Tous crédits : Mission archéologique française de Kition (sauf mention contraire). Dessins : A. South‑Todd, avec S. Marquié pour le chapitre 7. Plans, relevés et coupes : O. Callot. Photographies : A. Caubet, V. Matoïan, B. Yon ; pour le chapitre 8 : Cl. Capelli et R. Cabella.

Tableaux

Chapitre 4. Le bassin portuaire

Tabl. 1 – Calibration des datations présentées dans Dalongeville et al. 2000 à l’aide de la courbe de calibration Marine 13 (Reimer et al. 2013) : p. 155

Chapitre 7. Le mobilier non amphorique

Tabl. 1 – Quantification globale des céramiques issues du comblement du bassin portuaire en Nombre de restes (NR) et en Nombre minimum d’individus (NMI) : p. 207

Tabl. 2 – Les catégories de la céramique fine (en NR et NMI) : p. 208

Tabl. 3 – Répertoire typologique de l’Eastern sigillata A (en NMI) : p. 211

Tabl. 4 – Répertoire typologique de la Cypriot sigillata (en NMI) : p. 212

Tabl. 5 – Répartition par provenance de la céramique culinaire (en NR et NMI) : p. 215

Tabl. 6 – La céramique culinaire chypriote : correspondance entre les pâtes et les types (en NMI) : p. 216

Tabl. 7 – Répertoire morphologique de la céramique culinaire par origine (en NMI) : p. 222

Tabl. 8 – Répartition par provenance de la céramique commune claire (en NMI) : p. 223

Tabl. 9 – Répertoire morphologique de la céramique commune par origine (en NMI) : p. 224

Tabl. 10 – La céramique commune chypriote : correspondance entre les groupes de pâte et les types (en NMI) : p. 225

Tabl. 11 – Répartition par zone de production des céramiques (en NMI) : p. 233

Chapitre 8. Analyses pétrographiques préliminaires sur les productions de céramique commune et culinaire du comblement

Tabl. 1 – Liste des échantillons analysés, présentés selon la classification en familles et groupes, avec les principales caractéristiques pétrographiques et typologiques et les hypothèses de provenance : p. 292

Figures

Introduction

Fig. 1 – Les fouilles du site de Bamboula à Larnaca (SIG de Kition, A. Rabot, 2020) : p. 12

Fig. 2 – Plan schématique de la fouille, état 1998. S. = sondage ; C. = carottage (O. Callot) : p. 13

Fig. 3 – Les neosoikoi au nord du sanctuaire, état 1996, et les tennis qui empiètent sur la partie nord du bassin portuaire : p. 14

Fig. 4 – Fouille « sèche », Annie Caubet, Jean‑François Salles : p. 14

Fig. 5 – Fouille « sèche », Olivier Callot : p. 15

Fig. 6 – Fouille « humide », Yves Calvet : p. 15

Fig. 7 – Fouille « humide », Jean‑François Salles : p. 16

Fig. 8 – Enlèvement des déblais boueux. À gauche de la pelle mécanique, Jean‑Christophe Sourisseau, Jean‑François Salles (en haut), Andreas Savvas (au premier plan) : p. 16

Fig. 9 – Partie sud‑ouest des neosoikoi. Niveau de l’eau en octobre 1993 : p. 17

Fig. 10 – Végétation liée à la salinité du sol, Andreas Savvas, Rémi Dalongeville : p. 17

Fig. 11 – Mise en marche des pompes le matin avant la fouille, pour vider les sondages qui se sont remplis pendant la nuit, Marguerite Yon, Jean‑Christophe Sourisseau : p. 18

Fig. 12 – Sondage après pompage, Rémi Dalongeville : p. 18

Fig. 13 – Découverte des fondations d’un pilier de la 7^e rangée, Christophe Morhange, Jean‑Christophe Sourisseau : p. 18

Chapitre 1. L’évolution de l’environnement de Kition‑Bamboula : état de la question

