Table des matières

• 1.1. LE MODÈLE DE LA MAXIMISATION DE L’UTILITÉ COMME FORMALISME TAUTOLOGIQUE
• 1.2. DÉCOMPOSITION DU CHOIX MAXIMISATEUR D’UTILITÉ ORDINALE
• 1.3 LES DEUX CONCEPTIONS DE LA MAXIMISATION DE L’UTILITÉ
• 1.4. RATIONALITÉ MAXIMISATRICE ET RATIONALITÉ LIMITÉE
• 1.4.1. LE DÉBAT SUR LA « CONVERGENCE » DES MODÈLES DE RATIONALITÉ LIMITÉE VERS LE MODÈLE DE LA MAXIMISATION
• (i) La question de la convergence posée au sein de la conception formelle du modèle de maximisation :
• (ii) La question de la convergence posée au sein de la conception substantielle du modèle de la maximisation :
• 1.4.2. LE DÉBAT SUR LA RÉDUCTIBILITÉ DE LA RATIONALITÉ LIMITÉE A LA RATIONALITÉ MAXIMISATRICE
• (i) Le débat au sein de la conception formelle
• (ii) Le débat au sein de la conception substantielle
• 1.5. CONCLUSION

• 2.1. DU SURPLUS MARSHALLIEN AUX DEUX SURPLUS HICKSIENS
• 2.2. PREMIÈRE MESURE DE LA VALEUR : LE SURPLUS COMPENSATEUR MESURÉ MONÉTAIREMENT PAR LE CONSENTEMENT A RECEVOIR
• 2.3. SECONDE MESURE DE LA VALEUR : LE SURPLUS ÉQUIVALENT MESURÉ MONÉTAIREMENT PAR LE CONSENTEMENT A PAYER

(ampleur pratique et premières explications théoriques)

• 3.1. LES DONNÉES EXPÉRIMENTALES
• 3.2. PREMIÈRES TENTATIVES D’EXPLICATION DE LA DIVERGENCE ENTRE SURPLUS ÉQUIVALENT ET SURPLUS COMPENSATEUR
• 3.3. RECHERCHE DES CAUSES DE LA DIVERGENCE ENTRE SURPLUS ÉQUIVALENT ET SURPLUS COMPENSATEUR
• 3.4. CRITIQUE DE L’ANALYSE DE HANEMANN

• 5.1. THÈSE : L’UTILITÉ MARGINALE DU REVENU AU SENS DONNE PAR L’AXIOMATIQUE DE LA MAXIMISATION DE L’UTILITÉ EST PAR DÉFINITION DÉCROISSANTE
• 5.2. L’UTILITÉ MARGINALE DU REVENU DÉFINITION D’UN SENS COMMUN NON AXIOMATIQUE
• 5.3. RAISONNEMENT EMPIRIQUE SUR L’INFLUENCE DE LA DÉCROISSANCE DE L’UTILITÉ MARGINALE DU REVENU SUR LA DIVERGENCE ENTRE CAP ET CAR
• 5.4. ILLUSTRATION EXPÉRIMENTALE : STEEVENS ET ALII (1991)
• 5.5. REMARQUE : LA DÉCROISSANCE DE L’UTILITÉ MARGINALE DU REVENU ET LE PROBLÈME DE LA VALEUR DE L’UNITE DE MESURE DE LA VALEUR

• 6.1. DÉFINITION FORMELLE
• 6.2. « VALEUR-UTILITÉ » ET « VALEUR-ÉTHIQUE »
• 6.3. MESURE DE LA VALEUR : SENS FORMEL, SENS SUBSTANTIEL
• 6.4. MESURE DE LA VALEUR : SENS FORMEL
• 6.5. MESURE DE LA VALEUR : SENS SUBSTANTIEL

• 7.1. LES BIAIS RELATIONNELS
• LE BIAIS LIÉ A L’ENCHÈRE DE DÉPART
• 7.2. LE BIAIS DE FOCALISATION
• LE BIAIS D’INCLUSION
• L’EFFET DE RANG
• LA « NON ADDITIVITÉ DES VALEURS »
• LA NON-PLAUSIBILITÉ DES VALEURS
• LES EXPLICATIONS TRADITIONNELLEMENT DONNÉES A CES BIAIS
• Explication par la décroissance de l’utilité marginale de l’environnement
• Explication par la théorie de la « satisfaction morale »
• Explication par le biais informationnel
• EXPLICATION PAR LE BIAIS DE FOCALISATION
• LES PROCÉDURES DE SIMPLIFICATION DE LA DÉCISION UTILISÉES PAR LES INDIVIDUS POUR RATIONALISER L’ALLOCATION DE LEUR BUDGET LORS DE L’ACHAT DES BIENS MARCHANDS :
• L’ABSENCE DE CES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE SIMPLIFICATION DES CHOIX LORS DE L’ÉVALUATION DES BIENS HORS MARCHE
• SYNTHÈSE : L’EFFET DE FOCALISATION
• CONCLUSION : LE CONCEPT DE SURPLUS DU CONSOMMATEUR EST MAL ADAPTE AUX BIENS NON-MARCHANDS

• 9.1. CONSÉQUENCE : LA RELATIVITÉ DES NOTIONS « D’AUGMENTATION » ET DE « DIMINUTION » DE LA RICHESSE TOTALE
• 9.2. LE CHOIX ENTRE CAP ET CAR : CRITIQUE DE LA « NEW PROPERTY RIGHTS APPROACH » DE MITCHELL ET CARSON