Table des matières

Patrick Fridenson

• Organisation et innovation
• Sources
• Les sources écrites
• Les sources orales
• Les témoignages écrits
• Les sources imprimées
• Trois étapes

Première partie. Greffe discrète mais efficace de la comptabilité nationale au ministère des Finances (1948-1956)

• I. Des initiatives dispersées mais significatives
• A. Au ministère de l’Économie nationale
• 1. La création de l’INSEE
• 2. Le comité du Revenu national
• B. Le Plan lance la comptabilité nationale
• C. Les initiatives du ministère des Finances
• 1. L’inventaire Schuman
• 2. Le comité de Statistiques
• II. Le ministère des Finances s’adjoint sans stratégie délibérée les futurs acteurs de la comptabilité nationale
• A. Une nouvelle approche de l’économie
• 1. Une lente diffusion des idées keynésiennes
• 2. Une nouvelle appréhension de l’économie
• 3. Une influence keynésienne à nuancer
• B. Le retour en force du ministère des Finances
• 1. Une victoire sur le ministère de l’Économie nationale
• 2. Le plan Mayer renforce le poids du ministère des Finances
• C. François Bloch-Lainé : un jeune et entreprenant directeur du Trésor
• 1. Le rattachement du BSEF à la direction du Trésor (mai 1948)
• 2. La nomination de Claude Gruson à la direction du Trésor le 30 septembre 1948

• I. Les objectifs de Claude Gruson sont fondés sur un constat de carences
• A. Premier visé : l’INSEE
• B. La critique des statistiques disponibles à l’époque
• II. Claude Gruson définit sa stratégie à partir de 1949
• A. La doctrine de Claude Gruson
• 1. Le modèle allemand
• 2. Une influence keynésienne à nuancer
• B. Claude Gruson critique les premiers travaux de comptabilité nationale
• 1. François Perroux et l’ISEA
• 2. La commission du Bilan national
• 3. Le modèle anglo-saxon et la notion de revenu national
• III. Le comité d’Experts légitime le passage de la comptabilité nationale au ministère des Finances
• A. Des négociations faciles avec Jean Monnet
• B. Un comité qui officialise et légitime les objectifs de Claude Gruson
• 1. Le décret
• 2. Les réunions
• 3. Les résultats

• I. Pourquoi l’équipe de Claude Gruson n’est-elle pas officialisée administrativement ?
• A. Une stratégie délibérée de prudence
• B. Claude Gruson manifeste pourtant sa volonté de créer un service
• II. L’équipe de Claude Gruson
• A. Une équipe de comptabilité nationale se constitue
• B. L’époque des pionniers
• C. Les travaux : spécificités et limites
• III. Quelle intégration administrative ?
• A. Une équipe autonome qui bénéficie de la protection de la direction du Trésor
• B. Un scepticisme difficilement vaincu au ministère des Finances
• C. L’équipe de Claude Gruson interlocutrice des Américains

• I. La commission des comptes de la Nation
• A. Le décret de création de la commission des comptes de la nation renforce le SEEF
• B. Quel bilan ?
• 1. Le rapport 1953 : un rapport mendésiste
• 2. Les incertitudes…
• II. Le SEEF sur la scène politique
• A. L’aventure de L’Express
• B. Pierre Mendès France président du Conseil et la mission Gruson (juillet 1954)
• 1. Le rapport planificateur de Claude Gruson
• 2. La déception de Claude Gruson
• C. Le SEEF obtient grâce à Pierre Mendès France de nouveaux moyens

