Table des matières
Première partie. Synthèse et recommandations
Version française
Stéphane Raud
Objectifs et méthodes de l’expertise collégialeJean-François Girard
Avant-proposDu cadre juridique à la gouvernance
- LUTTE ANTIVECTORIELLE EN CAS DE RISQUES POUR L’HOMME
- Droit international
- Droit communautaire
- Droit interne
- De quels vecteurs parle-t-on ?
- L’article L. 3114-5 CSP et ses zones d’ombre
- La loi de 1964 et la politique de lutte contre les moustiques
- Répartition des compétences
- Cadre normatif pour les milieux favorables aux vecteurs
- LUTTE ANTIVECTORIELLE ET SANTÉ ANIMALE
- L’OIE
- L’OMC
- La réglementation communautaire
- La réglementation nationale
- LE DROIT DES ASSURANCES ET LES MALADIES VECTORIELLES
- Les maladies vectorielles et la mortalité animale
- Les maladies vectorielles et les pertes d’exploitation
- LA RÉUNION
- Organisation jusqu’en 2005
- Pendant l’épidémie de chikungunya (2005-2006)
- Renouveau du service de lutte antivectorielle
- Service de prophylaxie renforcée (SPR) au sein du Groupement d’intérêt public (GIP)
- LA GUADELOUPE
- Présentation du service de lutte antivectorielle
- Stratégie
- Points faibles
- LA MARTINIQUE
- Présentation du service de lutte antivectorielle
- Stratégie
- Forces et faiblesses
- LA GUYANE
- Présentation du service
- Stratégie
- Problèmes de fonctionnement
- MAYOTTE
- Présentation du service
- Stratégie
- Problèmes de fonctionnement
- LA HAUTE-CORSE
- Contexte et présentation du service
- Problèmes de fonctionnement
- LA CORSE-DU-SUD
- Problèmes de fonctionnement
Mise en œuvre de la lutte antivectorielle
- SANTÉ ANIMALE
- L’organisation générale
- Une organisation spécifique
- SANTÉ HUMAINE
- Les structures hors métropole
- Guadeloupe
- Guyane
- Martinique
- La Réunion
- Mayotte
- Corse-du-Sud
- Haute-Corse
- D’autres acteurs
- Les structures sur le territoire métropolitain
- EID Méditerranée
- EID Atlantique
- EID Rhône-Alpes
- Sivu de Lauterbourg
- Adege
- MISE AU POINT SUR QUELQUES CONCEPTS
- La perception de la lutte antivectorielle
- La communication
- IDENTIFICATION DES MESSAGES
- LES DIFFÉRENTES FORMES DE LA LUTTE ET LEURS PERCEPTIONS
- ÉTUDES DE CAS
- En Martinique
- À la Réunion
- À Mayotte
- En l’absence de risque vectoriel
- Dans la littérature
- SUR QUOI ET COMMENT COMMUNIQUER ?
- SUR LE TERRAIN
Évaluation de la lutte antivectorielle
- OBJECTIFS ET MÉTHODES
- L’intérêt de l’évaluation économique
- Les méthodes d’évaluation économique
- Analyse coût-efficacité
- Analyse coût-bénéfice
- Analyse coût-utilité
- Pré-requis pour l’application de ces méthodes
- CONTEXTE ÉCONOMIQUE DE LA LUTTE ANTIVECTORIELLE
- Les externalités et le concept connexe de bien public
- Les asymétries d’information
- L’intervention publique
- Standards internationaux
- Les approches macro et micro-économiques
- L’impact économique
- Principaux canaux de transmission de la maladie à l’économie
- Choix de la méthode d’analyse coût-avantage
- Point de vue adopté
- Mesure des coûts de la maladie et de la lutte antivectorielle
- Des mesures d’efficacité standardisées
- Période et zone d’étude
- Conclusion sur les analyses coût-efficacité
- ÉVALUATION DE LA LUTTE ANTIVECTORIELLE EN FRANCE
- Les données recueillies
- L’approche économique
- Des scénarios de gestion de la lutte antivectorielle
- L’analyse économique
- TOXICITÉ ET ÉCOTOXICITÉ DES PRODUITS BIOCIDES
- Évaluation des risques
- Pratiques et mesures de protection
- Toxicovigilance
- Impact environnemental des biocides
- REVUE DE QUELQUES SUBSTANCES BIOCIDES
- RÉPULSIFS ET ATTRACTIFS
- Répulsifs corporels
- Spirales antimoustiques
- Attractifs
- EFFETS NON INTENTIONNELS LIÉS AUX MÉTHODES D’APPLICATION
- ÉTUDE DE CAS : L’ÉPIDÉMIE DE CHIKUNGUNYA À LA RÉUNION
- Données toxicologiques
- Deltaméthrine
- Perméthrine
- Pyrèthre
- Naled
- Bacillus thuringiensis ser. israelensis (Bti)
- Pyriproxyfène
- Spinosad
- Téméphos
- Toxicovigilance
Les outils d’anticipation
- ANALYSE DU RISQUE VECTORIEL : OBJECTIFS ET MÉTHODES
- Plan antidissémination dengue-chikungunya
- Analyse du risque d’épidémie de chikungunya et de dengue
- Limites de l’anticipation des risques
- ENTRE ALERTE ENTOMOLOGIQUE ET ALERTE ÉPIDÉMIOLOGIQUE
- Rôle du vecteur
- Surveillance des paramètres entomologiques
- Pertinence des paramètres entomologiques
- APPORT DE LA MODÉLISATION
- La modélisation spatio-temporelle d’un vecteur
- Fièvre catarrhale ovine (FCO)
- Aedes et potentiel épidémique de la dengue
- Potentiel de diffusion d’Aedes albopictus en Europe
- Anophèles et paludisme
- Triatomes
- Vecteurs du virus West Nile
- Fonctionnement du modèle
- Modèles statistiques
- Modèles théoriques
- Applications des modèles théoriques
- FORCES ET LIMITES DES MODÈLES
- Forces
- Limites
- COOPÉRATIONS DANS LA RÉGION ANTILLES-GUYANE
- Les cinq départements et collectivités
- Les pays voisins
- Le domaine vétérinaire
- Les institutions internationales
- COOPÉRATIONS DANS LE SUD-OUEST DE L’OCÉAN INDIEN
- COOPÉRATIONS DANS LA RÉGION PACIFIQUE
- COOPÉRATIONS DANS LA RÉGION EUROPE
- La France
- Le domaine vétérinaire
- Des coopérations scientifiques
