Table des matières

Remerciements

François Monnier

Préface

• Des objectifs
• Un corps de doctrine

Dominique Schnapper

Avant-propos

Vingt ans après

Introduction

Première partie. De l'histoire orale aux archives orales : histoire d'une acclimatation

Introduction

Chapitre premier

L’expulsion de la source orale du paysage historiographique français (xviii^e-xix^e siècles)

• I. L’invention de l’érudition ou la dévalorisation de la tradition orale
• 1. Les témoins oculaires et les historiens de l’Antiquité.
• 2. L’invention de l’érudition.
• 3. Michelet et les témoignages de ses contemporains.
• II. L’école méthodique française et le rejet de la tradition orale (1880-1930)

Chapitre II

L’Amérique pionnière : la naissance de l’« histoire orale » et son expansion en Europe au XX^e siècle

• I. L’école de Chicago
• 1. La création du département de sociologie de l’université de Chicago
• 2. La méthode des « histoires de vie »
• 3. Le développement d’une histoire orale « vue d’en bas »
• II. Le département d’histoire orale de l’université de Columbia
• 1. Histoire orale ou archives orales « vues d’en haut » ?
• 2. Le développement d’une histoire orale « vue d’en haut »
• III. Institutionnalisation et diversification de l’histoire orale aux Etats-Unis
• 1. Normalisation de l’histoire orale américaine
• 2. Les développements récents de l’histoire orale américaine
• 3. L’expansion de l’histoire orale hors des États-Unis
• IV. L’irruption de l’histoire orale en Europe
• 1. L’Angleterre chef de file
• 2. L’histoire orale italienne
• 3. L’histoire orale allemande

Chapitre III

La résurgence de la source orale en France dans la première moitié du xx^e siècle : une suite d’occasions manquées

• I. La méfiance a l’égard de l’histoire contemporaine et la dévalorisation du témoin par l’école historique française
• II. Le recours aux témoignages et les sciences sociales naissantes : entre tâtonnements et innovations
• 1. Dans le domaine religieux
• 2. Du côté du folklorisme
• a. Les premières collectes folkloristes au xix^e siècle
• b. Les Archives de la parole
• c. La discipline folkloriste dans l’entre-deux-guerres
• 3. Du côté de l’ethnologie
• 4. Du côté de la sociologie
• 5. Du côté de la géographie
• III. Les annales ou l’histoire en effervescence : un contexte favorable pour extraire la source orale de son purgatoire ?
• 1. La redécouverte et la prise en compte du contemporain
• 2. Les Annales : pour une histoire « vue de l’intérieur » ?
• 3. Marc Bloch et la critique des témoignages
• 4. Mémoire et histoire
• IV. Une marginalisation et une dévalorisation de la source orale qui perdurent dans l’après-guerre
• 1. Les méthodes quantitatives ou les succès d’un nouveau scientisme
• 2. Les séductions de l’histoire quantitative
• 3. Des frémissements du côté du politique

Chapitre IV

La lente réintégration de la source orale en histoire

• I. Mai 68 ou la mise en place d’un contexte intellectuel favorable
• 1. Interrogations épistémologiques et contestation du « positivisme » en histoire.
• 2. Mai 68 ou la découverte du « vécu ».
• a. La révolution sociologique qualitative : entretiens non directifs, récits de vie et histoire orale.
• b. Les développements médiatiques et éditoriaux de l’histoire orale.
• II. Percée de l’histoire orale en France (1975-1985)
• 1. Ethnographie, ethno-histoire et histoire sociale.
• 2. Premier bilan de l’histoire orale à la française.
• 3. L’histoire des mentalités et des représentations ou la version savante de l’explosion du « vécu ».
• a. De nouveaux territoires pour l’historien.
• b. L’acclimatation d’une histoire des mentalités en histoire contemporaine : histoire des représentations et mémoire collective.
• c. Mémoire et patrimoine.