• I. Le service avant 1955
• A. Comment Claude Gruson contourne-t-il les obstacles administratifs ?
• B. La première formalisation date de 1954
• II. La mise en place d’une organisation originale de type adhocratique
• A. Un nouveau SEEF s’élabore à partir de 1956
• 1. La question des administrateurs civils
• 2. L’aide de la Banque de France
• B. Les problèmes d’organisation
• C. La définition d’une organisation atypique au sein de l’administration
• 1. Les caractéristiques adhocratiques du SEEF
• 2. Le rôle de Claude Gruson
• 3. Un service qui revendique son identité
• a. Les valeurs revendiquées au SEEF
• b. La délicate question des appartenances politiques
• III. La production des travaux et leur diffusion
• A. Le Tableau des Échanges Interindustriels (TEI)
• 1. Un précédent peu connu : X‑Crise
• 2. Le rejet du modèle américain
• 3. Un projet titanesque
• 4. Les enseignements du TEI pour une réflexion sur l’innovation
• B. La diffusion des travaux
• 1. La revue Statistiques et Études financières
• 2. L’enseignement
• 3. Les stages au SEEF
• 4. La création du Centre d’Études des Programmes Économiques (le CEPE)

• I. Les directions du ministère des Finances
• A. Un SEEF autonome vis-à-vis de la direction du Trésor
• B. Des relations ambiguës avec la direction du Budget
• 1. Le rapport économique de la loi de Finances
• 2. Les incompréhensions réciproques
• C. Les relations avec les autres directions du ministère
• II. Les relations avec le cabinet du ministre des Finances
• A. Un rapprochement progressif et significatif à partir de 1955
• B. Les notes au ministre
• 1. Claude Gruson critique la politique économique
• 2. Claude Gruson préconise un Plan fort
• 3. Les autres mesures que propose Claude Gruson…
• 4. L’expertise ponctuelle
• 5. Quelles conclusions en tirer sur la doctrine économique de Claude Gruson ?
• III. Le plan et l’INSEE
• A. Des relations étroites et parfois difficiles avec le Plan
• 1. Un rapprochement significatif à partir de 1953
• 2. Les réserves du Plan l’égard du SEEF
• B. L’INSEE

• Des circonstances historiques exceptionnelles favorables à l’innovation
• Une innovation discrète et informelle
• Une idée dans le vent
• De nouveaux besoins
• Un laboratoire de recherche ?
• Il y a mathématiques et mathématiques
• Une internationalisation est en marche

Deuxième partie. De la fragilisation à la rénovation 1957-1964

• I. Une apparente stabilisation
• A. Le cabinet Gaillard (du 13 juin au 6 novembre 1957)
• B. La dévaluation de 1958
• C. Le SEEF élargit son champ d’influence
• D. Les limites de l’influence
• 1. Claude Gruson critique les mesures économiques de décembre 1958
• a. Claude Gruson est hostile au traité de Rome
• b. Les mises en garde répétées de Claude Gruson
• 2. Une utilisation restrictive des travaux du SEEF ?
• II. Un contexte politique hostile
• A. Le cabinet Pinay
• B. Le comité Rueff-Armand
• C. La commission de Réforme administrative de 1959
• 1. Les admonestations de Michel Debré
• 2. Le pragmatisme de Valéry Giscard d’Estaing
• 3. Les conclusions du rapport
• 4. La réaction de Claude Gruson
• 5. Le réflexe maison du ministère des Finances

• I. La situation difficile de l’INSEE et ses griefs à l’égard du SEEF depuis 1948
• A. L’INSEE, victime des réductions budgétaires
• 1. L’INSEE voit fondre ses effectifs
• 2. L’INSEE victime de la direction du Budget
• 3. L’INSEE ne réussit pas à retenir ses meilleurs cadres
• 4. L’INSEE n’a pas les moyens de développer la recherche
• B. Le SEEF : un concurrent déloyal ?
• 1. Le SEEF est favorisé financièrement
• 2. Le conflit de compétence…
• 3. Les transferts de personnel…
• C. Les réserves de l’INSEE à l’égard du SEEF
• 1. La commission des comptes de la Nation et le CEPE
• 2. La position réservée de l’INSEE vis-à-vis des travaux de comptabilité nationale
• 3. La conjoncture et les budgets économiques…
• II. La grande offensive de Francis-Louis Closon
• A. L’attaque frontale de juin 1958
• 1. La France en situation d’infériorité sur le plan statistique vis-à-vis de ses partenaires européens
• 2. Les faibles rémunérations des statisticiens français
• 3. La dispersion des statistiques françaises
• B. Les arguments de l’INSEE pour annexer la comptabilité nationale
• C. l’INSEEF, un statut hybride ?