- DE LA CONNAISSANCE DES VECTEURS AUX OUTILS DE LUTTE
- La biologie des vecteurs
- Systématique
- Biologie des populations de vecteurs
- La surveillance des vecteurs
- Les produits biocides
- Les nouveaux insecticides
- Sensibilité et résistance aux insecticides
- Répulsifs et associations insecticides-répulsifs
- Effets indésirables
- Pesticides en agriculture versus résistance des vecteurs
- Équipements et matériaux
- MÉTHODES ET STRATÉGIES DE LUTTE
- Les indicateurs entomologiques et épidémiologiques
- L’évaluation des risques
- La lutte génétique
- Les moyens
- La lutte biologique
- LES RECHERCHES EN SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES
- Géographie, histoire, psychologie…
- La psychosociologie
- Autres recherches
- La dimension anthropologique
- L’économie théorique et appliquée
- LES ACTEURS DE LA RECHERCHE
- L’industrie
- Les instituts de recherche et les universités
- Des opérateurs de lutte
- Les agences
- Les bailleurs de fonds
Recommandations générales. Huit grandes priorités
Créer un Centre national d’expertise Vecteurs et risque vectoriel (Cnev)
Redéfinir le cadre juridique et la gouvernance
Préciser les stratégies d’intervention
Évaluer les interventions
Soutenir la recherche
Améliorer la communication
Améliorer la formation
Sortir les services de leur isolement
- Créer un Centre national d’expertise. Vecteurs et risque vectoriel (Cnev)
- Proposition d’arrêté
- ARTICLE 1
- ARTICLE 2
- ARTICLE 3
- ARTICLE 4
- ARTICLE 5
- ARTICLE 6
- Proposition de cahier des charges du Cnev
- ACTIVITÉ
- Expertise
- Contribution à la surveillance
- Alerte
- Conseil
- Formation
- Recherche
- COMPTE RENDU DES ACTIVITÉS
- Rapport annuel
Annexes
- INTRODUCTION
- Le contexte de la saisine
- La méthode de l’expertise collégiale à l’IRD
- DÉFINITION ET OBJECTIFS DE LA LUTTE ANTIVECTORIELLE (LAV)
- Définition
- Objectifs
- OBJECTIFS DE L’EXPERTISE
- CONTEXTE
- LISTE DES QUESTIONS DE L’EXPERTISE COLLÉGIALE
- Thème 1 – Périmètre de l’analyse
- Question 1 « Quel est le cadre législatif et réglementaire ? »
- Question 2 « Comment s’organise la gouvernance ? »
- Thème 2 – Mise en œuvre
- Question 1 « Quelles sont les stratégies de la lutte antivectorielle en France ? »
- Question 2 « Quelles sont les modalités organisationnelles et les ressources humaines ? »
- Question 3 « Quels sont les réseaux d’information, d’éducation et de communication ? »
- Question 4 « Quelles sont la perception et l’acceptabilité de l’efficacité de la lutte antivectorielle par les populations ? »
- Thème 3 – Évaluation de la lutte antivectorielle
- Question 1 « Quelles sont les pratiques et les modalités d’évaluation de la lutte antivectorielle ? »
- Question 2 « Quelles sont les approches économiques de la lutte antivectorielle ? »
- Question 3 « Comment peut-on évaluer les effets non intentionnels ? »
- Thème 4 – Les outils d’anticipation
- Question 1 « Quelle est la contribution de l’évaluation des risques vectoriels à l’évaluation du risque épidémique ? »
- Question 2 « Quelles sont les coopérations régionales et internationales ? »
- Question 3 « Quelles sont les formations existantes et quels sont les besoins en formation ? »
- Question 4 « Comment la recherche contribue-t-elle à l’amélioration de la lutte antivectorielle ? »
- Thème 5 – Les exemples non français
- Question 1 « Quels sont les modèles d’action à l’international ? »
English Version
Stéphane Raud
Objectives and methods of the Expert Group reviewJean-François Girard
ForewordFrom legal framework to governance
- VECTOR CONTROL AGAINST HUMAN HEALTH RISKS
- International law
- European Community law
- National law
- What vectors are considered?
- Article L. 3114-5 CSP and its grey areas
- The law of 1964 and mosquito control policy
- Division of competences
- Standardization framework for vector-favourable environments
- VECTOR CONTROL AGAINST ANIMAL HEALTH RISKS
- The OIE – World Organization for Animal Health
- WTO
- Community regulations
- National regulations
- INSURANCE LAW AND VECTOR-BORNE DISEASES
- Vector-borne diseases and animal deaths
- Vector-borne diseases and commercial losses
- REUNION ISLAND
- Organization up to 2005
- During the chikungunya epidemic (2005-2006)
- Renewal of the vector control service
- Reinforced prophylaxis service (SPR) within the Public Interest Group (GIP)
- GUADELOUPE
- Organization of the vector control service
- Strategy
- Weaknesses
- MARTINIQUE
- Organization of the vector control service
- Strategy
- Strengths and weaknesses
- FRENCH GUIANA
- Organization of the service
- Strategy
- Operational problems
- MAYOTTE
- Organization of the service
- Strategy
- Operational problems
- CORSICA: HAUTE-CORSE
- Context and organization of the service
- Operational problems
- CORSICA: CORSE-DU-SUD
- Operational problems
Implementation of vector control
- OVERVIEW OF PREVAILING CONCEPTS
- Perception of vector control
- Communication
- MESSAGE DEFINITION
- DIFFERENT TYPES OF VECTOR CONTROL AND ASSOCIATED PERCEPTIONS
- CASE HISTORIES
- Martinique
- Reunion Island
- Mayotte
- In the absence of vector risk
- In the literature
- COMMUNICATION: ABOUT WHAT AND HOW?
