L’établissement rural des xe-début xie siècle de Villeneuve à Poupry (Eure-et-Loir)
The 10th-early 11th century rural settlement of Villeneuve in Poupry (Eure-et-Loir)
p. 227-233
Résumés
L’établissement rural carolingien de Villeneuve à Poupry (28) constitue un exemple d’implantation élitaire du xe s., dans la frange méridionale de la Beauce, qui a pu être fouillée dans son intégralité. Ce site, peu ordinaire, se caractérise par une étendue de 3 ha, la présence d’une vaste enceinte fossoyée renfermant des bâtiments monumentaux, la spécialisation de certains secteurs d’occupation, une capacité de stockage relativement importante, l’abondance du matériel de mouture, la quantité notable de céramique issue d’ateliers parfois éloignés et une assez grande variété de mobilier.
The Carolingian rural settlement of Villeneuve in Poupry (28) is an example of a 10th-century elite settlement on the southern fringe of the Beauce region, which has been fully excavated. This unusual site covers an area of 3 hectares, with a vast ditched enclosure enclosing monumental buildings, the specialisation of certain sectors of occupation, a relatively large storage capacity, abundant milling material, a significant quantity of pottery from fairly distant workshops and a fairly wide variety of artefacts.
Entrées d’index
Mots-clés : établissement rural élitaire, carolingien, Beauce
Keywords : elite rural settlement, Carolingian, Beauce
Texte intégral
1. Présentation du site
1Le site de Villeneuve a été découvert en 2003 à l’occasion d’un diagnostic dirigé par Vincent Goustard (Goustard 2003). En 2011, une autre évaluation, conduite par Gabriel Chamaux (Chamaux 2011), a permis de cerner sa limite occidentale. Totalement inscrit dans l’emprise de la zone d’activité d’Artenay (45)/Poupry (28), il a fait l’objet d’une fouille préventive entre octobre 2015 et mars 2016. L’intervention a été réalisée par une équipe d’une quinzaine d’agents du service archéologique du département d’Eure-et-Loir, sous la responsabilité scientifique de Sophie Liegard (Liegard 2022).
2Hormis les structures médiévales, les 4,5 ha décapés ont livré différents vestiges préhistoriques : mobilier lithique, structure de combustion, fosses de profil particulier et grandes fosses d’extraction de matériaux marno-calcaires, dont la majeure partie date du Néolithique final et semble contemporaine des occupations fouillées dans ce secteur (Chamaux à paraître). L’emprise décapée renfermait également trois aires d’ensilage de La Tène ancienne abritant 31 structures de stockage associées à deux phases d’occupation datant d’environ 450 et 400 av. n. è. Trois grandes fosses cylindriques de La Tène finale ont aussi été mises au jour. Enfin, il convient de signaler la présence, dans la partie nord du site, d’une probable doline dont la dernière phase d’activité de soutirage remonte au milieu du xxe s.
2. Organisation du site médiéval
3Les vestiges médiévaux se répartissent sur une surface de l’ordre de 3 ha (Fig. 1). Ils comprennent près de 400 structures en creux (fossés, trous de poteau, silos, structures de combustion et latrines) attribuables à une période d’environ un siècle, couvrant la majeure partie du xe s. et le début du xie s.
Fig. 1 - Plan des vestiges médiévaux du site de Villeneuve à Poupry.

A. Fourvel.
4Ils s’organisent dans et autour d’un enclos fossoyé trapézoïdal (de 86 × 58 m) de près de 5 000 m2, dont les fossés ont une largeur moyenne de 1,80 m pour une profondeur moyenne de 0,90 m. L’étude de leurs comblements indique qu’ils ont dû faire l’objet d’au moins deux curages successifs. L’interruption des fossés, au nord-est, ménage un accès de 15 m de large barré par un alignement de trous de poteau. Ces derniers sont en relation avec un système de fermeture – englobant au moins une porte – disposé dans l’axe des talus qui devaient longer les fossés du côté interne de l’enclos.
