Table des matières

Première partie. Serviteurs du roi

• I. LES CARRIÈRES
• A. ENTRER DANS LA CARRIÈRE
• 1. La formation des officiers de finance
• 2. La prise de possession des offices
• a. Les négociations privées
• b. L’intervention monarchique
• c. Les cautions
• d. Le serment
• e. Les contraintes de la transition
• B. FAIRE CARRIÈRE
• 1. Profils de charges : l’indicateur des revenus
• 2. Profils de charges : trois exemples
• a. Trésorier de France : prestige et monopolisation
• b. Receveur général : l’hétérogénéité maximale
• c. L’Extraordinaire des guerres : du tremplin à la spécialisation ?
• 3. Profils de carrières
• 4. Les charges complémentaires
• a. Secrétaire du roi : une ardente obligation ?
• b. Le poids des offices de finance locaux
• c. Les charges de finance curiales : la disparition
• d. La Chambre des comptes : tremplin ou repli ?
• C. PASSER LA MAIN
• 1. La succession dans les offices
• a. Les « mouvements »
• b. Les circulations familiales
• 2. La retraite ou la mort ?
• 3. Un cas particulier : suspensions et commis
• II. PERSONNEL ET DOSSIERS
• A. LE PERSONNEL SUBALTERNE
• 1. Clercs et commis au travail
• a. Les tâches à accomplir
• b. Les lieux de travail
• c. Hiérarchies et spécialisations
• 2. Les officiers et leur personnel
• a. Préalable : le commis suppléant ou auxiliaire ?
• b. Les gages
• c. Des relations financières complexes
• d. Un contrôle nécessaire et difficile
• 3. Au service d’un homme ou d’un département ?
• 4. L’office comme horizon
• B. LA DOCUMENTATION PROFESSIONNELLE
• 1. Les ouvrages de référence
• 2. Les archives
• III. UN ENGAGEMENT CONTRAIGNANT
• A. UNE VIE DE NOMADE
• 1. Le roi et son conseil
• 2. Les armées
• 3. La diplomatie
• 4. Courir la province
• B. LES RISQUES DU METIER
• 1. Les misères de la guerre
• 2. Les dangers de la diplomatie
• 3. Un service sans fin
• C. DES HOMMES POLYVALENTS
• 1. Le service de Cour
• 2. Édilité et construction
• 3. Ravitaillement et équipement des troupes
• 4. Un cas emblématique : Julien Bonacorsi
• Conclusion

• I. LES OFFICIERS DE FINANCE « AGENTS DE CIRCULATION » DES FONDS
• A. FLUX DE MONNAIES, FLUX DE PAPIERS
• 1. La mobilisation des liquidités
• a. Mobilisation des fonds, mobilisation des hommes
• b. Les aléas de la mobilisation des espèces
• c. Stockage et transport de fonds
• 2. Le papier financier
• a. Du papier contre de l’argent
• b. Du papier à la place d’argent
• c. La lettre de change
• 1. Les régulations internes
• 2. La délicate gestion des assignations
• 3. Le crédit assuré par les officiers de finance
• II. LES « MALVERSATIONS » : COMMENT ? POURQUOI ?
• A. DES PROCÉDÉS FRÉQUEMMENT DÉNONCÉS
• 1. Le détournement de fonds
• 2. Le recel des fonds
• 3. Le jeu sur les espèces
• 4. Les sujets comme victimes
• 5. Un complément nécessaire : les manipulations comptables
• B. RÉFLEXIONS SUR UN « MAL UNIVERSEL »
• 1. Un préalable : l’imbrication des fonds « publics » et « privés »
• 2. Une suspicion exagérée ?
• 3. L’impossible honnêteté
• Conclusion

• I. LE PROCÈS, FORME NORMALE DES RAPPORTS SOCIAUX ET PROFESSIONNELS
• A. UNE MARÉE DE PROCÈS
• B. LE CONTENTIEUX FINANCIER
• II. LES OFFICIERS DE FINANCE FACE AUX POURSUITES ROYALES
• A. ÊTRE OU NE PAS ÊTRE POURSUIVI
• 1. Une réalité quotidienne ?
• 2. La fuite, protection… et aveu ?
• 3. Les officiers de finance en prison
• B. FACE À LA MACHINE JUDICIAIRE
• 1. La défense
• 2. La procédure
• 3. Négocier
• C. UN ENJEU ESSENTIEL : LA SAUVEGARDE DES PATRIMOINES
• 1. Un maître mot : la dissimulation
• 2. Les épouses et les enfants en action
• 3. Les oppositions
• D. LE PRÉJUDICE CAUSÉ PAR LES POURSUITES
• 1. Le devenir judiciaire
• 2. Les poursuites et les carrières
• 3. Le préjudice pour le patrimoine
• Conclusion

Seconde partie. Les offices de finance dans la société de la Renaissance

• I. UNE PALETTE CLASSIQUE POUR UN RICHE TABLEAU
• A. LES ÉLÉMENTS D’UNE FORTUNE
• 1. L’incontournable office
• 2. La fortune mobilière
• a. De la cave au grenier
• b. Les portefeuilles de créances
• 3. Les opportunités de la rente
• 4. Le patrimoine urbain
• 5. L’accumulation rurale
• a. Un investissement universel ?
• b. Les politiques d’achat
• c. Géographie des patrimoines
• B. BILAN : DES PATRIMOINES EXCEPTIONNELS ?
• 1. Des estimations délicates
• 2. Les niveaux de fortune
• a. La documentation et son traitement
• b. Des actifs importants
• c. Comparaisons
• 3. Profils de fortunes
• II. DU PATRIMOINE À L’ENRICHISSEMENT
• A. LA GESTION DES FORTUNES
• 1. Qui gère ?
• a. De nombreux intervenants
• b. L’implication des officiers
• 2. Pratiques de gestion
• a. Le dossier du patrimoine rural
• b. Une gestion spécifique ?
• B. LA QUESTION DES REVENUS
• 1. Le niveau des revenus
• 2. Des liquidités abondantes ?
• C. S’ENRICHIR
• 1. Préalable : des héritiers ?
• 2. L’enrichissement : une donnée mesurable ?
• 3. Les logiques de l’enrichissement
• a. La rentabilité du capital
• b. L’office : un atout essentiel
• Conclusion