- FIELD CAMPAIGNS
Assessment of vector control
- OBJECTIVES AND METHODS
- The purpose of economic assessment
- The methods of economic assessment
- Cost-effectiveness analysis
- Cost-benefit analysis
- Cost-utility analysis
- Prerequisites for application of these methods
- ECONOMIC SITUATION AND VECTOR CONTROL
- The externalities and the connected concept of public good
- Asymmetries of information
- Public intervention
- International standards
- Macro- and microeconomic approaches
- Economic impact
- Main channels of disease effect transmission to the economy
- Choice of the cost-advantage analysis method
- Point of view adopted
- Measurement of costs of disease and of vector control
- Standardized measurements of effectiveness
- Period and area of study
- Conclusion on cost-effectiveness analyses
- ASSESSMENT OF VECTOR CONTROL IN FRANCE
- Data collected
- Economic approach
- Vector control management scenarios
- Economic analysis
- TOXICITY AND ECOTOXICITY OF BIOCIDAL PRODUCTS
- Risk assessment
- Protection practices and measures
- Toxicovigilance
- Environmental impact of biocides
- OVERVIEW OF BIOCIDAL SUBSTANCES
- REPELLENTS AND BAITS
- Skin insect repellents
- Mosquito coils
- Baits
- UNWANTED SIDE-EFFECTS OF APPLICATION METHODS
- CASE STUDY: REUNION ISLAND CHIKUNGUNYA EPIDEMIC
- Toxicological data
- Deltamethrin
- Permethrin
- Pyrethrum
- Naled
- Bacillus thuringiensis ser. israelensis (Bti)
- Pyriproxyfen
- Spinosad
- Temephos
- Toxicovigilance
Tools for risk management and anticipation
- VECTOR RISK ANALYSIS: OBJECTIVES AND METHODS
- Dengue-chikungunya dissemination control plan
- Risk analysis of chikungunya and dengue epidemic
- Limits of risk anticipation
- ENTOMOLOGICAL AND EPIDEMIOLOGICAL EARLY WARNING
- Role of the vector
- Surveillance of entomological parameters
- Pertinence of entomological parameters
- CONTRIBUTION OF MODELLING
- Spatio-temporal modelling of a vector
- Bluetongue disease
- Aedes and potential dengue epidemic
- Potential spread of Aedes albopictus in Europe
- Anopheles and malaria
- Triatoma
- West Nile virus vectors
- Functioning of the model
- Statistical models
- Theoretical models
- Applications of theoretical models
- STRENGTHS AND LIMITATIONS OF MODELS
- Strengths
- Limitations
- COOPERATION IN THE ANTILLES-FRENCH GUIANA REGION
- Five départements and local authorities
- The neighbouring countries
- The veterinary field
- International institutions
- COOPERATION IN THE SOUTH-WEST INDIAN OCEAN
- COOPERATION IN THE PACIFIC REGION
- COOPERATION IN EUROPE
- France
- The veterinary field
- Cooperation activities
- KNOWLEDGE ON VECTORS LEADS TO CONTROL TOOLS
- Vector biology
- Taxonomy
- Vector population biology
- Vector surveillance
- Biocidal products
- The new insecticides
- Sensitivity and resistance to insecticides
- Repellents and insecticide-repellent combinations
- Unwanted side-effects
- Pesticides in agriculture versus vector resistance
- Materials and equipment
- CONTROL METHODS AND STRATEGIES
- Entomological and epidemiological indicators
- Risk assessment
- Genetic control
- The means
- Biological control
- HUMAN AND SOCIAL SCIENCE RESEARCH
- Geography, history, psychology
- Psychosociology
- Other research
- The anthropological dimension
- Theoretical and applied economics
- ACTORS IN VECTOR CONTROL RESEARCH
- Industry
- Research institutes and universities
- Vector control operators
- Agencies
- Funding agencies
General recommendations. Eight great priorities
Create a National Centre of Expertise on Vectors and vector risk (CNEV)
Reset the legal framework and governance
Determine the intervention strategies
Assess the operations conducted
Support research
Improve communication
Improve training
Bring vector control services out of isolation
- Create a National Centre of Expertise on Vectors and vector risk (CNEV)
- Order proposal
- ARTICLE 1
- ARTICLE 2
- ARTICLE 3
- ARTICLE 4
- ARTICLE 5
- ARTICLE 6
- Proposal of specifications for the CNEV
- ACTIVITY
- Expertise
- Contribution to surveillance
- Warning role
- Consulting
- Training
- Research
- REPORTS ON ACTIVITIES
- Annual report
Appendices
- INTRODUCTION
- Context of the review request
- IRD expert group study method
- DEFINITION AND OBJECTIVES OF VECTOR CONTROL (VC)
- Definition
- Objectives
- OBJECTIVES OF THE REVIEW
- CONTEXT
- LIST OF QUESTIONS FOR THE GROUP SURVEY
- Theme 1 – Scope of the analysis
- Question 1 “What is the legislative and regulatory framework?”
- Question 2 “How is governance organized?”
- Theme 2 – Implementation
- Question 1 “What are the vector control strategies in France?”
- Question 2 “What are the forms of organization used and the human resources available?”
- Question 3 “What networks of information, education and communication exist?”
- Question 4 “What are people’s perceptions and the acceptability of the effectiveness of vector control?”
- Theme 3 – Assessment of vector control
- Question 1 “What are the vector control assessment processes and approaches used?”
- Question 2 “What economic approaches are used in vector control?”
- Question 3 “How can unwanted side-effects be assessed?”
- Theme 4 – Tools for anticipation
- Question 1 “What contribution does vector risk assessment make to epidemic risk assessment?”
- Question 2 “What regional and international cooperation can be envisaged for vector control?”
- Question 3 “What are the existing training programmes and further training needs?”
- Question 4 “How does research contribute to improving vector control?”
- Theme 5 – Examples from outside France
- Question 1 “What models of action are there on the international scene?”
Seconde partie. Chapitres analytiques
Le contexte de la lutte antivectorielle en France
1. Les paramètres de la transmission des infections vectorielles
2. Les infections humaines
- 1. Vers une hyperendémie ?
- 2. La dengue dans la zone Caraïbe et les DFA
- 2.1. Situation épidémiologique dans la zone Caraïbe
- 2.2. Le dispositif de surveillance épidémiologique aux Antilles-Guyane
- 2.2.1. La surveillance des cas cliniquement évocateurs
- 2.2.2. La surveillance des cas biologiquement confirmés
- 2.2.3. La surveillance des cas sévères
- 2.2.4. Les enquêtes entomo-épidémiologiques
- 2.3. Situation épidémiologique dans les DFA
- 2.3.1. Les périodes endémiques ou interépidémiques
- 2.3.2. Les périodes épidémiques
- 2.4. Discussion
- 2.4.1. Mieux articuler la surveillance épidémiologique et la surveillance entomologique
- 2.4.2. Renforcer la recherche
- 2.4.3. Renforcer les mesures de prévention et de contrôle
- 3. Épidémiologie de la dengue à la Réunion et dans les îles de la zone sud-ouest de l’océan Indien
- 3.1. La Réunion
- 3.1.1. Historique des épidémies de dengue à la Réunion
- 3.1.2. Le système de surveillance de la dengue à la Réunion en interépidémie
- 3.1.2.1. LA DECLARATION OBLIGATOIRE
- 3.1.2.2. LA SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
- 3.1.2.3. LA RECHERCHE ACTIVE
- 3.1.2.4. LES DEFINITIONS DE CAS UTILISEES
- Critères de notification obligatoire
- Définitions de cas utilisées pour la surveillance à la Réunion
- Syndrome dengue like
- Cas probable
- Cas confirmé
- Cas importé
- Dengue hémorragique sans syndrome de choc (DHF) (critères OMS)
- Dengue hémorragique avec syndrome de choc (DSS) (critères OMS)
- 3.2.1.5. LES INVESTIGATIONS EPIDEMIOLOGIQUES
- 3.1.3. Résultats de la surveillance en 2007-2008
- 3.1.4. Discussion
- 3.2. Épidémiologie de la dengue dans les autres îles du sud-ouest de l’océan Indien
- 3.2.1. Archipel des Comores
- 3.2.2. Mayotte
- 3.2.3. Maurice et Rodrigues
- 3.2.4. Seychelles
- 3.2.5. Madagascar
- 3.3. Conclusion
- 1. Introduction
- 2. Situation épidémiologique au Kenya
- 3. Situation épidémiologique dans les îles du sud-ouest de l’océan-Indien
- 3.1. Les Comores
- 3.2. Maurice et Rodrigues
- 3.3. Les Seychelles
- 3.4. Madagascar
- 4. L’épidémie à la Réunion et à Mayotte
- 4.1. La Réunion
- 4.1.1. Les méthodes de surveillance
- 4.1.1.1. SURVEILLANCE COMMUNAUTAIRE
- 4.1.1.2. SURVEILLANCE DES DECES ET DES FORMES GRAVES
- 4.1.2. Résultats
- 4.1.2.1. CINETIQUE EPIDEMIQUE ET TAUX D’ATTAQUE
- 4.1.2.2. FORMES GRAVES
- 4.1.2.3. DECES
- 4.2. Mayotte
- 4.2.1. Les méthodes de surveillance
- 4.2.1.1 SURVEILLANCE COMMUNAUTAIRE
- 4.2.1.2. SURVEILLANCE DES DECES ET DES FORMES GRAVES
- 4.2.2 Résultats
- 4.2.2.1. CINETIQUE EPIDEMIQUE ET TAUX D’ATTAQUE
- 4.2.2.2. FORMES GRAVES ET DECES
- 5. La surveillance interépidémique du chikungunya à la Réunion et à Mayotte
- 5.1. Méthodes
- 5.1.1. Syndrome dengue like
- 5.1.2 Cas probable
- 5.1.3. Cas confirmé
- 5.1.4. Cas importé
- 5.2. Résultats
- 6. Discussion
- 7. Conclusion
- 8. L’épidémie de chikungunya d’Emilia-Romagna, Italie, juin-septembre 2007
- 1. La filariose lymphatique
- 1.1. Cycle de la maladie
- 1.1.1. Agent
- 1.1.2. Répartition géographique
- 1.1.3. Transmission
- 1.1.4. Réservoir et espèces sensibles
- 1.1.5. Clinique
- 1.1.6. Lutte et prévention
- 1.2. Situation épidémiologique actuelle sur le territoire français
- 1.2.1. En France métropolitaine
- 1.2.2. Dans les départements français d’outre-mer (DFO)
- 1.3. Questionnement
- 2. Filarioses à Mansonella spp.