Fig. 1 – Localisation du site archéologique de Kition‑Bamboula (Larnaca) dans son environnement géologique (d’après Morhange et al. 2000, fig. 1, DAO P. Pentsch) : p. 26

Fig. 2 – Méthodologie développée, du terrain au laboratoire (DAO H. Tronchère) : p. 29

Fig. 3 – A : Littoral Mazotos‑Kiti, plage holocène et tombes de l’âge du Bronze. B : Perivolia‑Mazotos est. C : Littoral Mazotos‑Kiti (d’après Dalongeville et al. 2000, fig. 2, 3 et 4, modifiées par S. Colin) : p. 37

Fig. 4 – Profil de Dekeleia. L’ensemble I correspond au Pléistocene (Tyrrhénien) ; l’ensemble II regroupe les trois épisodes PH 1, PH 2 et PH 3 (d’après Dalongeville et al. 2000, fig. 7, modifiée par S. Colin) : p. 38

Fig. 5 – Localisation des carottages, Kition‑Bamboula (source carte de l’Amirauté, Larnaca, Hydrographic office, n° 848, 1992, DAO P. Pentsch) : p. 41

Fig. 6 – Carotte VI, bassin portuaire de Kition‑Bamboula (DAO P. Pentsch) : p. 42

Fig. 7 – Transect chronostratigraphique parallèle à la ligne de rivage (d’après Bony et al. 2016, fig. 5, modifiée par S. Colin) : p. 45

Fig. 8 – « Sallina » : l’exploitation des salines (lacs salés de Larnaca) et l’église Saint‑Lazare, miniature de K. Grünemberg, 1486 (d’après Yon 2011, p. 25, fig. 2) : p. 46

Fig. 9 – En pointillés orange, les secteurs, dans leur environnement actuel et à leur échelle respective, représentés sur la fig. 10. Au nord, les secteurs de Kition‑Kathari et Kition‑Bamboula sont densément urbanisés ; au sud, les lacs salés de Larnaca sont entourés de cultures et d’un tissu urbain plus lâche au sein duquel l’aéroport de Larnaca est implanté (DAO J.‑Ph. Goiran, S. Colin) : p. 47

Fig. 10a – Évolution des paysages côtiers à Kition‑Bamboula du II^e millénaire av. J.‑C. à la fin de l’époque hellénistique (DAO J.‑Ph. Goiran, S. Colin) : p. 48

Fig. 10b – Évolution des paysages côtiers à Kition‑Bamboula de l’époque romaine à aujourd’hui (DAO J.‑Ph. Goiran, S. Colin) : p. 49

Chapitre 2. Histoire du site de Bamboula

Fig. 1 – Le quartier du musée et du jardin public de Bamboula à Larnaca, entre les rues Kimonos, Gjerstad et Kilkis (SIG de Kition, A. Rabot, 2020) : p. 56

Fig. 2 – Plan schématique de Larnaca (O. Callot, DAO A. Rabot) : p. 57

Fig. 3 – Plan simplifié des vestiges mis au jour par la fouille de la mission française (état en 1987, O. Callot). Le sanctuaire entre le Bâtiment sud et les neosoikoi : p. 60

Fig. 4 – Relevé des vestiges mis au jour par la fouille de la mission française (état en 1987, O. Callot) : p. 61

Fig. 5 – La fouille au nord de la Bamboula vers le sud‑est, 2018. Au premier plan, les niveaux construits supérieurs datent du xi^e s. À l’arrière‑plan, le rocher et le départ du bassin portuaire, les puits du Bronze récent : p. 63

Fig. 6 – Puits à roue élévatrice d’époque impériale vu vers l’est, 2018 : p. 63

Chapitre 3. Les cales à bateaux

Fig. 1 – La fouille après la campagne de 1984. À droite : tranchée 436 et face sud du mur 432 : p. 70