5Ce dernier renferme deux grands bâtiments sur poteaux puissamment fondés (Fig. 2), une construction beaucoup plus modeste sur quatre poteaux, ainsi sans doute qu’un autre édifice uniquement matérialisé par deux gros trous de poteau. Deux alignements de petits creusements suggèrent la présence de clôtures palissadées. Deux segments de petits fossés linéaires longent le mur sud du plus grand bâtiment. Ce dernier abrite un silo et un cellier. Six autres silos ont été découverts à l’intérieur de cette enceinte, dont quatre regroupés dans sa partie occidentale.
Fig. 2 - Vues d’ensemble des trous de poteau des deux bâtiments monumentaux se trouvant dans l’enclos principal.

A. Lelong.
6En périphérie de l’enclos principal, une douzaine de concentrations de structures en creux côtoient des vestiges de fossés parcellaires délimitant plusieurs axes de circulation – pour certains contemporains de l’occupation du site – ainsi que deux autres enclos plus modestes, vides de tout creusement. Le premier, de plan presque carré (de 18,40 × 21,50 m), localisé au nord, délimite une surface de 400 m2, alors que le second, rectangulaire (de 9 × 13 m), situé au nord-est, a une emprise de l’ordre de 120 m2.
7Les secteurs périphériques à l’enclos principal recèlent 70 silos, 11 aménagements semi-excavés, 7 bâtiments sur poteaux (de 20 à 65 m2), 3 fours et plusieurs latrines. Ces vestiges semblent appartenir à différentes unités d’occupation renfermant chacune une aire d’ensilage, souvent associée à une construction sur poteaux, voire à un ou plusieurs bâtiments semi-excavés et latrines. Trois de ces unités abritent les vestiges de fours. Le premier a été aménagé dans la paroi ouest du fossé occidental de l’enclos principal ; le deuxième se trouvait à l’intérieur d’un aménagement semi-excavé positionné au sud-ouest du site (Fig. 3) ; et le troisième se localisait au nord-est, dans un creusement environné de plusieurs silos.
Fig. 3 - Vue de deux des aménagements semi-excavés contigus mis au jour dans la partie sud-ouest du site, avec four (à gauche) et silos (à droite) ; la mire mesure 1 m.

S. Jan.
3. Les constructions sur poteaux
8Parmi la dizaine de bâtiments dont les plans ont pu être restitués, six présentent des dimensions modestes, leurs surfaces étant comprises entre 12 et 35 m2. Le nombre des trous de poteau associés à ces constructions varie de quatre à dix. Un édifice de taille plus imposante a été mis au jour dans la partie ouest du site. D’une surface de 75 m2, il est matérialisé par trois gros trous de poteau alignés sur son axe longitudinal (de 11 m de long) et au moins dix autres creusements répartis sur son pourtour.
9Les deux plus grands bâtiments se trouvent dans l’enclos principal (Fig. 2). Le premier (de 13 × 8 m) occupe une surface de l’ordre de 100 m2. Il est associé à deux rangées latérales de cinq trous de poteau chacune et d’une rangée axiale de quatre creusements. Le second (de 18,5 × 14 m) couvre une surface de près de 260 m2. Il est matérialisé par 23 gros trous de poteau répartis sur cinq rangées. Ces deux édifices abritent chacun un silo, et le plus grand, un cellier. Comme pour les constructions plus modestes, en l’absence d’indices probants, leur fonction reste difficile à préciser (habitations, lieux de stockage de denrées agricoles…).
10Ces grands édifices sortent du commun et sont comparables à différentes constructions monumentales identifiées dans des contextes élitaires. Pour le plus grand, parmi les plans les plus approchants, il est possible de mentionner celui d’une construction interprétée comme un habitat privilégié sur le site du Tertre à Saint-Gervais-la-Forêt (41) occupé durant les ixe-xe s. (Jesset et al. 2020 : 406), ainsi que celui d’un édifice de l’établissement fortifié des Quarante-Cinq à Méaulte (80) datant des xe-xie s. (Blondiau 2013 : 163-167).
4. Les bâtiments semi-excavés
11Onze aménagements de ce type ont été mis au jour, tous dans la partie ouest du site, à l’extérieur de l’enclos principal. Ces structures ont des dimensions variables, leurs surfaces étant comprises entre 5 et 13 m2 et leurs profondeurs entre 0,30 et 1 m. Dans le fond de cinq d’entre elles se trouvent des creusements attestant la présence d’aménagements. Le plus souvent, ce type de vestige est interprété comme témoignant de l’installation de métiers à tisser. À Villeneuve, aucune découverte mobilière ne vient confirmer cette hypothèse qui reste néanmoins envisageable.