Chapitre V

Vers une histoire orale « vue d’en haut » (les années quatre-vingt)

• I. Histoire, mémoire, identité. Un nouveau paradigme ?
• II. Le grand retour de l’histoire politique
• III. La constitution d’une histoire du temps présent : l’avènement de « l’ère du témoin »
• 1. La création de l’IHTP
• 2. La rénovation de l’histoire politique contemporaine en France : l’appel aux témoins

Chapitre VI

De l’histoire orale aux archives orales

• I. Une nouvelle demande sociale en histoire de la part des organisations : « entre science et conscience »
• 1. Le développement de l’histoire d’entreprise et le recours à la parole des acteurs
• 2. Un nouvel acteur institutionnel sur le marché de l’histoire : les comités d’histoire ministériels
• II. Une expérience pionnière et fondatrice : la constitution des archives orales de la sécurité sociale (1975-1980)
• 1. Le rôle d’un « éveilleur » : Guy Thuillier, promoteur des archives orales
• 2. Les archives orales institutionnelles de la Sécurité sociale

Chapitre VII

La constitution d’un pôle patrimonial « columbien » (les années quatre-vingt-dix)

• I. Les archives orales et les institutions patrimoniales traditionnelles
• 1. La section « Histoire orale » du Service historique de l’armée de l’Air (1974).
• 2. Les archives orales du Service historique de la Marine (1979).
• 3. Les archives orales aux Archives nationales (1980).
• 4. Les archives orales du Quai d’Orsay (1981).
• II. L’extension du pole patrimonial des archives orales : les comites d’histoire, les associations pour l’histoire des entreprises et les services historiques
• 1. Les archives orales du Comité pour l’histoire économique et financière de la France (1988).
• 2. La multiplication des opérations d’archives orales institutionnelles dans les années quatre-vingt-dix.
• a. Des archives orales « vues d’en haut ».
• b. Des archives orales « vues de l’intérieur ».
• c. Des archives orales « vues d’en bas ».

Chapitre VIII

Vers une acclimatation définitive des sources orales dans le paysage historiographique français

• I. Institutionnalisation et banalisation du recours a la source orale
• 1. Archives orales, enseignement et formation
• 2. Normalisation et diversification du recours à la source orale en histoire
• 3. Diffusion généralisée de la source orale en histoire contemporaine
• II. Une acclimatation réussie, un débat clarifie, des défis a relever..
• 1. Un bilan en apparence positif
• 2. Mise au point terminologique. Afin que tout le monde s’entende !
• 3. Quel avenir pour les sources orales ?

Deuxième partie. L'ingénierie des archives orales

Introduction

Chapitre premier

Les conditions préalables au lancement d’une campagne d’archives orales dans une organisation : un processus de maturation historique

• I. Les facteurs favorables au développement d’un processus de maturation historique
• II. Une demande sociale confuse et diffuse
• 1. L’histoire, fille de la mémoire ?
• 2. De la mémoire à l’histoire : le rôle de l’offre.
• 3. Un test : la question des archives écrites.
• 4. La marche vers les archives orales.
• III. Les acteurs du système « archives orales »
• 1. Un éveilleur persuasif.
• 2. Un décideur inspiré et convaincu.
• 3. Un chef de projet entreprenant.

Chapitre II

La mise en place du système « archives orales »

• I. Définir une philosophie générale
• 1. Une approche patrimoniale vouée à la recherche historique
• 2. Un groupe de pilotage
• 3. Définition des objectifs
• II. Mise en place du dispositif opérationnel des archives orales
• 1. Les témoins
• a. Un corpus de témoins « polyphonique »
• b. Quel est le nombre idéal d’interviewés ?
• c. Le repérage des témoins et la confection de la liste
• d. La lettre d’appel à témoignage
• e. La réception du projet « archives orales » par les anciens acteurs
• 2. Les archivistes-oraux
• a. Leur profil
• b. La gestion de l’équipe des archivistes-oraux

Chapitre III

La préparation intellectuelle de la campagne d’archives orales

• I. Un socle de connaissances solides à acquérir
• II. Le choix de la méthode d’entretien : questionnaire, grille d’entretien ou récit de vie ?
• 1. Le questionnaire directif et systématique
• 2. Le récit libre ou l’entretien non directif
• 3. L’entretien semi-directif
• 4. Le récit de vie
• 5. Le récit de carrière « intégré » ou « imbriqué »
• 6. Autres méthodes d’entretien possibles