Fig. 2 – La fouille après la campagne de 1985. Restes du mur 432 et série de petits « bassins » en gypse accolés sur sa face nord : p. 71

Fig. 3 – Raccords entre des fragments provenant de niveaux situés au nord et au sud de la tranchée 436 : p. 72

Fig. 4 – Le bâtiment, après la campagne de 1987 : p. 73

Fig. 5 – Le bâtiment après la campagne de 1988 : p. 73

Fig. 6 – Les premiers pompages en 1990 : rampes 494 et 731 : p. 74

Fig. 7 – Les restes du pilier 780 dans un sondage en I 11/3‑4, 1996 : p. 76

Fig. 8 – Plan simplifié des vestiges découverts, après la campagne de 2021. Les zones fouillées sont encadrées en rouge (A. Rabot) : p. 76

Fig. 9 – Les sondages implantés dans la partie nord des neoria en 1997 : p. 77

Fig. 10 – Fouille de la tête de rampe 731, en 1998. États III (briques) et II : p. 78

Fig. 11 – Mobilier des niveaux antérieurs au bâtiment : p. 87

Fig. 12 – Mobilier des niveaux antérieurs au bâtiment : p. 88

Fig. 13 – Mobilier des niveaux antérieurs au bâtiment : p. 89

Fig. 14 – Faciès céramique de l’état I : p. 91

Fig. 15 – Faciès céramique de l’état II : p. 92

Fig. 16 – Faciès céramique de l’état III : p. 99

Fig. 17 – Faciès céramique de l’état III : p. 100

Fig. 18 – Faciès céramique de l’état III : p. 101

Fig. 19 – Faciès céramique de l’état III : p. 102

Fig. 20 – Faciès céramique de l’état III : p. 103

Fig. 21 – Faciès céramique de l’état III : p. 104

Fig. 22 – Niveaux postérieurs aux neoria : p. 106

Fig. 23 – Niveaux postérieurs aux neoria : p. 107

Fig. 24 – Le chantier en 1987. La tranchée de fondation du mur 432 est visible à l’est, sous le fond de la tranché 436 : p. 110

Fig. 25 – La limite sud des neosoikoi en 1989 : à gauche, le mur 432 et ses contreforts ; à droite, les têtes de rampes séparées du mur par un couloir : p. 110

Fig. 26 – Mortaise dans le contrefort nord du mur 432, état en 1993 : p. 110

Fig. 27 – Mortaise dans le contrefort nord du mur 432, état en 1989. Au fond du couloir (dégagé jusqu’au niveau de sol de l’état I), la rampe 494 : p. 111

Fig. 28 – Vue générale des sondages ouverts en 2021. De gauche à droite : base de pilier 934, mur 947 et muret 941 (A. Rabot) : p. 113

Fig. 29 – La tête de la rampe 459 lors de son dégagement en 1987 : p. 114

Fig. 30 – La tête de la rampe 488, en 1987. À droite, le bloc de conglomérat avec les deux trous laissés par les coins de débitage : p. 115

Fig. 31 – Sondage ouvert en I 11 en 1996. Au premier plan, le pilier 780 ; à l’arrière‑plan, le pilier 764 ; entre les deux : les murs de soutènement de la rampe 490 à l’état II : p. 116

Fig. 32 – La rampe 490, état en 1989. On distingue dans la berme nord le sol bombé de l’état II : p. 117

Fig. 33 – Ancre remployée dans la rampe 490 : p. 117

Fig. 34 – Le bâtiment vu du nord en 1997. À gauche, la rampe 490 : partie construite de l’état I et murs de soutènement de la recharge de sol de l’état II ; à droite, la rampe 491 : p. 118

Fig. 35 – Vue aérienne des rampes 490 (au premier plan) et 491 en 1993. On distingue, de part et d’autre de la partie construite de la tête de la rampe 490 de l’état I, les murets délimitant la rampe de l’état II : p. 119