12Trois autres de ces structures se localisent dans l’unité d’occupation sud-ouest qui semble avoir été directement reliée à l’enclos principal par un chemin encadré par deux aménagements linéaires, parallèles, espacés de 8 m (fossés et/ou haies). Ce secteur renferme les vestiges de trois bâtiments semi-excavés contigus, d’une construction sur poteaux de 20 m2 et de treize silos. Les trois structures semi-excavées comprennent, au sud, un espace rectangulaire de 7 m2 et 0,38 m de profondeur abritant six silos et un foyer, au nord, un espace oblong de 13 m2 et 0,60 m de profondeur doté d’un four creusé dans sa paroi orientale et au centre, un espace de 7,50 m2 et 0,30 m de profondeur communiquant avec les deux bâtiments précédents (Fig. 3).
13Les structures de chauffe et les silos mis au jour dans ce secteur recelaient des restes de céréales (dominés par du blé nu) et de matière organique carbonisée correspondant à des résidus de préparations alimentaires telles que des pains, galettes, gruaux, ou bouillies. Elles ont également livré de nombreux fragments de meules dormantes et tournantes provenant d’au moins deux moulins. Ces données conduisent à penser que ces vestiges pourraient être en lien avec un secteur d’activité spécifiquement voué à la conservation et à la préparation des céréales, ainsi qu’à la fabrication d’aliments à base de celles-ci. Dans cette partie du site, sont, en effet, regroupées toutes les structures nécessaires aux différentes étapes de transformation de ce type de produit : des silos, des moulins, un foyer et un four ; le bâtiment semi-excavé abritant les silos étant plus spécifiquement réservé au stockage, alors que celui refermant le four, pourrait correspondre à une boulangerie.
5. Les silos et latrines
14Sur l’ensemble du site, 75 structures en creux peuvent être interprétées comme des silos. Il s’agit de creusements le plus souvent piriformes ou tronconiques (Fig. 4), mais il faut préciser que la restitution de leurs profils d’origine n’a pas toujours été aisée, nombre d’entre eux s’étant effondrés. Pour les mêmes raisons, l’estimation de leurs volumes reste imprécise. Néanmoins, elle donne une idée de leurs contenances qui étaient comprises entre 0,20 et 4 m3. Il faut noter que, à durée d’occupation équivalente, la capacité de stockage de l’établissement de Villeneuve (estimée à environ 78 m3) dépasse nettement celles reconnues sur les sites carolingiens fouillés jusqu’alors en région Centre-Val de Loire (Jesset et al. 2020 : 407). Après leur abandon, la plupart des silos ont servi de fosse dépotoir ; seuls deux d’entre eux renfermaient encore quelques restes des produits qui avaient dû y être stockés (graines comparables à du millet dans l’un et à des pois dans l’autre).
Fig. 4 - Vue de deux silos (en haut) et d’une fosse latrinale (en bas) mis au jour dans la partie ouest du site ; les mires mesurent 1 m.

S. Brassaud.
15Deux fosses peuvent être interprétées de manière certaine comme des latrines, alors que pour trois autres, cette hypothèse a été proposée sans pouvoir être confirmée. Dans tous les cas, il s’agit de creusements cylindriques aux parois sub-verticales, plus profonds que larges, qui renferment des dépôts souvent lités et très riches en matière organique (Fig. 4). Leurs dimensions sont assez variables, de 0,77 à 1,40 m de diamètre et de 1,10 à 2,80 m de profondeur. Plusieurs de ces structures recelaient, en outre, des cadavres de porcelets et de volailles, ainsi que de nombreuses coquilles d’œufs. Ces rejets pourraient témoigner de la survenue d’un ou plusieurs épisodes d’épizootie.