• I. L’enlisement de la crise
• A. Le cabinet du ministre des Finances est saisi dès l’été 1958
• 1. La défense de Claude Gruson en juillet 1958
• 2. La réponse de Francis-Louis Closon en septembre 1958
• B. La course aux appuis
• 1. La stratégie défensive de Claude Gruson
• 2. Francis-Louis Closon lutte contre l’enlisement de la crise…
• C. La mise en sourdine du conflit
• 1. La position conciliatrice de Valéry Giscard d’Estaing
• 2. Francis-Louis Closon baisse les armes
• II. Le règlement de la crise : le SEEF rentre dans le rang
• A. La régularisation des « clandestins » du SEEF
• B. Le règlement du statut de la commission des comptes de la Nation
• C. La nomination de Claude Gruson à la tête de l’INSEE

• I. Les volontés de Claude Gruson
• A. La nomination de Jean Saint-Geours
• B. L’ébauche par Claude Gruson du futur SEEF
• C. Les revendications de Claude Gruson, directeur général de l’INSEE
• 1. La note au ministre
• 2. La note au directeur du Trésor
• II. La résistance du SEEF
• A. Le début des négociations s’engage avec la nomination de Jean Saint-Geours
• 1. Une situation bancale…
• 2. Jean Saint-Geours défend le SEEF
• B. L’accord de partage du 16 mars 1962

• I. La réorganisation de l’INSEE
• A. L’INSEE à l’ère grusonienne
• 1. La planification
• 2. La coordination
• 3. La création de la direction des Synthèses économiques
• B. Les réactions à la réforme de Claude Gruson
• 1. Jugement sur les orientations
• 2. L’accueil réservé à l’INSEE
• 3. La coordination
• 4. La mise à l’écart de Jacques Méraud
• 5. La délicate question des comptes et budgets économiques
• C. Les réunions de coordination INSEE-SEEF
• 1. L’évolution des rapports de force entre le SEEF et l’INSEE
• 2. Des réunions utiles ?
• 3. Un recrutement difficile
• II. Le SEEF est-il dans une situation précaire de 1962 à 1964 ?
• A. Jean Saint-Geours est porteur d’un projet
• 1. Jean Saint-Geours, un homme rodé aux enjeux industriels
• 2. Jean Saint-Geours, un mendésiste convaincu
• 3. Jean Saint-Geours, un technocrate centralisateur
• 4. Jean Saint-Geours prône la rentabilité des investissements
• 5. L’objectif de Jean Saint-Geours : la modernisation et l’expansion économique
• B. Le jugement sévère de Jean Saint-Geours sur le SEEF
• 1. Le SEEF : un sacerdoce pour Jean Saint-Geours
• 2. Le SEEF traverse une crise de personnel
• 3. Le SEEF n’est pas opérationnel
• C. 1962-1964 : une période de statu quo et d’interrogations
• 1. Continuité structurelle
• 2. Le règlement du transfert avec l’INSEE
• a. Le problème de la division des Entreprises
• b. La question des budgets économiques
• 3. Les interrogations et la définition d’un nouveau SEEF
• 4. Le SEEF propose la création d’un bureau des Investissements
• D. Le plan de stabilisation : la crédibilité du SEEF en question
• 1. Le général de Gaulle impose le plan de stabilisation
• 2. La responsabilité du SEEF est mise en cause
• 3. Le SEEF n’est pas associé à la préparation du plan de stabilisation
• 4. Le point sur l’influence du SEEF
• a. Avant le plan de stabilisation
• b. Après l’annonce du plan de stabilisation