- 2.1. Agents
- 2.2. Répartition géographique
- 2.3. Vecteurs et réservoir
- 2.4. Questionnement
- 1. Le pou de corps
- 2. Les infections transmises par les poux de corps
- 2.1. Le typhus exanthématique (épidémique)
- 2.2. La fièvre récurrente à poux
- 2.3. Les infections à Bartonella quintana
- 3. Stratégie de lutte
- 3.1. Prise en charge médicale
- 3.2. Actions de prévention chez les sujets « sans domicile fixe »
- 3.3. Protocoles, recommandations
- 3.3.1. Approche individuelle (à l’intention des professionnels)
- 3.3.2. Approche collective
- 3.3.2.1. RECOMMANDATIONS A L’INTENTION DES CENTRES D’HEBERGEMENT DE NUIT
- 3.3.2.2. FORMATION DES PROFESSIONNELS (SANITAIRES ET SOCIAUX)
- 4. Discussion
- 5. Recommandations
3. Les zoonoses transmises par des vecteurs
- 1. Rappel sur les tiques
- 1.1. Classification
- 1.2. Développement et biotope
- 1.3. La lutte antivectorielle (LAV)
- 1.4. Les pathologies humaines liées aux tiques
- 1.5. Éléments de discussion sur les tiques particulièrement ciblées sur Ixodes ricinus et borréliose de Lyme
- 2. La borréliose de Lyme
- 2.1. Rappel
- 2.1.1. Clinique :
- 2.1.2. Prévention
- 2.2. Épidémiologie
- 2.2.1. Incidence
- 2.3. Séroprévalence
- 2.3.1. Mortalité :
- 2.3.2. Tendances évolutives
- 2.3.3. Vecteurs
- 2.3.4. Conséquences socio-économiques en santé publique humaine :
- 2.4. Analyse des données de surveillance dans les pays frontaliers
- 2.5. Questions et recommandations en termes de LAV
- 3. Encéphalite à tiques d’Europe centrale et de l’Est (TBE)
- 3.1. Rappel
- 3.1.1. Rappel clinique
- 3.1.2. Prévention
- 3.2. Description épidémiologique
- 3.3. Incidence
- 3.4. Séroprévalence
- 3.4.1. Mortalité
- 3.4.2. Tendances évolutives
- 3.4.3. Vecteurs
- 3.4.4. Conséquences socio-économiques
- 3.5. Informations disponibles dans les pays frontaliers
- 3.6. Questions et recommandations en termes de LAV
- 4. Tularémie
- 4.1. Rappel
- 4.1.1. Rappel clinique
- 4.1.2. Prévention
- 4.2. Description épidémiologique
- 4.2.1. Morbidité
- 4.3. Séroprévalence
- 4.3.1. Mortalité
- 4.3.2. Tendances évolutives
- 4.3.3. Vecteurs
- 4.3.4. Conséquences socio-économiques :
- 4.4. Informations disponibles dans les pays frontaliers15
- 4.5. Questions et recommandations en termes de LAV
- 5. Piroplasmose
- 5.1. Rappel
- 5.1.1. Rappel clinique
- 5.1.2. Prévention
- 5.2. Description épidémiologique chez l'homme
- 5.2.1. Morbidité
- 5.2.2. Incidence
- 5.2.3. Séroprévalence
- 5.2.4. Mortalité
- 5.2.5. Tendances évolutives
- 5.2.6. Vecteurs
- 5.2.7. Conséquences socio-économiques
- 5.3. Informations disponibles dans les pays frontaliers
- 5.4. Questions et recommandations en termes de LAV
- 6. Anaplasmose et ehrlichiose monocytaire
- 6.1. Rappel
- 6.1.1. Rappel clinique
- 6.1.2 Prévention
- 6.2. Description épidémiologique
- 6.2.1. Morbidité
- 6.2.2. Mortalité
- 6.2.3. Tendances évolutives
- 6.2.4. Vecteurs
- 6.2.5. Conséquences socio-économiques
- 6.3. Informations disponibles dans les pays frontaliers
- 6.4. Questions et recommandations en termes de LAV
- 7. Bartonella
- 7.1. Rappel
- 7.1.1. Rappel clinique
- 7.1.2. Prévention
- 7.2. Description épidémiologique
- 8. Autres
- 1. Introduction
- 2. Les rickettsioses acquises en France
- 2.1. La fièvre boutonneuse méditerranéenne (Rickettsia conorii)
- 2.2. Le « Tibola » (Rickettsia slovaca)
- 2.3. La fièvre boutonneuse à puces (Rickettsia felis)
- 2.4. La fièvre africaine à tique African tick bite fever (Rickettsia africae)
- 2.5. LAR (Rickettsia sibirica mongolitimonae)
- 2.6. Autres rickettsioses transmises ou pouvant être transmises sur le territoire français
- 3. Activité de diagnostic du Centre national de référence des rickettsies (2006)
- 4. Conclusion-Discussion
- 1. Introduction
- 2. Situation actuelle de la fièvre de la vallée du Rift
- 3. Vecteurs et épidémiologie de la FVR
- 4. La maladie chez l’Homme
- 5. La maladie chez l’animal
- 6. Transmission
- 7. Le diagnostic de la FVR
- 8. Prévention et contrôle de la fièvre de la vallée du Rift
- 9. La situation actuelle dans l’océan Indien
- 9.1. Madagascar
- 9.2. L’archipel des Comores
- 9.3. L’île de Mayotte
- 9.3.1. La surveillance épidémiologique
- 9.3.2. Mesures de prévention et de protection
- 10. Discussion
- 1. Filariose à Onchocerca spp.