Fig. 36 – Pilier 708, face ouest (fouilles 1993) : p. 120

Fig. 37 – La rampe 491, état en 1990. À gauche, le pilier 708 cerné des dalles marquant le niveau du trottoir de l’état II : la dalle ouest est située à une altitude plus élevée que la dalle est : p. 120

Fig. 38 – La rampe 491, état en 1989. Au premier plan : la rampe de l’état I ; au fond, le sol de l’état II maintenu par ses deux soutènements latéraux en briques : p. 122

Fig. 39 – La rampe 491, en 1989 : la console axiale en place : p. 122

Fig. 40 – Le pilier 452, en 1989 : p. 123

Fig. 41 – Pilier 452, face est. Vue prise en 1993 : p. 123

Fig. 42 – Le pilier 452 en 1989. Au premier plan, l’escalier de l’état I ; de part et d’autre du pilier, les dalles de gypse marquant le niveau des trottoirs de l’état II : p. 124

Fig. 43 – Le pilier 452, vu en 1989. De part et d’autre, le soutènement de moellons, posé sur le sol de l’état I et destiné à supporter les trottoirs de l’état II : p. 124

Fig. 44 – Le mur 450 reliant le contrefort nord du mur 432, au premier plan, et le pilier 452, au second plan (vue en 1987) : p. 125

Fig. 45 – Pilier 460 vu en 1990 : p. 125

Fig. 46 – Détail de la berme ouest de la fouille en 1989. À gauche, le mur 432 ; au centre, le couloir avec son sol de l’état I ; à droite, la rampe 494 avec le bloc triangulaire de sa tête et sa console axiale. Dans la berme : remplissage de briques et sol de l’état II : p. 126

Fig. 47 – Rampes 494 et 731 en 1999 : sols de l’état II : p. 127

Fig. 48 – L’angle sud‑ouest du bâtiment, vu en 1999 : p. 128

Fig. 49 – Le pilier 496 avec son extension de l’état III, vu en 1987 ; au sud, le mur 432 et son contrefort intérieur ; le couloir a été fouillé jusqu’au sol de l’état III (sol 478). À l’arrière‑plan, le couloir est barré par le mur 450 : p. 128

Fig. 50 – Le pilier 728 en 1989 ; à l’arrière‑plan la rampe 731 : p. 129

Fig. 51 – Ligne est de la loge 731 vue en 1989 : au premier plan, le pilier 728 ; dans son alignement, le pilier 496 : p. 130

Fig. 52 – Pilier 830, au premier plan, et 728, au second plan. Vue prise en 1999 : p. 130

Fig. 53 – Le pilier 818 au fond du sondage 16 en 1998 : p. 130

Fig. 54 – La rampe 731 vue en 1999 : sol de l’état II visible sous l’armature de briques de l’état III. Au premier plan, le mur 724 : p. 131

Fig. 55 – La rampe 731 en 1989 : les recharges des sols de l’état II et de l’état III : p. 132

Fig. 56 – La tête de la rampe 731 et son massif de briques, sous le niveau du sol 478 de l’état III (fouille 1989) : p. 132

Fig. 57 – La tête de la rampe 731 en cours de fouille en 1998 : la structure de briques constitutive de l’état III sur le sol de l’état II : p. 133

Fig. 58 – Rampe 731, mur 724 et pilier 749, en 1999 : p. 134

Fig. 59 – La limite ouest du bâtiment, en 1993. Au premier plan, le pilier 749 ; dans son prolongement, le mur 724 : p. 135

Fig. 60 – Le pilier 749 en 1999 : p. 135

Fig. 61 – L’angle ouest des neosoikoi en 1997 : mur 724 (prolongé par le pilier 749), mur 759 et mur 757. Au premier plan, niveau du sol 760 ; à l’arrière‑plan, niveau du sol de terrasse 741 : p. 136

Fig. 62 – L’installation hellénistique fouillée en 1997 au nord‑ouest des neoria : p. 137