• I. Les différends entre le Plan et l’INSEE
• A. Le malentendu sur la politique des revenus
• B. Les relations délicates entre le Plan et l’INSEE à l’occasion de la préparation du 5^e Plan
• C. L’INSEE n’est pas soutenu par le cabinet du ministère des Finances
• II. Le repositionnement du SEEF vis‑à‑vis du Plan
• A. Le détachement du Plan du ministère des Finances
• B. La création des groupes Finances-Plan et le dossier des « clignotants »
• 1. Le SEEF à l’origine des groupes Finances-Plan
• 2. Le SEEF préconise une vision restrictive des « clignotants »

• Le lancement de la crise : « inévitabilité » de la crise ?
• Le déroulement de la crise : certaines caractéristiques…
• L’issue du conflit est-elle porteuse de changement ?
• Le changement est porteur de crise interne
• Le rôle déterminant du manager pour conduire le changement
• Le changement et le poids des contraintes
• Les contraintes politiques
• Les contraintes administratives
• Le poids du ministère des Finances

Troisième partie. Une jeune direction à la recherche d’une légitimité administrative et scientifique 1964-1968

• I. La création de la direction de la Prévision (juillet 1965)
• A. Les facteurs humains
• 1. Des relations distantes entre Jean Saint‑Geours et Maurice Pérouse
• 2. Une discorde entre Valéry Giscard d’Estaing et Jean Saint‑Geours…
• 3. Les raisons politiques
• 4. Une agrégation d’intérêts
• B. La logique institutionnelle
• 1. Au sein du ministère des Finances
• 2. Vis-à-vis de la direction du Trésor
• 3. Vis-à-vis du Plan
• C. Le décret de création
• 1. La préparation du décret
• 2. Le décret
• II. Une institutionnalisation difficile à gérer
• A. Les susceptibilités et les inquiétudes de l’INSEE
• 1. La réaction inquiète de Claude Gruson
• a. Tristesse et critiques de la part du père spirituel
• b. Le grand souci de Claude Gruson : la pénurie de personnel
• c. Un sujet d’incompréhension : les budgets économiques
• 2. Le SEEF revendique le retour de ses anciens contractuels
• 3. L’isolement de Claude Gruson
• B. Une jeune direction face à une crise de personnel
• 1. La délicate question des chargés de mission
• a. Vers un statut de fonctionnaires pour les chargés de mission ?
• b. La remise en cause du principe de l’assimilation
• c. La solution retenue
• 2. Une reprise en main : la question du temps de travail
• C. La difficulté à obtenir de nouveaux moyens
• 1. Jean Saint-Geours pratique la stratégie de contournement
• a. De difficiles négociations avec la direction du Personnel
• b. Le recours au ministre
• c. Ce que Jean Saint-Geours a obtenu

• I. Les idées-forces de Jean Saint-Geours, directeur de la Prévision
• a. La politique industrielle
• 1. Un bilan préoccupant
• 2. La critérologie et les études coût-avantage
• B. Une priorité : le renouvellement des méthodes
• 1. L’informatique
• 2. La recherche opérationnelle et le développement des mathématiques
• II. Stratégie et structure
• A. Les grandes orientations et l’organisation définies au cours de l’été 1965
• 1. Premier impératif : rénover les anciennes divisions
• 2. Les missions des nouvelles divisions : rentabilité de la dépense publique et renouvellement des méthodes
• B. La direction de la Prévision en 1967 : une structure duale et marginale ?
• 1. Entre héritage et nouveauté
• 2. La confrontation de deux écoles de pensée, la microéconomie et la macroéconomie ?
• 3. Un fossé entre les administrateurs civils et les chargés de mission ?
• 4. La réalité de l’atypisme administratif
• 5. L’organisation interne
• 6. Une remise à plat des méthodes de travail