- 1.1 Agents
- 1.2. Répartition géographique
- 1.3. Transmission
- 1.4. Réservoir et espèces sensibles
- 1.5. Clinique
- 1.6. Prévention et lutte
- 1.7. Questionnement
- 2. Filarioses zoonotiques à Dirofilaria spp.
- 2.1. Agent
- 2.2. Répartition géographique et épidémiologie
- 2.3. Transmission
- 2.4. Réservoir et espèces sensibles
- 2.5. Clinique
- 2.6. Prévention et lutte
- 2.7. Questionnement
4. Les infections animales
5. Hiérarchie des risques
- 1. Le cadre législatif et réglementaire de la lutte contre les maladies vectorielles touchant l’homme
- 1.1. Au niveau international
- 1.1.1. Le Règlement sanitaire international (RSI)
- 1.1.1.1. LES MOYENS DE TRANSPORT ET DU FRET
- 1.1.1.2. LES POINTS D’ENTREE
- 1.1.1.3. LES OPERATIONS DE CONTROLE
- 1.1.1.4. LA NOTION DE MOYEN DE TRANSPORT SUSPECT
- 1.1.2. La convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP)
- 1.1.3. Au niveau européen (droit communautaire)
- Le texte de référence est la directive 98/8 CE « dispositif biocide »
- 1.1.3.1. LES SUBSTANCES ACTIVES EXISTANTES
- 1.1.3.2. LES SUBSTANCES ACTIVES NOUVELLES
- 1.2. Au niveau national
- 1.2.1. La répartition des compétences en matière de lutte contre les insectes vecteurs de maladies
- 1.2.1.1. ANALYSE DES DEUX PRINCIPALES DISPOSITIONS, LES ARTICLES L. 3114-5 CSP ET 1ER DE LA LOI DU 16 DECEMBRE 1964
- L’article L. 3114-5 CSP et la lutte contre les insectes vecteurs de la maladie
- La loi du 16 décembre 1964 et la lutte contre les moustiques
- La politique de zonage
- La répartition des compétences
- 1.2.1.2. LES AUTRES DISPOSITIONS LEGISLATIVES OU REGLEMENTAIRES RELATIVES A LA LUTTE CONTRE LES INSECTES
- Les dispositions du CGCT, du CSP et du RSD
- CGCT
- CSP
- RSD
- Les circulaires relatives aux modalités de mise en œuvre du plan antidissémination du chikungunya et de la dengue en métropole
- 1.2.1.3. LA LUTTE ANTIVECTORIELLE DANS LES COM (HORS DOM) ET LA REPARTITION DES COMPETENCES
- 1.2.2. Le cadre normatif du traitement des milieux favorables à la propagation des insectes vecteurs de maladies et de la prévention
- 1.2.2.1. LES COMPETENCES DES AGENTS ET LES OBLIGATIONS DES PROPRIETAIRES, LOCATAIRES…
- 1.2.2.2. UN APPAREIL CONTRAIGNANT ET REPRESSIF DEVELOPPE
- 1.2.2.3. DES MESURES DE PREVENTION ET D’ALERTE SPECIFIQUES
- 1.2.2.4. LES LEGISLATIONS D’ÉTATS ETRANGERS CONFRONTES AU PROBLEME DES INSECTES VECTEURS DE LA MALADIE
- 2. Le cadre législatif et réglementaire de la lutte contre les maladies vectorielles touchant l’animal
- 2.1. La réglementation issue de l’OIE
- 2.2. La réglementation issue de l’OMC
- 2.3. La réglementation communautaire
- 2.4. La réglementation nationale
- 3. Le droit des assurances et les maladies vectorielles
- 1. La France continentale
- 1.1. L’Entente interdépartementale Atlantique
- 1.2. L’Entente interdépartementale Ain, Isère, Rhône, Savoie, pour la démoustication
- 1.3. L’Entente interdépartementale Méditerranée
- 1.4. Le syndicat intercommunal à vocation unique « lutte contre les moustiques » dans le Bas-Rhin
- 2. La France non continentale
- 2.1. L’organisation de la lutte antivectorielle à la Réunion
- 2.2. La lutte antivectorielle en Guadeloupe
- 2.3. La lutte antivectorielle en Martinique
- 2.4. La lutte antivectorielle en Guyane
- 2.5. La lutte antivectorielle à Mayotte
- 2.6. La lutte antivectorielle en Haute-Corse
- 2.7. La lutte antivectorielle en Corse-du-Sud
- 3. Pour une nouvelle gouvernance
- 1. Bref aperçu des méthodes de lutte antivectorielle
- 2. Maladies vectorielles et stratégies de lutte en santé humaine
- 2.1. Stratégies de contrôle des maladies humaines en outre-mer
- 2.1.1. La Guadeloupe
- 2.1.2. La Guyane
- 2.1.2.1. AEDES, DENGUE, FIEVRE JAUNE ET CHIKUNGUNYA
- La fièvre jaune
- La dengue
- 2.1.2.2. ANOPHELES ET PALUDISME
- 2.1.2.3. LA FIEVRE WEST NILE
- 2.1.2.4. PHLEBOTOMES ET LEISHMANIOSES
- 2.1.2.5. TRIATOMES ET MALADIE DE CHAGAS
- 2.1.2.6. NUISANCES
- 2.1.3. La Martinique
- 2.1.3.1. AEDES AEGYPTI ET DENGUE
- 2.1.3.2. ANOPHELES ET PALUDISME
- 2.1.3.3. West Nile
- 2.1.3.4. VEILLE ENTOMOLOGIQUE SUR AEDES ALBOPICTUS
- 2.1.3.5. CONTROLE DE LA NUISANCE
- 2.1.4. La Réunion et Mayotte
- 2.1.4.1. ANOPHELES ET PALUDISME
- 2.1.4.2. AEDES, DENGUE, FIEVRE JAUNE, CHIKUNGUNYA, FVR
- 2.2. Contrôle de la nuisance en France métropolitaine
- 2.2.1. La Corse
- 2.2.2. Le continent
- 2.2.2.1. CARTOGRAPHIE DES BIOTOPES LARVAIRES A MOUSTIQUES ET DES POTENTIALITES D’ECLOSIONS
- 2.2.2.2. LA PROSPECTION OU PHASE D’OBSERVATION DES VARIATIONS DE NIVEAUX D’EAU ET D’IDENTIFICATION DES ECLOSIONS
- 2.2.2.3. LA DECISION D’INTERVENTION ET LE CHOIX DU TYPE D’INTERVENTION
- 2.2.2.4. LES OPERATIONS DE TRAITEMENT PROPREMENT DITES
- 2.2.2.5. LE CONTROLE DE L’EFFICACITE APRES TRAITEMENT
- 3. Maladies vectorielles et lutte en santé vétérinaire