Fig. 63 – Relevé général des vestiges (O. Callot), https://ark.mom.fr/ark:/76609/srvj5m4z6143g : p. 138

Fig. 64 – Coupe est‑ouest sur le bâtiment, depuis le couloir de circulation au nord du mur 432 (O. Callot), https://ark.mom.fr/ark:/76609/srv6nf3qwrmcv : p. 139

Fig. 65 – Localisation des coupes (fig. 66‑74) sur le relevé général simplifié (O. Callot et A. Rabot) : p. 140

Fig. 66 – Rampe 459 et pilier 476, face ouest (O. Callot) : p. 141

Fig. 67 – Coupe est‑ouest sur les rampes 491, 490 et 488 (O. Callot) : p. 142

Fig. 68 – Rampe 490, face est (O. Callot) : p. 143

Fig. 69 – Pilier 708, état I, face ouest (O. Callot) : p. 144

Fig. 70 – Pilier 452, face est, et mur 450 (O. Callot) : p. 145

Fig. 71 – Rampe 494, partie sud (O. Callot) : p. 146

Fig. 72 – Coupe nord‑sud sur la rampe 731 (O. Callot) : p. 147

Fig. 73 – Piliers 496 et 728, face est (O. Callot) : p. 148

Fig. 74 – Piliers 496 et 728, face ouest (O. Callot) : p. 149

Chapitre 4. Le bassin portuaire

Fig. 1 – Évolution des hypothèses de reconstitution du paléo‑trait de côte dans la partie nord de Kition à l’époque classique (CAO S. Colin, 2020) : p. 152

Fig. 2 – Plan superposant les différents résultats des recherches géoarchéologiques menées sur le site de Kition (d’après Bony et al. 2016, p. 372, fig. 3, modifié par S. Colin, 2020) : p. 153

Fig. 3 – Vue aérienne de la zone à l’est de Bamboula. En rouge, le tracé du canal ; en vert, le tracé restitué du cordon de galets (A. Rabot) : p. 154

Fig. 4 – Compilation des indicateurs de l’évolution du niveau marin relatif dans la région de Larnaca (DAO S. Colin, 2018) : p. 157

Fig. 5 – Séquençage du soulèvement de la région de Larnaca au cours de l’Holocène récent (DAO S. Colin, 2018) : p. 158

Fig. 6 – Transect sud‑nord et position du niveau marin relatif à l’époque classique (DAO S. Colin, 2018) : p. 160

Fig. 7 – Transect sud‑nord positionné sur la bordure ouest du bassin portuaire et niveau marin relatif à l’époque classique (DAO S. Colin, 2018) : p. 161

Fig. 8 – Photographie aérienne du site de Kition‑Bamboula avec incrustation des zones fouillées avant 2021 et géolocalisation des carottages (A. Rabot, SIG de Kition) : p. 162

Fig. 9 – Étendue de la zone marécageuse d’après les relevés cartographiques de Stanford 1878 (A. Rabot, SIG de Kition, CAO S. Colin, 2020) : p. 165

Fig. 10 – Vue en coupe du bassin portuaire (DAO S. Colin, 2020) : p. 167

Fig. 11 – Vue en plan du bassin portuaire à l’époque classique (DAO S. Colin, 2020) : p. 168

Chapitre 5. L’arsenal de Kition

Fig. 1 – Base du trophée de Milkyaton, MLA 1513, au moment de sa découverte en 1990 (A. Caubet) : p. 173

Fig. 2 – Restitution de l’état I, coupe nord‑sud (O. Callot) : p. 180

Fig. 3 – Restitution de l’état I, coupe est‑ouest sur le bâtiment depuis le couloir, au nord du mur 432 (O. Callot) : p. 181

Fig. 4 – Restitution de l’état I, coupe est‑ouest sur une loge, vue vers le sud (O. Callot) : p. 182

Fig. 5 – Restitution de l’état I, vue axonométrique (O. Callot) : p. 183

Fig. 6 – Restitution de l’état I, extrémité ouest du bâtiment (O. Callot) : p. 184

