Vieillir sous la révolution cubaine
|Remerciements
Texte intégral
1Je souhaite exprimer ma gratitude tout d’abord à l’égard d’Ana Vera Estrada, de Mildred De La Torre Molina et d’Enrique Beldarraín Chaple. Nos conversations m’ont été précieuses, tout comme leur confiance et leur amitié.
2Je remercie aussi mes amis et collègues de Cuba qui ont été mes interlocuteurs et mes guides tout au long de ces années. Je suis tout particulièrement reconnaissante à la famille Gutiérrez, dont l’hospitalité et l’amitié n’ont jamais failli.
3Mes remerciements vont également à mon laboratoire, l’Iris, l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (EHESS) qui a soutenu ce projet. J’ai une très grande reconnaissance envers l’Institut des hautes études de l’Amérique latine (IHEAL) et le Centre de recherche et de documentation sur les Amériques (Creda) qui ont accepté de publier cet ouvrage et l’ont soutenu par une subvention ; et également l’Institut des Amériques (IDA), qui m’a octroyé un prix d’aide à la publication.
4En leur sein, Marie Laure Geoffray a témoigné d’une grande générosité. Le séminaire que nous organisons avec d’autres chercheuses depuis plusieurs années a beaucoup enrichi ma réflexion.
5Je suis également très reconnaissante envers mes parents, mes filles et mon compagnon, qui ont accompagné ce projet de leur confiance et de leur intérêt, et envers Thomas Evrard, qui m’a permis de publier certaines de ses belles photos dans cet ouvrage.
6Je n’oublie pas les amis qui ont lu des versions plus ou moins élaborées de ce projet d’écriture et l’ont enrichi de leurs remarques et surtout Sylvie, France et François.
7Finalement, j’exprime une immense gratitude à Nelly Buffon, Marie Morel et Mathilde Périvier, qui ont permis à mon manuscrit de prendre forme et de paraître comme livre.
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