- 3.1. Dans les départements français d’Amérique (DFA)
- 3.1.1. La lutte antivectorielle dans les DFA
- 3.2. Sur l’île de la Réunion
- 3.3. En France métropolitaine
- 3.3.1. Lutte antivectorielle contre la FCO
- 4. Recommandations
- 1. Organisation et acteurs de la LAV en santé animale
- 1.1. Organisation générale
- 1.2. Organisation spécifique
- 2. Organisation et acteurs de la LAV en santé humaine
- 2.1. Organisation des structures
- 2.1.1. La Guadeloupe
- 2.1.2. La Guyane
- 2.1.3. La Martinique
- 2.1.4. La Réunion
- 2.1.5. Mayotte
- 2.1.6. La Corse-du-Sud
- 2.1.7. La Haute-Corse
- 2.2. Les autres acteurs
- 2.3. Situation particulière de la métropole
- 2.3.1. L’EID Méditerranée
- 2.3.2. L’EID Atlantique
- 2.3.3. L’EID Rhône-Alpes
- 2.3.4. Le Sivu de Lauterbourg
- 3. Une mutualisation des moyens
- En résumé
- Recommandations sur la LAV en santé humaine
- Recommandations sur la LAV en santé animale
- Recommandations communes
- 1. Cadre général
- 2. Les différentes formes de la LAV et leurs perceptions
- 2.1. Les questions posées
- 2.2. Les perceptions de la LAV
- 2.2.1. En Martinique (dengue/Aedes aegypti)
- 2.2.2. À la Réunion (chikungunya/Aedes albopictus)
- 2.2.3. À Mayotte
- 2.3. Perceptions de la LAV chez les professionnels
- 2.4. Perceptions de la LAV en l’absence de risque vectoriel
- 2.5. Perceptions de la LAV : constats tirés de la littérature
- 3. Les variables identifiées de la communication sur le risque
- 4. Actions de terrain
- 5. Participation communautaire (PC)
- 6. Recommandations
- 6.1. Recommandations générales et structurantes
- 6.2. Recommandations opérationnelles
- 1. Les réseaux d’information, d’éducation et de communication en matière de LAV à la Réunion
- 1.1. État de l’art
- 1.1.1. Sur la mobilisation institutionnelle
- 1.1.2. Sur la mobilisation communautaire
- 1.1.3. Sur les campagnes d’information et la communication
- 1.1.4. Sur la communication interpersonnelle et la promotion des points d’information
- 1.2. Limites et opportunités des actions de mobilisation
- 1.2.1. Suivi et animation de réseaux
- 1.2.2. Évaluation des actions de sensibilisation
- 1.2.3. Compétence des acteurs de mobilisation sociale
- 1.2.4. Amélioration des messages d’éducation sanitaire
- 2. Information, éducation et communication en matière de LAV à Mayotte
- 2.1. État de l’art
- 2.1.1. Sur la mobilisation institutionnelle
- 2.1.2. Sur la mobilisation communautaire
- 2.1.2.1. DANS LES COMMUNES
- 2.1.2.2. EN MILIEU SCOLAIRE
- 2.1.3. Sur les campagnes d’information et la communication (publicité)
- 2.1.4. Sur la communication interpersonnelle
- 2.1.5. Sur la promotion des points d’information
- 2.2. Limites et opportunités des actions de mobilisation
- 2.2.1. Suivi et animation de réseaux :
- 2.2.2. Compétence des acteurs de mobilisation sociale
- 2.2.3. Amélioration des messages d’éducation sanitaire
- 1. Introduction
- 2. Cadre théorique
- 2.1. Pourquoi faut-il évaluer la LAV ?
- 2.2. Comment évaluer la LAV ?
- 2.2.1. Le modèle théorique idéal en épidémiologie
- 2.2.2. Exemples d’application de ce modèle « expérimental » en LAV
- 3. Comment l’efficacité de la LAV est-elle évaluée en France ?
- 3.1. Sources d’information
- 3.2. État des lieux
- 3.2.1. Une littérature pauvre
- 3.2.1.1. ARTICLES SCIENTIFIQUES
- 3.2.1.2. RESE (RESEAU D’ECHANGES EN SANTE ENVIRONNEMENTALE) – DGS : QUELQUES DOCUMENTS D’INTERET
- 3.2.1.3. EXPERTISE COLLEGIALE DE L’IRD SUR LA DENGUE DANS LES DFA : PREMIERE APPROCHE POUR L’EVALUATION DES ACTIONS DE LUTTE CONTRE AEDES AEGYPTI
- 3.2.1.4. TEXTES REGLEMENTAIRES FRANÇAIS ET EVALUATION
- 3.2.1.5. LACUNES DEJA REVELEES PAR DES MISSIONS ANTERIEURES
- 3.2.2. L’enquête de Julien Fecherolle, 2008
- 3.3. Quels enseignements tirer de l’état des lieux en France ?
- 3.3.1. Évaluation de la LAV peu développée en France
- 3.3.2. Les services ont des visons différentes sur l’évaluation
- 3.3.3. Des confusions entre suivi et évaluation
- 3.3.4. Un manque de repère et des lacunes explicables
- 3.3.5. Des recommandations pas toujours suivies de faits
- 3.3.6. De premières expériences encourageantes
- 3.4. Principales recommandations
- 3.4.1. Rappeler les règles de base de l’évaluation
- 3.4.2. Définir des objectifs clairement mesurables et des indicateurs d’efficacité
- 3.4.3. Améliorer les outils de surveillance entomologique et le suivi d’efficacité
- 3.4.4. Besoin d’échange et de partenariat
- 1. Présentation de l’enquête
- 2. Évaluation de l’efficacité des actions : fréquence et attendus
- 2.1. Objectifs opérationnels de LAV
- 3. Méthodes d’évaluation de l’efficacité des actions
- 3.1. Mesure de la densité des vecteurs : indicateurs, seuils et méthodes de mesures
- 3.1.1. Cas d’Aedes aegypti
- 3.1.2. Cas d’Aedes albopictus
- 3.1.3. Cas des Anopheles spp.
