Postface

Je ne peux citer à cet endroit que quelques-unes de ceux qui ont rendu possibles mes recherches pour le présent ouvrage, et que je tiens à remercier tout particulièrement. La Freie Universität Berlin, où j’ai enseigné durant l’élaboration de cette étude, a mis à ma disposition des moyens de travail importants et en partie financé les voyages qu’il m’a fallu effectuer pour consulter les archives. Mes collègues en histoire économique et sociale, en particulier le Professeur W. Fischer et mon voisin de pupitre de longue date le Docteur H. Kiesewetter, m’ont chacun à sa manière poussé dans mes recherches et ont entretenu en moi ce soupçon de vaillance sans lequel il n’est pas possible de mener à son terme une étude de quelque ampleur. Quant au Professeur D. Lorenz/Berlin et au professeur G. D. Feldman/Berkeley ils ont attentivement relu mon manuscrit avant qu’il ne soit imprimé et m’ont suggéré nombre d’améliorations précieuses.

J’ai tiré le plus grand profit, durant la phase initiale de ce travail, d’un séjour de recherche d’une année qu’il m’a été donné de passer en 1975-1976 au Center for European Studies de Cambridge/Mass, et dans différentes archives des USA grâce à une bourse J. F. Kennedy de l’Université de Harvard. Parmi les collègues américains que j’ai rencontrés à cette occasion je tiens à remercier tout particulièrement le Professeur Stephen A. Schuker. Lors de nombreuses conversations et discussions, il m’a permis de profiter de son très riche savoir sur la période que je traitais et, grâce à sa connaissance presque inépuisable des fonds d’archives adéquats, m’a donné la possibilité de les utiliser ad fontes. De son côté, la DFG a généreusement soutenu sur le plan financier mes séjours de recherche auprès des archives européennes. Dans la phase terminale de ce travail et jusqu’à son achèvement, le soutien de tous les instants de mes collègues féminines, tout particulièrement de Madame H. Siesslack, m’a été très précieux pour la rédaction du manuscrit et je leur en sais extrêmement gré. La contribution de ma femme et de mes enfants n’a pas été moindre et ne s’est jamais démentie : elle a été toute de renoncement et de compréhension.

Berlin-Dahlem, en octobre 1980