Chapitre IV

La préparation et la conduite de l’entretien

• I. Du côté des sciences humaines et sociales
• II. La préparation individuelle de l’entretien
• 1. Quelques principes simples pour préparer l’entretien biographique.
• 2. Construire un scénario d’entretien.
• 3. Le questionnaire doit-il être préalablement fourni au témoin ?
• 4. Que faire si le témoin a déjà écrit ses mémoires ?
• 5. Entretien et archives écrites.
• III. Mener l’entretien
• 1. Quelques suggestions pour la conduite de l’entretien.
• 2. Quelques difficultés dans le cours de l’entretien.
• 3. La « reprise ».
• IV. Et si l’on filmait les entretiens ?

Chapitre V

Les conditions matérielles et l’environnement de l’entretien

• I. Le lieu de l’entretien
• II. La présentation de soi
• III. Le temps de l’entretien
• IV. Le matériel et la prise de son

Chapitre VI. Vers la constitution d’un fonds d’archives orales

• I. Le dossier archivistique individuel
• 1. Le témoin
• 2. L’entretien
• 3. La méthode
• 4. Les sources
• 5. L’exploitation
• II. Le statut juridique complexe des archives orales provoquées
• 1. Un jeu à trois partenaires
• a. Les droits du témoin
• • La protection de sa vie privée et de son image
• • Le témoin et les droits d’auteur
• b. Les droits de l’intervieweur
• • L’intervieweur et la qualité d’auteur
• • Le cas de l’auteur salarié régi par le droit privé
• • Le cas de l’auteur fonctionnaire
• c. Les droits de l’organisme producteur
• d. Conclusions temporaires
• e. Le cas particulier des « œuvres posthumes »
• 2. La fiche de communicabilité
• III. Les instruments de travail
• 1. La cotation des enregistrements
• 2. Les instruments de travail et de recherche
• IV. Les locaux de conservation et de consultation
• 1. La conservation des documents
• 2. La consultation des documents

Chapitre VII. Le budget des archives orales

Troisième partie. Archives orales et exploitation historique

Introduction

Chapitre premier

De l’extraction des informations à la transcription intégrale

• I. Une utilisation « minimaliste » des archives orales
• 1. La consultation des inventaires et du dossier individuel
• 2. La simple écoute des enregistrements (sans prise de notes)
• 3. L’extraction d’informations et les tentations de l’analyse quantitative
• 4. L’analyse résumée ou « condensée »
• II. L’art de la transcription ou le respect de la source orale
• 1. Qui transcrit ?
• 2. Que transcrire ?
• 3. Comment transcrire ?
• 4. Le statut de la transcription
• Pour conclure sur la transcription

Chapitre II

Pour une utilisation approfondie des archives orales

• I. L’usage « illustratif » ou ornemental de la source orale
• II. L’usage « expressif » ou « restitutif » de la source orale morceaux choisis et corpus de témoignages
• III. Pour une exploitation approfondie des sources orales : la démarche analytique
• 1. La constitution du corpus de témoignages et L’immersion dans la source orale
• 2. L’analyse de contenu
• a. Imperfection mais nécessité de l’analyse de contenu
• b. Analyse de contenu et analyse du discours
• 3. L’analyse de contenu en histoire
• a. La méthode des profils biographiques
• b. La méthode thématique
• c. La réalisation d’un thésaurus-lexique
• 4. La démarche comparative ou la source orale en dialogue avec elle-même
• 5. Un équilibre entre exposé argumentatif et citations documentaires
• IV. Déontologie de l’exploitation des archives orales : de l’esprit de finesse et du devoir de responsabilité de l’historien
• 1. La soumission des citations au témoin
• 2. Le devoir d’objectivité et de responsabilité de l’historien
• 3. Atteinte à l’image et à la vie privée des personnes et diffamation