- 3.1.4. Cas des moustiques nuisants
- 3.1.4.1. L’ABONDANCE EN MOUSTIQUES
- 3.1.4.2. LES PLAINTES
- 3.1.4.3. APPROCHE DE LA SOCIOLOGIE
- 3.2. Collecte et interprétation des indicateurs
- 4. Difficile évaluation de la participation communautaire
- 4.1. Les enquêtes de perception
- 4.2. La mesure directe de l’impact des actions de la population sur la cible moustique
- 5. Évaluation de l’efficacité des produits biocides
- 6. Évaluation du personnel et de « leurs bonnes pratiques »
- 7. Évaluation du matériel
- 8. Difficultés évoquées : manque d’appuis humains, techniques et financiers
- 1. Objet et but de l’évaluation économique de la LAV
- 1.1. Définition
- 1.2. Intérêt
- 1.3. Les différentes méthodes d’évaluation économique
- 1.4. Prérequis
- 2. Cadre économique de l’évaluation : caractéristiques et contexte économiques de la LAV
- 2.1. Externalités et bien public
- 2.2. Information
- 2.3. Intervention publique
- 2.3.1. Incitations des agents privés (externalités, bien public)
- 2.3.2. Incitation des agents privés et publics (aléa moral)
- 2.3.3. Point de vue de l’évaluation
- 3. Standards internationaux de l’évaluation économique de la LAV
- 3.1. Approche macro-économique versus approche micro-économique pour la mesure du coût de la maladie
- 3.2. Les principaux enseignements de la littérature académique sur la LAV
- 3.2.1. L’impact économique indéniable des maladies vectorielles
- 3.2.2 Les principaux canaux de transmission de la maladie à l’économie
- 3.2.3. L’évaluation économique de la LAV par l’approche coût-efficacité
- 3.2.4. Le point de vue de la société pour l’évaluation économique de la LAV Le point de vue adopté dans les analyses est la plupart du temps celui de la société
- 3.2.5. Mesure des coûts de la maladie et de la LAV
- 3.2.6. Des mesures d’efficacité standardisées : DLYG, DA, Daly
- 3.2.7. Période d’étude : épidémie vs endémie ?
- 3.2.8. Zone d’étude
- 3.2.9. Fiabilité et comparaison des résultats
- 3.2.10. Conclusions des analyses coût-efficacité
- 4. État des lieux de l’évaluation économique de la LAV en France
- 4.1. Des informations limitées aux coûts supportés par les collectivités publiques
- 4.2. Scénarios de gestion de la LAV qui pourraient servir de base à une évaluation future
- 4.3. Analyse économique de l’organisation de la LAV en France
- 5. Conclusion et recommandations
- 1. Introduction
- 2. Effets non intentionnels dus à la toxicité et à l’écotoxicité des produits biocides
- 2.1. Principes et méthodes
- 2.1.1. Revue des études toxicologiques et écotoxicologiques
- 2.1.2 Évaluation des risques
- 2.1.3. Les bonnes pratiques et les mesures de protection des applicateurs
- 2.1.4. Les études épidémiologiques basées sur les données de toxicovigilance
- 2.1.5. Les études d’impact environnemental
- 2.2. Revue par substance
- 2.2.1. Deltaméthrine
- 2.2.1.1. REVUE DES DONNÉES TOXICOLOGIQUES ET ÉCOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.1.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.2. Perméthrine
- 2.2.2.1. REVUE DES DONNÉES TOXICOLOGIQUES ET ÉCOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.2.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.3. Pyrèthre
- 2.2.3.1. REVUE DES DONNEES TOXICOLOGIQUES ET ECOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.3.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.4. Naled
- 2.2.4.1. REVUE DES DONNEES TOXICOLOGIQUES ET ECOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.4.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.5. Bacillus thuringiensis ser. israelensis (Bti)
- 2.2.5.1. REVUE DES DONNEES TOXICOLOGIQUES ET ECOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.5.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.6. Pyriproxyfène
- 2.2.6.1. REVUE DES DONNÉES TOXICOLOGIQUES ET ÉCOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.6.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.7. Spinosad
- 2.2.7.1. REVUE DES DONNÉES TOXICOLOGIQUES ET ÉCOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.7.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.8. Diflubenzuron
- 2.2.8.1. REVUE DES DONNEES TOXICOLOGIQUES ET ECOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.8.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.9. Téméphos
- 2.2.9.1. REVUE DES DONNEES TOXICOLOGIQUES ET ECOTOXICOLOGIQUES
- Toxicité
- Écotoxicité
- 2.2.9.2. ÉTUDES D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
- 2.2.10. Répulsifs
- 2.2.10.1. REPULSIFS CORPORELS
- 2.2.10.2. SPIRALES ANTIMOUSTIQUES
- 2.2.11. Attractifs
- 2.3. Conclusion
- 3. Effets non intentionnels liés aux méthodes d’application des biocides
- 4. Étude de cas : évaluation des risques dans le cadre de l’épidémie de chikungunya à la Réunion en 2005-2006
- 4.1. Évaluation des risques pour les produits utilisables dans le cadre de la LAV à la Réunion
- 4.1.1. Deltaméthrine
- 4.1.2. Perméthrine
- 4.1.3. Pyrèthre
- 4.1.4. Naled
- 4.1.5. Bacillus thuringiensis ser. israelensis
- 4.1.6. Pyriproxyfène
- 4.1.7. Spinosad
- 4.1.8. Téméphos
- 4.2. Dispositifs de toxicovigilance
- 4.3. Étude d’impact environnemental
- 5. Recommandations
- 5.1. Procédures réglementaires d'évaluation du risque des biocides
- 5.2 Évaluation du risque des traitements biocides au niveau local
- Avant-propos
- 1. Notion de système vectoriel
- 2. Objectif, principes, méthodes et dispositif d’analyse du risque vectoriel
- 2.1. Principes
- 2.2. Application du concept à l’évaluation de la transmission d’une infection par un vecteur (risque vectoriel)
- 2.2.1. Analyse de risque ayant amené à la création de plans de lutte ministériel : West-Nile, plan antidissémination dengue et chikungunya
- 2.2.2. Analyse de risque d’épidémie de chikungunya et de dengue dans les zones d’implantation d’Aedes albopictus en Europe
- 2.2.3. L’exemple de la fièvre catarrhale ovine (FC0) ou pour illustrer la difficulté de l’analyse de risque
- 2.2.4. Analyse de risque FVR de l’Afssa « Le risque de propagation de la fièvre de la vallée du Rift (FVR) dans un département et une collectivité départementale français de l’océan Indien (la Réunion et Mayotte) »
- 3. Une alerte entomologique implique-t-elle une alerte épidémiologique ?
- 3.1. Le rôle du vecteur dans la transmission est lui-même dépendant de nombreux paramètres vectoriels
- 3.1.1. De l’introduction à l’installation
- 3.1.2. De l’installation du vecteur à l’établissement de conditions favorables à la transmission vectorielle
- 3.1.3. Du début de la transmission à l’établissement d’un mode de circulation.
- 3.1.4. Des modifications dans le mode de circulation
- 3.2. Quels paramètres entomologiques surveiller pour quelle alerte ?
- 3.2.1. Paramètres évaluant la part du vecteur dans le risque vectoriel
- 3.2.2. Paramètres prédisant le risque de transmission d’une infection par un (des) vecteur(s)
- 3.3. Place des paramètres entomologiques dans l’alerte épidémiologique suivant les systèmes vectoriels et les modes de transmission
- 3.3.1. Dengue
- 3.3.2. Fièvre de la vallée du Rift
- 3.3.3. West Nile
- 3.3.4. Pour des vecteurs autres que les moustiques
- 3.4. Recommandations
- 4. Apport de la modélisation à la connaissance de la diffusion des maladies infectieuses vectorielles, de leur anticipation, contrôle et prévention
- 4.1. Rappels sur les modèles
- 4.2. Quelles sont les principales applications de la modélisation aux risques vectoriels en santé publique ?
