut d’histoire moderne et contemporaine, il est l’auteur de L’honneur du soldat. Éthique martiale et discipline guerrière dans la France des Lumières et de différents articles portant sur la formation et la construction du militaire à l’époque des Lumières.
7Nicolas Homshaw a suivi une formation scientifique. Il se consacre maintenant depuis plusieurs années à l’étude de l’architecture et de l’urbanisme en Basse-Normandie, du Moyen Âge à l’époque moderne. Actuellement, il termine, dans le cadre du Centre de recherche d’histoire moderne (CRHM) de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et sous la direction du professeur Hervé Drévillon, une thèse d’histoire portant sur les enceintes de la ville de Caen et leurs effets de paroi (xie-xviie siècle).
8Cécile Peter est titulaire d’une maîtrise de médiation culturelle de l’université Paris 3 Sorbonne nouvelle et d’un master d’histoire de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle prépare actuellement une thèse d’histoire à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sous la direction d’Hervé Drévillon portant sur les relations diplomatiques franco-suédoises dans la seconde moitié du xviie siècle et au début du xviiie siècle. Elle est par ailleurs doctorante-allocataire de l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM).
9Luc Ramotowski est agrégé d’histoire. Il a soutenu en 2003 un mémoire de maîtrise sous la direction de Claude Michaud, Regards croisés sur la guerre de Livonie (1558-1582). Sa participation la même année au séminaire de l’EHESS « Naissance d’une monarchie nationale et formation d’un État russe (milieu du xive-milieu du xvie) dans un contexte européen », a donné lieu à la publication d’un article dans le numéro 42 des Cahiers du monde russe, intitulé « L’image du pouvoir monarchique dans les relations entre la Russie et la Pologne-Lituanie ». Il prépare actuellement une thèse à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sous la direction d’Hervé Drévillon sur la guerre de Succession de Pologne de 1733.
10Michel Roucaud est responsable des fonds privés napoléoniens au Service historique de la Défense. Spécialiste de l’histoire militaire de la Révolution et l’Empire, il a publié plusieurs articles et ouvrages sur cette période, en particulier Les contrôles de signalements des demi-brigades de 1re formation, 1793. Répertoire et historiques (2010, avec Jean-Paul Bertaud), Du Niémen à la Bérézina. Témoignages et lettres de soldats français sur la campagne de Russie, avec François Houdecek, et en codirection le portfolio sur La Grande Armée à travers les collections du SHD (2012). Doctorant en histoire de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ses recherches portent sur le renseignement opérationnel dans les armées de Napoléon. Il est chef d’escadron de la réserve opérationnelle de gendarmerie.
11Pierre Rouster est certifié et titulaire d’un master d’histoire moderne préparé à l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne sous la direction d’Hervé Drévillon. Il travaille sur les aspects logistiques et organisationnels des armées de Louis xiv, qu’il aborde d’un point de vue politique, administratif, militaire, financier et économique, afin de mieux comprendre la manière dont une campagne militaire se déroule à cette époque.
© Éditions de la Sorbonne, 2015