Table des matières

Youssef Courbage et Manfred Kropp

Avant-Propos / Vorwort

• Version française de l'avant-propos
• Version allemande de l'avant-propos

Manfred Kropp

Propos de bienvenue

Philippe Lecourtier

Discours de Monsieur l’ambassadeur de France, Son Excellence M. Philippe Lecourtier

Günter Kniess

Discours de Monsieur l’ambassadeur d’Allemagne, Son Excellence M. Günter Kniess

Ghazi Aridi

Discours du ministre libanais de la culture Ghazi Aridi

Marc Gaborieau

L’islam et les grandes religions asiatiques selon les orientalistes français

• Prologue
• Manque relatif d’intérêt pour l’islam
• 1. La fascination des conflits
• 1.1. Clash de civilisations ?
• 1.2. Des conflits localisés et souvent provoqués
• 1.3. Des différences limitées
• 2. Les jeux de la compétition
• 2.1. Compétitions religieuses sur les marchés d’Asie du Sud-Est
• 2.2. Joutes magiques des soufis sur le toit du monde
• 3. L’organisation de la coexistence
• 3.1. Religions dominantes et religions dominées selon la tradition
• 3.2. Évolutions modernes
• 4. Recherche de convergences
• 4.1. Hiérarchie versus égalitarisme
• 4.2. Convergences mystiques
• 4.3. Correspondances culturelles
• 5. Mécanismes d’appropriation
• 5.1. Conservation des structures sociales
• 5.2. Adoption d’institutions religieuses
• 5.3. Reprise de modèles littéraires
• 6. Tentatives de syncrétisme
• 6.1. Imputations discutables
• 6.2. Rareté du syncrétisme véritable
• 6.3. Empilement plutôt que syncrétisme
• Épilogue
• Éloge de la complexité et de l’orientalisme

Baber Johansen

Islamic studies. The intellectual and political conditions of a discipline

Ridwan al-Sayyid

Commentary

Henry Laurens

L’orientalisme français : un parcours historique

• Naissance de l’orientalisme français au xvii ^e siècle
• L’orientalisme des Lumières
• Le xix^e siècle
• L’orientalisme du XX^e siècle, un savoir appliqué ?
• La situation d’aujourd’hui

Stefan Reichmuth

Discourses of Orientalism?

The Topicality of Islamic and Oriental Studies in Present-Day Germany

Samir Kassir

Commentaire

Christian Décobert

Conclusion générale

Pour ne pas en finir avec les sciences orientales