- 4.2.1. Évaluation de la diffusion temporo-spatiale d’un vecteur compétent ou potentiellement compétent pour transmettre un agent infectieux
- 4.2.2. Évaluation de la transmission d’une infection à transmission vectorielle
- 4.3. Modélisation de la diffusion temporo-spatiale d’un vecteur
- 4.3.1. Principes
- 4.3.2. Exemples d’application
- 4.3.2.1. LA FIEVRE CATARRHALE OVINE (FCO)
- 4.3.2.2. AEDES ET LE POTENTIEL ÉPIDÉMIQUE DE LA DENGUE
- 4.3.2.3. POTENTIEL DE DIFFUSION D’AEDES ALBOPICTUS EN EUROPE
- 4.3.2.4. ANOPHÈLE ET PALUDISME
- 4.3.2.5. LES TRIATOMES
- 4.3.2.6. LES VECTEURS DU VIRUS WEST NILE
- 4.4. Modélisation de la dynamique d’une infection à transmission vectorielle
- 4.4.1. Les modèles statistiques
- 4.4.1.1. MODÈLE STATISTIQUE DE DÉTECTION D’ÉPIDÉMIE
- 4.4.1.2. LES MODÈLES DE PRÉDICTION DE LA FIÈVRE DE LA VALLÉE DU RIFT
- 4.4.1.3. PRÉVISION DE LA DYNAMIQUE DE LA MALADIE.
- 4.5. Les modèles théoriques
- 4.5.1. Principes
- 4.5.1.1. REPRÉSENTATION GÉNÉRALE
- 4.5.1.2. LE TAUX DE REPRODUCTION
- 4.5.1.3. L’INTERVALLE SÉRIEL OU INTERGÉNÉRATIONNEL
- 4.5.1.4. LES DÉTERMINANTS DU TAUX DE REPRODUCTION
- 4.5.1.5. LE MODÈLE DE ROSS ET MACDONALD
- 4.5.1.6. L’EXPRESSION (M . A2 . PN / -LNP) CORRESPOND A LA CAPACITÉ VECTORIELLE (CV) POUR UN SYSTÈME VECTORIEL DONNE
- 4.5.1.7. UN MODÈLE SIMPLE POUR UNE INFECTION VECTORIELLE ZOONOTIQUE (WEST NILE, KILPATRICK ET AL. (2005)
- 4.5.2. Applications des modèles
- 4.5.2.1. COMPRÉHENSION DE LA DYNAMIQUE DE TRANSMISSION ET IDENTIFICATION DES « GAPS » EN TERMES DE CONNAISSANCES POUR LA SURVEILLANCE ET LA RECHERCHE
- 4.5.2.2. ESTIMATION DES PARAMÈTRES DE TRANSMISSION FONDAMENTAUX (FORCE D’INFECTION, TAUX DE REPRODUCTION, INTERVALLE SÉRIEL…) AVEC DES APPLICATIONS RÉTROSPECTIVES VOIRE QUASI TEMPS RÉEL
- 4.5.2.3. ÉVALUATION DE RISQUE
- 4.5.2.4. ÉVALUATION A PRIORI (OU « PROSPECTIVE » AU SENS ASSESSMENT DES ANGLO-SAXONS) D’ACTION DE SANTE PUBLIQUE ET DE LEURS COMBINAISONS (CONTRIBUTION A L’ANALYSE DES RISQUES VECTORIELS)
- 4.5.2.5. ÉVALUATION A POSTERIORI DE L’IMPACT DE MESURES DE LAV MISES EN PLACE
- 4.6. Discussion
- 4.6.1. Constat
- 4.6.2. Peut on prédire la survenue, l’importance et la sévérité d’une épidémie ?
- 4.6.3. Limites des modèles
- 4.6.4. Recommandations
- 1. Les formations existantes en France
- 1.1. Formation initiale
- 1.1.1. Masters, formation et modules proposés en France en relation avec les vecteurs
- 1.1.2. Autres formations de niveau master ou ingénieur
- 1.1.3. Formation de techniciens en entomologie et en lutte antivectorielle en France
- 1.2. Formation continue
- 1.3. Formation à l’étranger
- 2. Les besoins en formation
- 2.1. Cadres
- 2.2. Techniciens
- 2.3. Qui peut faire la formation continue ?
- 3. Recommandations
- 1. Qu’est-ce que la recherche en LAV ?
- 1.1. Les leçons de l’histoire
- 1.2. Les champs de la recherche en LAV
- 2. Les recherches sur la LAV
- 2.1. Recherche sur la surveillance des vecteurs
- 2.2. Recherche sur la biologie des vecteurs
- 2.2.1. Systématique
- 2.2.2. La biologie des populations de vecteurs
- 2.3. Recherche sur les produits biocides
- 2.3.1. Nouveaux insecticides
- 2.3.2. Sensibilité/résistance aux insecticides
- 2.3.3. Répulsifs, association insecticides/répulsifs
- 2.3.4. La relation pesticides en agriculture/résistance des vecteurs
- 2.4. Recherche sur l’équipement et les matériaux
- 2.4.1. Matériel de pulvérisation
- 2.4.2. Matériaux imprégnés d’insecticides
- 2.5. Recherche sur les méthodes et stratégies de lutte
- 2.5.1. Relations entre les indicateurs entomologiques et les indicateurs épidémiologiques
- 2.5.2. L’évaluation des risques
- 2.5.3. Lutte génétique
- 2.5.4. Utilisation des Wolbachia
- 2.5.5. Lutte biologique
- 2.5.5.1. LES POISSONS ET LES INSECTES PREDATEURS
- 2.5.5.2. LES PARASITES OU AGENTS ENTOMOPATHOGENES
- 2.6. Recherche en sciences humaines et sociales
- 2.6.1. Histoire, géographie, psychologie…des perspectives à ne pas négliger
- 2.6.2. Les recherches en psychosociologie
- 2.6.2.1. LES RECHERCHES SOCIO-EPIDEMIOLOGIQUES
- 2.6.2.2. LES RECHERCHES SOCIO-EPIDEMIO-ENTOMOLOGIQUES
- 2.6.3. La dimension anthropologique
- 2.6.4. Les recherches en économie
- 3. Les acteurs de la recherche
- 3.1. L’industrie
- 3.2. Les instituts de recherche et les universités
- 3.3. Les opérateurs de lutte
- 3.4. Les agences
- 3.5. Les bailleurs de fonds
- 4. Recommandations
- 4.1. Comprendre ce qu’est un vecteur
- 4.2. Évaluer et prédire les risques de transmission vectorielle
- 4.3. Améliorer les méthodes de lutte actuelles et développer de nouvelles approches
- 4.4. Coordonner les efforts de recherche multidisciplinaires