Fig. 7 – Restitution de l’état II, coupe nord‑sud (O. Callot) : p. 187

Fig. 8 – Restitution de l’état II, coupe est‑ouest sur le bâtiment depuis le couloir, au nord du mur 432 (O. Callot) : p. 188

Fig. 9 – Restitution de l’état II, coupe est‑ouest sur une loge, vue vers le sud (O. Callot) : p. 189

Fig. 10 – Restitution de l’état II, vue axonométrique (O. Callot) : p. 190

Fig. 11 – Restitution de l’état III, coupe est‑ouest sur le bâtiment depuis le couloir, au nord du mur 432 (O. Callot) : p. 193

Fig. 12 – Tétradrachme d’argent de Démétrios Poliorcète commémorant la victoire de Salamine, Paris, BnF, Cabinet des médailles (© Gallica.bnf.fr) : p. 195

Chapitre 7. Le mobilier non amphorique

Fig. 1 – Céramique engobée chypriote (n° 1‑6), sigillée italique (n° 7‑11), Eastern sigillata A (n° 12‑15) : p. 261

Fig. 2 – Eastern sigillata A (n° 16‑35) : p. 262

Fig. 3 – Eastern sigillata A (n° 36‑37), Eastern sigillata B (n° 38‑40), Cypriot sigillata (n° 41‑48) : p. 263

Fig. 4 – Cypriot sigillata (n° 49‑55) : p. 264

Fig. 5 – Cypriot sigillata (n° 56‑65) : p. 265

Fig. 6 – Imitation de Cypriot sigillata (n° 66‑76) : p. 266

Fig. 7 – Répertoire typologique de la céramique culinaire chypriote : p. 267

Fig. 8 – Céramique culinaire chypriote. Famille à quartz fin et schistes verts. Groupe II.1 : PC1 (n° 77‑90) : p. 268

Fig. 9 – Céramique culinaire chypriote. Famille à quartz fin et schistes verts. Groupe II.1 : PC2 (n° 91‑100), PC3 (n° 101), PC4 (n° 102), PC5 (n° 103) : p. 269

Fig. 10 – Céramique culinaire chypriote. Famille à quartz fin et schistes verts. Groupe II.1 : BOUIL1 (n° 104), BOUIL2 (n° 105), bouilloire inclassable (n° 106), CASS1 (n° 107‑117), CASS2 (n° 118), CASS3 (n° 119), CASS4 (n° 120), COUV1 (n° 121‑126), COUV2 (n° 127), couvercle inclassable (n° 128) : p. 270

Fig. 11 – Céramique culinaire chypriote. Famille à quartz fin et schistes verts. Variante du groupe II.1 : PC6 (n° 129), BOUIL3 (n° 130), BOUIL4 (n° 131), CASS5 (n° 132), POEL1 (n° 133). Céramique culinaire levantine. Beyrouth : couvercle (n° 134‑135). Céramique culinaire égéenne. Famille à quartz pilé : réchaud (n° 136‑139). Famille à métamorphites acides fines, groupe VI.2 : bouilloire (n° 140‑143) : p. 271

Fig. 12 – Céramique culinaire égéenne. Famille à métamorphites acides fines, groupe VI.1 : pot (n° 144). Famille à volcanite acide, groupe VII.1 : pot (n° 145), plat (n° 146‑151). Céramique culinaire africaine : plat (n° 152). PNI : pot (n° 153) : p. 272

Fig. 13 – Répertoire typologique des jattes chypriotes : p. 273

Fig. 14 – Répertoire typologique des mortiers de la région d’Antioche (?) et des bols, cruches, pots et jarres chypriotes : p. 274

Fig. 15 – Répertoire typologique des pithoi chypriotes : p. 275

Fig. 16 – Céramique commune chypriote. Famille à ophiolites et microfossiles. Groupe I.1 : JAT1 (n° 154‑160) : p. 276