• I. LES RÉSEAUX INTERNES
• A. LA PRÉGNANCE DES LIENS FAMILIAUX
• 1. La densité des liens
• 2. La famille, cadre de référence
• 3. La signification des alliances
• 4. Liens familiaux et solidarités : une prudence de rigueur
• B. D’AUTRES SOLIDARITÉS : COMPLÉMENTARITÉS ET CONCURRENCES
• 1. La géographie
• 2. Les solidarités professionnelles
• 3. Solidarités spécifiques, solidarités perturbées : le problème religieux
• II. LES OFFICIERS DE FINANCE ET LES PUISSANTS
• A. LES CLIENTÈLES
• 1. Préalable : quelques réflexions sur les clientèles
• 2. La famille royale : Semblançay et les autres
• 3. Les puissants et les clientèles
• B. LES RELATIONS ÉCONOMIQUES AVEC LES PUISSANTS
• 1. Les relations marchandes
• 2. La gestion des patrimoines
• 3. Les jeux du crédit
• Conclusion

• I. L’INTÉGRATION AU SEIN DES ÉLITES
• A. LES HONNEURS URBAINS
• 1. Des bourgeois ?
• 2. L’administration urbaine
• 3. Édilité et statut social
• B. L’ATTRACTION NOBILIAIRE
• 1. L’accès à la noblesse
• 2. Les signes d’appartenance
• C. LA PROMOTION CLÉRICALE
• D. DE PÈRE EN FILS : L’ASCENSION SOCIALE
• 1. Le poids des héritiers
• 2. L’ascension sociale : une réalité
• 3. Des ascensions fragiles ?
• 4. Le devenir des enfants
• II. AFFIRMER SA SPÉCIFICITÉ ?
• A. LE SERVICE ROYAL, FONDEMENT DU STATUT SOCIAL
• 1. Faire service
• 2. Honneurs et privilèges
• 3. Les grands officiers de finance « en corps » ?
• 4. Honorabilité et maniement des fonds : une contradiction centrale
• B. DES RIVALITES SOCIALES ?
• 1. Les grands officiers concurrents ?
• a. La terre
• b. Médiateurs et protecteurs
• c. L’innovation culturelle
• 2. Le devenir des patrimoines
• a. Les poursuites financières : une revanche ?
• b. La circulation des biens
• Conclusion

• I. TRÉSORIERS DE FRANCE
• 1. LANGUEDOC
• 2. LANGUEDOÏL
• 3. NORMANDIE
• 4. OUTRE-SEINE ET YONNE
• II. CHANGEURS DU TRÉSOR
• III. GÉNÉRAUX DES FINANCES
• 1. BLOIS
• 2. BOURGOGNE
• 3. BRETAGNE
• 4. GUYENNE
• 5. LANGUEDOC
• 6. LANGUEDOÏL
• 7. MILAN
• 8. NORMANDIE
• 10. SAVOIE ET PIÉMONT
• IV. RECEVEURS GÉNÉRAUX DES FINANCES (JUSQU’À L’ORDONNANCE DE COGNAC)
• 1. BOURGOGNE (receveur général)
• 2. BRETAGNE (trésorier et receveur général)
• 3. DAUPHINÉ (trésorier et receveur général)
• 4. GUYENNE (receveur général)
• 5. LANGUEDOC (trésorier et receveur général)
• 6. LANGUEDOÏL (receveur général)
• 7. MILAN (trésorier et receveur général)
• 8. NORMANDIE (receveur général)
• 9. OUTRE-SEINE-ET-YONNE (receveur général)
• 10. PICARDIE (receveur général)
• 11. PROVENCE (trésorier et receveur général)
• 12. SAVOIE ET PIÉMONT (trésorier et receveur général)
• V. BIS RECEVEURS GÉNÉRAUX DES FINANCES À PARTIR DE DÉCEMBRE 1542
• 1. AGEN
• 2. AIX
• 3. AMIENS
• 4. BOURGES
• 5. CAEN
• 6. CHÂLONS (recette en fait pour l’heure basée à Reims)
• 7. DIJON
• 9. ISSOIRE
• 10. LYON
• 11. MONTPELLIER
• 12. PARIS
• 13. POITIERS
• 14. ROUEN
• 15. TOULOUSE
• 16. TOURS
• VI. TRÉSORIERS DE L’ÉPARGNE
• VII. TRÉSORIERS DES FINANCES EXTRAORDINAIRES ET PARTIES CASUELLES
• VIII. TRÉSORIERS DE L’ORDINAIRE DES GUERRES
• A. PREMIÈRE CHARGE
• B. SECONDE CHARGE
• IX. COMMIS/TRÉSORIERS DE L’EXTRAORDINAIRE DES GUERRES

• A
• B
• C
• D
• E
• F
• G
• H
• J
• K
• L
• M
• N
• O
• P
• Q
• R
• S
• T
• V
• W

• A
• B
• C
• D
• E
• F
• G
• H
• I
• J
• L
• M
• N
• O
• P
• Q
• R
• S
• T
• U
• V