• I. Le lancement de la RCB (1966‑1968)
• A. La RCB : fruit d’une stratégie délibérée
• 1. Le modèle américain : une aubaine
• 2. Le lancement interne du programme ODP
• 3. Le comité de Liaison
• B. La stratégie d’alliance avec la direction du Budget
• 1. La note de janvier 1967
• 2. La note de septembre 1967
• C. La récupération du projet par Michel Debré
• 1. Michel Debré séduit par le projet et l’officialise
• 2. La mission Huet
• D. Le paradoxe de la RCB : un lancement officiel malgré l’émergence de difficultés et la persistance des ambiguïtés initiales
• 1. Les études pilotes
• 2. Les stages en France et les missions aux États‑Unis
• a. Les stages
• b. Les missions aux États-Unis
• 3. La RCB : une menace structurelle pour la direction de la Prévision ?
• 4. Les difficultés, les doutes et les ambiguïtés
• a. Les relations entre l’expert et l’homme politique
• b. La pénurie de cadres
• c. Les relations avec les autres ministères
• d. Le rôle du Plan
• e. Centralisation ou décentralisation ?
• II. Les débuts de l’ère modélisatrice pour la macroéconomie
• A. Le recours aux modèles s’inscrit dans la tradition
• B. L’engouement des années soixante pour les modèles
• C. Les limites des modèles

• I. Les relations avec l’INSEE
• A. Un nouveau statut pour les administrateurs de l’INSEE
• B. Le difficile positionnement de l’INSEE au sein du triptyque
• 1. Le rééquilibrage avec la direction de la Prévision
• 2. Les désillusions de Claude Gruson et sa marginalisation
• 3. La démission de Claude Gruson
• II. Quelle intégration au ministère des Finances ?
• A. Rapprochement significatif avec les directions du ministère des Finances
• B. Quelle influence sur le cabinet ?
• 1. La routine administrative ?
• 2. Comment mesurer et interpréter les relations entre Michel Debré et ses experts économiques ?
• III. Le repositionnement vis‑à‑vis du Plan
• A. La doctrine de la direction de la prévision sert les intérêts du ministère des Finances
• B. Les groupes Finances-Plan
• C. La direction de la Prévision est réservée face à deux initiatives du Plan : le modèle Fifi et les « clignotants »

• Un nouveau contexte économique
• Innovation, bureaucratisation, rénovation
• Culture, doctrine et stratégie
• La direction de la direction de la Prévision, une adhocratie qui se bureaucratise ?
• La direction de la Prévision de 1965 à 1968 : de l’adhocratie à la technocratie ?

• Les ressorts et les phases de l’innovation…
• Ressources et dangers pour l’innovation dans l’administration…
• Forger une identité collective en fédérant des partenaires obligés…
• La révision du rôle et de l’influence des technocrates au cours des trente glorieuses…
• L’impact intellectuel sur le long terme…

Sources et bibliographie

Annexes

• Annexe 1
• Annexe 2
• Annexe 3
• Annexe 4
• Annexe 5
• Annexe 6
• Annexe 7
• Annexe 8
• Annexe 9
• Annexe 10
• Annexe 11
• Annexe 12
• Annexe 13
• Annexe 14

• Organigramme officiel de la direction du Trésor – 1952 (Bottin administratif)
• Équipe de comptabilité nationale - 1952

• La direction du Trésor - 1955
• Le SEEF - 1955
• Les administrateurs civils et inspecteurs des Finances du SEEF - 1955
• Les chargés de mission du SEEF - 1955

• Le SEEF - 1959
• Les administrateurs civils et inspecteurs des Finances du SEEF - 1959
• Les chargés de mission du SEEF - 1959

• Le personnel du SEEF affecté à l’INSEE en 1963

• Direction de la Prévision – 1965
• La direction de la Prévision – 1967
• La sous-direction C - RCB de la direction de la Prévision – 1970
• Les chargés de mission de la direction de la Prévision - 1965
• Les chargés de mission de la direction de la Prévision - 1967
• Les administrateurs civils et inspecteurs des Finances de la direction de la Prévision - 1965
• Les administrateurs civils et inspecteurs des Finances de la direction de la Prévision - 1967

• L’école de la comptabilité nationale
• Les groupes « Finances-Plan »
• L’après 1968 à la direction de la Prévision

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