Table des matières
Paul Edwards, Élodie Grossi et Paul Schor
RemerciementsPaul Edwards, Élodie Grossi et Paul Schor
Introduction. Punk is Dead, Long Live Punk and Post-Punk !Faire une histoire sociale des mouvements punk et post-punk au xxie siècle
Matthew Worley
Séraphine Drozek (trad.)
« While the world was dying, did you wonder why ? » :« Quand le monde se mourait, est-ce que tu t’es demandé pourquoi ? » Le punk, la politique et les (fan) zines britanniques, 1976-1984
- « Pourquoi lire ça quand tu peux faire le tien !!! »
- « La liberté est précieuse, la plupart des gens ne sont pas libres, ils souffrent en silence loin de nos écrans télé »
- Les magazines rock‘n’roll du monde moderne
- Le rêve impossible...
- « De toute façon, j’aime pas les fanzines, ils sont ennuyeux à lire et c’est pas constructif, mais c’est mieux que The Sun »
Steve Shepherd
Paul Edwards (trad.)
Sid Vicious Is IrrelevantEntretien avec Steve Shepherd
- Premières années
- Style vestimentaire
- La musique à l’école
- Groupes locaux, identités locales
- Politique locale, politique de gauche
- Démographie des spectateurs : classe moyenne inférieure et école d’art ?
- Masculinité, hypermasculinité, Oi !
- Le punk historique et l’esprit du punk
- Music Force et le Manchester Musicians Collective
- L’avant-garde punk/post-punk : une affaire de milieux plus que d’individus isolés
- Plusieurs formes artistiques dans la constitution du punk
- L’âge adulte
- Archives punk et parcours personnel de collectionneur de fanzines et de disques
- Punkacademics
Pierre Raboud
Comment échapper à l’ennui : la scène punk suisse face au dilemme des mobilisations (1976-1982)Simone Tosoni
Fabien Scotti (trad.)
« Enactment » du gothique à Milan (Italie) : réappropriations locales d’une sous-culture transnationale dans les années 80Djordje Sredanovic
Huligani dangereux : imaginaires « new punk wave » entre l’Europe de l’Est et l’Europe de l’OuestPaul Schor
« Si l’on n’écrit pas notre histoire, ce sera, comme d’habitude, les rock-critics et les ennemis qui l’écriront »Entretien avec Marsu
- Parcours biographique
- Découverte de la musique punk au lycée
- Arrivée en 78-79 à Paris, constitution du réseau punk et ses lieux en France
- Entre scène underground et scène nationale : les ventes de disques en boutiques indépendantes, supermarchés, et par correspondance
- Les concerts et la violence ritualisée des pogos
- La masculinité et le punk
- Expérimentations punk et post-punk : avant-garde sonore et visuelle
- L’entrée dans la carrière punk à plein temps et la marginalité
- Punk, world music, hip-hop et rap
- Segmentation du public par salles et circulation du hip-hop en France
- Être directeur de label : archiver le public punk et faire de l’archéologie du contemporain
- Dépolitisation du punk : les Bérus, les médias mainstream et les « différentes générations » de publics
- Le rôle du manager
- Le punk comme école de formation politique ? L’image que les groupes se fabriquent a posteriori
- Intérêt académique du punk aujourd’hui
Pierig Humeau
Conditions sociales d’entrées et vieillissement politico-artistique dans l’espace punk « indépendant » françaisChristophe Broqua et Vincent Douris
Musiques « post-industrielles » en France dans les années 1980 : une scène épistolaireMichael Stewart Foley
Guérillas urbaines : la politique (sans posture) des premiers punks de San FranciscoLaurence Estanove
Pascale Marie Deschamps (trad.)
« Doing our own thing » : la légende Postcard de Glasgow et l’attitude de la jeune ÉcosseDjemila Zeneidi
Le wagon 1997-2004 (Saint-Brieuc) : habiter la scène pour rendre le monde vivable- La scène : seule entrée possible dans la logique de l’enquête et dans l’histoire du wagon
- « Viens aux concerts », là où commence l’enquête
- À la source du Punk BZH
- « Kill the poor » : l’art et la manière de s’engager dans le punk
- « Plouc City Attacked by Punks » : la naissance d’une lutte
- Backstage : les motifs biographiques de l’engagement punk
- Le wagon : un territoire de reconnaissance
- Relations de reconnaissance et territoire
- La fin du territoire, l’effondrement du groupe
- Conclusion