6. Les données mobilières
16La céramique est illustrée par 4 744 tessons correspondant à un nombre minimum de 292 individus. Les formes représentées comprennent principalement des oules (60 % du corpus), des cruches (15 %), des pots correspondant à des oules ou des cruches (15 %), une quinzaine de couvercles (6 %), quelques lampes, pots-gobelets et une jarre (4 %). Les décors, peu nombreux, comprennent des motifs peints et des enduits engobés de couleur orangée à rouge, des motifs imprimés à la molette, ainsi que de rares glaçures plombifères, impressions digitées, bandes lissées et incisions ondées. Ces productions proviennent très majoritairement de la région orléanaise (75 à 84 % du corpus), mais aussi du secteur chartro-dourdanais (7 %), ainsi que de celui de Dangeau (4 %). L’origine des autres productions à pâte grise, orangée et blanche (5 %) reste indéterminée.
17La faune est représentée par 2 000 restes d’un poids total de 24 kg. Les résidus alimentaires représentent un peu moins de la moitié de ces éléments qui comprennent également des rejets de cadavres (volailles, porcelets et chaton), des reliquats de cadavres (chiens, équidés, bovidés et caprinés) et quelques déchets artisanaux (bois de cervidé et diaphyse de bœuf). Dans le domaine alimentaire, si les caprinés sont prédominants en nombre de restes, les bovidés sont largement majoritaires en poids des restes. Le porc et les volailles apparaissent comme des ressources nutritives complé- mentaires, mais minoritaires.
18Le mobilier métallique comprend deux monnaies dont une émission du Bas-Empire et une autre non identifiable. Les objets en alliage cuivreux (fils, fragments de tiges et boucle) sont très peu nombreux et pour partie possiblement résiduels. Les éléments en fer bien plus diversifiés comprennent 70 objets de nature très variée : armement (pointe de flèche et fragments de plaques incurvées pouvant correspondre à des macles de broigne ou d’armure), équipement d’équidés (fers et clous de ferrage), boucles et anneaux, outils agricoles (serpe et serpette), couteaux et ustensiles divers (poinçons, alènes, possible cisaille). Quelques pièces de serrurerie et de menuiserie ont aussi été mises au jour (pêne à échancrure, éléments de charnière et de fermeture de meuble, crampons, clous). Les déchets métallurgiques sont peu nombreux, mais comprennent néanmoins un fragment de creuset et une quarantaine de scories dont huit fragments de culots de forge.
19Le mobilier lithique comprend 700 fragments de meules, toutes façonnées en roche meulière, appartenant à au moins 14 meules dormantes et huit meules tournantes, dont les diamètres varient de 56 à 68 cm (Fig. 5). Les caractéristiques de ces éléments permettent de penser qu’il s’agit de moulins à perche de grande dimension. Cette catégorie de mobilier comprend également huit pierres à aiguiser, 18 galets de rivière totalement exogènes et un bloc calcaire perforé (poids ou peson). Enfin, il convient de signaler la découverte de cinq lampes à huile ou à graisse façonnées dans des blocs calcaires qui s’ajoutent à cinq autres en terre cuite déjà mentionnées (Fig. 6).`
Fig. 5 - Meules reconstituées à partir de fragments mis au jour dans un silo de la partie sud-ouest du site ; la mire mesure 0,30 m.

B. Robin.
Fig. 6 - Exemple de lampes en terre cuite (à gauche) et en calcaire (à droite).

S. Liegard.
7. Éléments de synthèse
20Le site de Villeneuve se différencie de la plupart des établissements ruraux carolingiens par de nombreux aspects dont le plus évident est la présence d’un vaste enclos fossoyé constituant une véritable enceinte protégeant la partie centrale de l’occupation où se trouvent deux bâtiments monumentaux. Les autres unités d’occupation – renfermant des constructions plus modestes, pour certaines semi-excavées, des aires d’ensilage et quelques structures de combustion et latrines – se sont développées en périphérie immédiate de cet enclos auquel elles devaient être liées, plus ou moins directement.
21Le mobilier recueilli est, dans l’ensemble, assez comparable à ce que l’on rencontre classiquement dans les grands domaines agricoles, certains éléments confortant l’hypothèse d’une spécialisation de secteurs particuliers. C’est le cas, par exemple, des meules qui se concentrent à l’ouest et à l’est du site, ou du mobilier métallurgique qui provient essentiellement de la partie nord-est de l’emprise.