Chapitre III

Les limites des archives orales rétrospectives

• Introduction
• I. Le caractère nécessairement imparfait de la collecte des témoignages
• 1. L’hétérogénéité des témoignages
• 2. Le remède : une professionnalisation de la collecte et une réflexion méthodologique en amont
• II. Le « handicap de l’a posteriori » et le travail de la mémoire
• 1. Le procès de la mémoire
• a. L’irrecevabilité des témoignages oraux
• b. Les effets pervers de la mémoire
• c. Invérifiabilité des témoignages en matière de représentations
• d. Une réticence diffuse persistante
• e. Une tare : l’incapacité des témoignages à dater précisément les événements
• III. La parole est à la défense !
• 1. Des critiques qui ne sont pas l’apanage exclusif des témoignages oraux
• 2. L’art de l’historien : faire parler les documents « contre leur gré »

Chapitre IV

Les remèdes ou les dispositifs correctifs au handicap de l’a posteriori

• I. Mener une réflexion méthodologique exigeante
• 1. Adopter un « questionnaire » approprié
• a. Quelques contre-indications
• b. Mettre en œuvre une tactique d’évitement à l’égard des sujets propices à reconstruction
• 2. Privilégier des témoins désengagés ou désintéressés
• II. Constituer des archives orales contemporaines ou immédiates
• 1. Réduire « le coefficient de rétrospectivité »
• 2. Comment procéder pour constituer ces archives orales contemporaines ?
• III. Transformer « le handicap de l’a posteriori » en richesse : l’étude de la mémoire

Chapitre V

Appliquer une critique des sources exigeante

• I. Appliquer les règles traditionnelles de la critique des documents aux témoignages oraux : « a la poursuite du mensonge et de l’erreur »
• 1. La critique externe
• 2. La critique interne
• a. La critique d’interprétation
• b. La critique de sincérité et d’exactitude
• 3. Par-delà l’erreur et le mensonge
• II. Croiser les témoignages : la recherche de la concordance
• III. Prendre garde aux séductions de « l’idéologie biographique »
• 1. « L’illusion biographique » du côté du témoin
• 2. « L’illusion biographique » du côté du biographe
• 3. À propos de quelques concepts « biographiques »

Quatrième partie. Intérêt, richesses et développements possibles de la source orale en histoire

Introduction

Chapitre premier

Une conception traditionnelle : la source orale comme une source palliative

• I. Les sources orales et les interstices des archives écrites pour l’histoire du politique et des institutions
• 1. L’histoire de l’État : la recherche du confidentiel
• 2. Les grandes organisations et la culture du secret
• 3. La source orale et les « clandestins » de l’écrit
• II. Absence de sources écrites, émergence de nouveaux sujets « parlants » en histoire sociale
• 1. La source orale et les « oubliés » de l’écrit
• a. Archives orales et « exclus »
• b. Comment constituer ces archives orales de l’exclusion ?
• 2. Archives orales, « usagers » et société civile
• 3. Archives orales et anonymes
• 4. Sources orales et histoire des métiers
• 5. La source orale et les « broyés de l’histoire »
• 6. Les archives orales et les « condamnés de l’histoire »

Chapitre II

Pour une prosopographie historique enrichie des acteurs : biographies et sociobiographies

• I. Des biographies incarnées et situées
• 1. Un état-civil enrichi
• 2. Vie domestique et vie familiale
• 3. Vie matérielle, vie quotidienne
• 4. Vie scolaire, vie étudiante
• 5. Vie professionnelle, vie publique
• a. Cursus officiel
• b. Cursus parallèle
• c. Environnement et réseaux
• 6. Un « capital biographique » ?
• II. Témoignages, représentations, « vécu », rationalité de l’acteur
• 1. Les perceptions, les pensées, les opinions
• 2. Les sensations, les affects, les émotions, les sentiments
• 3. L’imaginaire et le rêve
• 4. Les normes, les logiques internes, les valeurs et les croyances.
• a. Diversité des régimes d’action
• b. Pour en savoir plus sur les morales de l’action
• c. Quel mode de questionnement ?