Fig. 17 – Céramique commune chypriote. Famille à ophiolites et microfossiles. Groupe I.1 : JAT1 (n° 161‑165), JAT2a (n° 166), JAT4 (n° 167) : p. 277

Fig. 18 – Céramique commune chypriote. Famille à ophiolites et microfossiles. Groupe I.1 : CRU1 (n° 168‑174), CRU2 (n° 175‑179), CRU3 (n° 180) : p. 278

Fig. 19 – Céramique commune chypriote. Famille à ophiolites et microfossiles. Groupe I.1 : POT1 (n° 181‑182), POT2 (n° 183‑185), POT3 (n° 186), POT4 (n° 187), POT5 (n° 188‑191), couvercle (n° 192) : p. 279

Fig. 20 – Céramique commune chypriote. Famille à ophiolites et microfossiles. Groupe I.1 : pithos PIT1 (n° 193‑195). Groupe I.2 : jatte JAT5 (n° 196‑197), pithos PIT3 (n° 198‑199) : p. 280

Fig. 21 – Céramique commune chypriote. Famille à ophiolites et microfossiles. Groupe I.2 : PIT3 (n° 200‑201). Groupe I.3 : PIT1 (n° 202), PIT2 (n° 203). Groupe I inclassable : PIT1 (n° 204‑206), PIT2 (n° 207‑208) : p. 281

Fig. 22 – Céramique commune chypriote. Famille à ophiolites et microfossiles. Groupe I inclassable : PIT4 (n° 209), PIT5 (n° 210), vase séparateur d’huile (n° 211), JAT2 (n° 212), JAT3 (n° 213), BOL1 (n° 214) : p. 282

Fig. 23 – Céramique commune chypriote. Famille non calcaire : JAT2 (n° 215‑220), CRU2 (n° 221), POT5 (n° 222), JAR1 (n° 223), JAR2 (n° 224) : p. 283

Fig. 24 – Céramique commune de Chypre ou de la région d’Antioche ? Famille à ophiolites fines oxydées. Groupe V.1 : MOR1 (n° 225‑226), MOR2 (n° 227), MOR3 (n° 228‑230), MOR4 (n° 231) : p. 284

Fig. 25 – Céramique commune d’Égypte : cruche (n° 232). Ras el‑Bassit. Famille à ophiolites/gabbres : groupe IV.1.1 (n° 233‑235), groupe IV.2 (n° 236‑237), groupe IV.3.1 (n° 238‑241), groupe IV inclassable (n° 242) : p. 285

Fig. 26 – Céramique commune de Ras el‑Bassit. Famille à ophiolites/gabbres : groupe IV inclassable (n° 243). Céramique commune de Tyr (n° 244‑245) et de Beyrouth (n° 246). Céramique commune d’Égée : Rhodes (n° 247), indéterminé (n° 249‑250) : p. 286

Fig. 27 – Céramique commune d’Égée (n° 251‑255), de mer Noire (n° 256), d’Italie centrale (n° 257‑259) : p. 287

Fig. 28 – Céramique commune indéterminée (n° 260‑265), lampes (n° 266‑272), vase miniature ou bouchon (n° 273), epinetron (n° 274), figurine (n° 275) : p. 288

Fig. 29 – Photographies macroscopiques (grossissement x 4) des principaux groupes de pâtes non amphoriques (n° 44‑247) : p. 289

Fig. 30 – Photographies macroscopiques (grossissement x 4) des principaux groupes de pâtes non amphoriques (n° 248‑265) : p. 290

Chapitre 8. Analyses pétrographiques préliminaires sur les productions de céramique commune et culinaire du comblement

Fig. 1 – Microphotographies en lame mince (Nicols croisés) de pâtes des familles I à III : p. 295

Fig. 2 – Microphotographies en lame mince (Nicols croisés) de pâtes des familles IV à VII : p. 297