22La découverte de plus de 70 silos et d’au moins 22 meules conduit à penser que l’activité principale de cet établissement pourrait avoir été orientée vers la production, le stockage et le traitement de céréales, notamment en vue de la commercialisation de ces denrées agricoles et/ou de leurs produits dérivés. Ce type de production pourrait, en effet, avoir alimenté le marché local à destination de la population de l’agglomération orléanaise distante seulement d’une vingtaine de kilomètres. Il faut noter que l’implantation de ce site intervient dans le courant d’une période marquée par un important développement des campagnes orléanaises (Lumières… 2004 : 85-87).
23En ce qui concerne le statut de cet établissement, il reste difficile à préciser en l’absence de données textuelles. Son caractère élitaire est incontestable. Il transparaît à travers différentes caractéristiques telles que son étendue, sa structuration, la présence d’une vaste enceinte protégeant une partie du site, la monumentalité de plusieurs bâtiments, la spécialisation de certains secteurs d’occupation, la relative importance de capacité de stockage, l’abondance du matériel de mouture, la présence, en quantité notable, de céramique issue d’ateliers assez éloignés et d’objets peu communs (lampes, couteau avec mitre), ou encore la variété du mobilier…
24Sa forme n’est pas sans évoquer celle de domaines éventuellement fortifiés, parfois assimilés à des curtis de villae. Mais les sites de cette nature ayant fait l’objet de fouille sont encore peu nombreux et les possibilités de comparaisons limitées. De fait, la prudence doit prévaloir quant à l’interprétation de ces vestiges. Les réflexions à venir dans le cadre de la future publication monographique de cet établissement permettront sans doute de cerner plus précisément le statut de celui-ci et le rôle qu’il a pu tenir au sein d’un territoire, certes rural, mais très proche de la ville d’Orléans qui, il faut le rappeler, tient une place de choix dans le royaume de France à partir du ixe s. (Lumières… 2004 : 29-33).
Bibliographie
Blondiau 2013. Blondiau L. - Un habitat fortifié des xe-xie s. à Méaulte (Somme) “Les Quarante-Cinq”, in : Mahé-Hourlier N. et Poignant S. (dir.), Archéologie du village, archéologie dans le village, dans le nord de la France (ve-xiiie s.), Actes de la table ronde de Saint-Germain-en-Laye (22-24 novembre 2007), Association française d’Archéologie mérovingienne, Saint-Germain-en-Laye : 161-173 (Mémoires de l’AFAM ; 29).
Chamaux 2011. Chamaux G. - Poupry (28), Villeneuve, Vers Artenay, Rapport final d’opération de diagnostic archéologique, Archives du Service régional de l’archéologie de région Centre-Val de Loire, Service d’archéologie préventive du département d’Eure-et-Loir, Chartres.
Chamaux à paraître. Chamaux G. - Poupry (28), Villeneuve, Rapport de fouille archéologique préventive, Service d’archéologie préventive du département d’Eure-et-Loir, Chartres.
Goustard 2003. Goustard V. - Poupry (28), Villeneuve, Projet de ZA, Rapport de diagnostic archéologique, Inrap, Archives du Service régional de l’archéologie de région Centre-Val de Loire, Orléans.
Jesset et al. 2020. Jesset S., Joly S., Josset D. et Roy G. - Discussion sur les critères de hiérarchisation des occupations privilégiées en région Centre-Val de Loire (viiie-xie s.), in : Hernandez J., Schneider L. et Soulat J. (dir.), L’habitat rural du haut Moyen Âge en France (ve-xie siècles) : dynamiques du peuplement, formes, fonctions et statuts des établissements. Actes des 36e Journées internationales de l’AFAM de Montpellier 2015, 9e suppl. à Archéologie du Midi Médiéval, Centre d’Archéologie Médiévale du Languedoc, Carcassonne : 405-411 (Mémoires de l’AFAM ; 36).
Liegard 2022. Liegard S. (dir.) - Poupry (28), Villeneuve, Rapport de fouille archéologique préventive, Archives du Service régional de l’archéologie de région Centre-Val de Loire, Service d’archéologie préventive du département d’Eure-et-Loir, Chartres, 3 vol.
Lumières… 2004. Lumières de l’an mil en Orléanais, autour du millénaire d’Abbon de Fleury, catalogue d’exposition, (Orléans, 2004), Brepols, Turnhout.
Auteur
Service archéologie préventive du Conseil départemental d’Eure-et-Loir, UMR 5648 CIHAM.

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