Chapitre III

Sources orales et histoire des organisations

• I. L’espace du quotidien
• 1. L’espace
• 2. Le temps de l’organisation
• 3. Les gestes du travail au quotidien
• 4. Les coutumes et les rites
• II. Les acteurs et le systeme
• 1. Les protagonistes
• a. Le poids des personnalités individuelles et une psychosociologie des organisations
• b. Les « clandestins » des organisations
• c. Les relations interpersonnelles dans le travail et hors travail
• 2. Structures et rôles
• a. Organigramme et structure
• b. Une microsociologie des pouvoirs
• c. Les onze rôles du dirigeant
• d. Environnement et système d’action
• 3. Stratégies professionnelles, stratégies de groupe, stratégies organisationnelles
• a. Stratégies individuelles et stratégies collectives
• b. L’élaboration des stratégies individuelles et collectives
• c. Les stratégies surajoutées ou masquées
• 4. La décision et la « crise »
• III. Les technologies visibles et invisibles
• 1. Outils et instruments de travail visibles
• 2. Tâches professionnelles et gestes du travail
• 3. « Technologies invisibles » et outils de gestion.
• 4. Connaissances et compétences des acteurs
• a. Connaissances et compétences
• b. La gestion de l’information
• IV. Sources orales, « sphere symbolique » et culture organisationnelle
• 1. Cultures d’entreprises, cultures directionnelles, cultures ministérielles ?
• a. Dans les entreprises
• b. Dans l’administration
• 2. Cultures locales, cultures globales ?
• 3. Quel mode de questionnement ?
• 4. Archives orales et transformation des systèmes de valeurs
• 5. Témoignages oraux et mémoire organisationnelle

Chapitre IV

La valorisation des archives orales et leurs produits dérivés

• I. Décrire, montrer, exposer, donner à voir et à entendre
• 1. Les instruments de travail entre valorisation scientifique, communication externe et communication interne
• 2. Donner À voir et À entendre
• a. L’exposition
• b. Les disques et les produits multimédias
• c. Radio et télévision
• 3. Les publications de témoignages
• 4. La Journée « Témoins »
• II. Archives orales et gestion des organisations
• 1. De la communication institutionnelle au renforcement de la culture organisationnelle
• 2. Archives orales, gestion des informations, transmission des connaissances et gestion des ressources humaines
• a. Transmission des informations, des connaissances et des compétences
• b. Archives orales et « purgation » de la mémoire
• 3. Archives orales, culture organisationnelle et stratégie
• a. Archives orales et métiers
• b. Archives orales et culture organisationnelle
• c. Archives orales, management et changement
• d. Quel dispositif pour de telles archives orales ?

Conclusion générale. Les archives orales, une porte pour « entrer en histoire »

• I. Les archives orales : un outil pédagogique et tactique
• II. Les archives orales comme initiation au métier d’historien et comme lieu d’approfondissement méthodologique

Annexes

Quelques collections d’archives orales institutionnelles parisiennes
(état au 1^er décembre 2005)

• Service Historique de la Défense : Département de l’Armée de l’Air
• Service Historique de la Défense : Département de la Marine
• Direction des Archives
  Ministère des Affaires Étrangères
• Institut pour l’Histoire de l’Aluminium
• Comité pour l’Histoire Économique et Financière de la France
• Service historique de l’Éducation (URA CNRS 1397)
• Comité d’histoire du ministère de la Culture et des institutions culturelles
• Association pour l’Histoire de Paribas
• Institut National de la Recherche agronomique INRA
• Association pour l’histoire des Caisses d’Épargne
• Service Historique de la Défense : Département de l’Armée de Terre

Bibliographie

• I. Références méthodologiques concernant l’histoire orale
• II. Les archives orales
• 1. Méthodologie générale
• 2. Inventaires ou catalogues d’archives orales
• 3. Enregistrement, prise de son et conservation des documents sonores
• 4. Droit des archives orales
• III. Méthodologie de l’entretien : théorie et pratique, conduite et exploitation
• IV. La mémoire
• V. Récits de vie, histoires de vie, autobiographies. Problèmes et méthodes
• VI. Historiographie, épistémologie et histoire du temps présent
• VII. Quelques travaux d’histoire sociale
• VIII. Histoire de l’état, de l’administration, des fonctionnaires ou des armées
• IX. Histoire des entreprises

Postface. À propos de l’avis du conseil économique et social

« Les “archives orales” ». Rôle et statut. ». Présenté par Georgette Elgey. Publié au Journal Officiel le 17 janvier 2001 (76 p.)

• Les préconisations du Conseil économique et social

Index des noms de personnes

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• Y

Index analytique

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