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    Fédération pour l’édition de la Revue archéologique du Centre de la France
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    Plan

    Plan détaillé Texte intégral 1. Le contexte d’intervention 2. La nécropole mérovingienne 3. Les vestiges de vêtements et accessoires Conclusion Bibliographie Notes de bas de page Auteur

    Se vêtir au premier Moyen Âge

    Ce livre est recensé par

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    Table des matières

    Mobilier et accessoires vestimentaires de la nécropole mérovingienne d’Auby (Nord)

    Grave goods and clothing accessories from the Merovingian necropolis at Auby (Nord)

    Delphine Cense-Bacquet

    p. 97-104

    Résumés

    La fouille archéologique en plein centre-ville de la commune d’Auby (Nord) a permis de mettre au jour une nécropole mérovingienne marquant le début d’une relative continuité funéraire sur le site jusqu’au xixe s. Quelques pratiques et rites particuliers ont été recensés au sein des tombes. Une relative conservation des vestiges de vêtements et accessoires liés à la mise en scène du défunt lors de ses funérailles et son voyage vers l’au-delà a été observée. Outre le mobilier lié à la parure et l’habillement, les observations taphonomiques permettent de supposer l’utilisation de linceuls ou vêtements de même que la conservation de restes organiques (textile, cuir, fourrure) attestés sous une forme minéralisée.

    Archaeological excavations in the town center of Auby (Nord) have uncovered a Merovingian necropolis, which marked the beginning of a relative continuity of burials on the site until the 19th century. A number of specific practices and rites were identified within the tombs. The remains of clothing and accessories used to stage the deceased’s funeral and journey to the afterlife have been relatively well preserved. In addition to items associated with adornment and clothing, taphonomic observations suggest the use of shrouds or garments, as well as the preservation of mineralized organic remains (such as textiles, leather, fur).

    Entrées d’index

    Mots-clés : haut Moyen Âge, Nord, nécropole, mobilier, vêtements, aumônière, restes organiques

    Keywords : Early Middle Ages, Nord, necropolis, grave goods, clothing, chaplain, organic remains

    Texte intégral 1. Le contexte d’intervention 2. La nécropole mérovingienne 3. Les vestiges de vêtements et accessoires 3.1. Les observations anthropologiques 3.2. Le mobilier lié à la parure et l’habillement 3.3. La conservation des matières organiques Conclusion Bibliographie Notes de bas de page Auteur

    Texte intégral

    1. Le contexte d’intervention

    1L’intervention archéologique menée en 2014 en plein centre de la commune d’Auby (Nord), sur le site du Pôle Culturel, confirme la richesse patrimoniale du secteur. Celle-ci est, par ailleurs, déjà bien documentée par les nombreuses fouilles et diagnostics réalisés aux alentours et les multiples mentions recensées dans les textes anciens (Fig. 1). Le vaste panel chronologique détecté permet de contribuer à élargir les connaissances sur la morphogénèse et le développement des bourgs et villages dans l’Ostrevent pendant l’époque médiévale puis moderne. En prémices, une nécropole mérovingienne atteste le début d’une relative continuité funéraire sur le site jusqu’au xixe s.

    Fig. 1 - Localisation de l’opération.

    2. La nécropole mérovingienne

    2La nécropole mérovingienne est caractérisée par la présence de 113 sépultures auxquelles il faut ajouter les 71 inhumations fouillées sur le gisement de l’Îlot Béguignage (Bernez 2012) accolé à la parcelle concernée, soit un total pour l’ensemble de la nécropole porté à 184 tombes. L’ensemble livre l’image d’une aire funéraire classique et similaire en de nombreux points aux nécropoles de Gaule mérovingienne.

    3Les fosses sépulcrales, de formes et de dimensions variables, offrent une hauteur conservée plus importante et des traces d’aménagements plus visibles (traverses, niche) au sud qu’au nord, contrairement aux squelettes et au mobilier, mieux préservés au nord qu’au sud. Elles s’organisent en rangées plus ou moins régulières selon une orientation générale NE-SO. Les individus sont déposés en décubitus dorsal avec les bras le long du corps, légèrement fléchis, et les jambes en extension. Ils sont orientés est-ouest avec la tête à l’ouest (Fig. 2).

    Fig. 2 - Plan de la nécropole mérovingienne.

    Pôle Culturel, DAO D. Cense, Archéopole ; Îlot Béguignage, © Bernez 2012.

    4La présence ou l’absence d’un dépôt peut être liée à un choix différentiel dans le rituel funéraire mais peut aussi résulter d’un pillage rigoureux (70 % des sépultures) illustré par des perturbations du squelette et/ou du mobilier et/ou des anomalies de comblement (cônes, fosses, tranchées de pillage). Les objets d’armement (hache, fer de lance, scramasaxe…) et le mobilier lié à la parure ou l’habillement demeurent isolés et plutôt rares bien que largement représentatifs des coutumes des vie et viie s. Quelques pratiques et rites particuliers, moins fréquemment rencontrés dans les autres nécropoles régionales, permettent de mettre en avant des spécificités à l’image de l’assemblage de huit fers de flèches groupés dans une tombe d’enfant (tombe 1252). Ce regroupement suggère la présence d’un carquois en cuir disparu, seules des traces du bois des tiges ayant été observées.

    3. Les vestiges de vêtements et accessoires

    5Trente tombes ont conservé divers vestiges de vêtements et accessoires liés à la mise en scène du défunt lors de ses funérailles et son voyage vers l’au-delà. Outre le mobilier lié à la parure et l’habillement qui en est l’attestation la plus fréquente, les observations taphonomiques permettent de supposer l’utilisation de linceuls ou vêtements, des restes organiques étant conservés sous une forme minéralisée dans six sépultures (Fig. 2).

    3.1. Les observations anthropologiques

    6Le mode de décomposition, l’espace vide, a pu être identifié pour 30 individus en connexion. Les indices permettant d’appuyer cette interprétation sont, par exemple, la rotation du crâne, la mise à plat des côtes et des ceintures pelviennes, le déplacement des avant-bras ainsi que leurs rotations, la chute des sternums, la dislocation des mains et diverses déconnexions de certains éléments. En l’absence d’éléments caractéristiques comme des épingles, il est impossible d’évoquer l’utilisation de linceul de façon objective. Toutefois, deux individus présentent des effets de contraintes spécifiques au niveau du bras gauche et des genoux pour la sépulture 1077 et des membres inférieurs pour la tombe 1115 pouvant évoquer la présence d’un vêtement serré ou d’un linceul.

    3.2. Le mobilier lié à la parure et l’habillement

    7Le mobilier présent dans les tombes féminines comme masculines permet de pallier en partie ce manque d’informations à travers la présence d’objets de parure et d’habillement. Ces accessoires vestimentaires ont été retrouvés à leur place habituelle dite fonctionnelle autorisant une reconstitution du costume funéraire. Quelques cas d’objets volontairement déposés dans un contexte particulier sont cependant attestés à l’image de la ceinture de la sépulture masculine 3486 (1er tiers du viie s.). L’ensemble du baudrier ou de la ceinture (boucle, plaque-boucle, contre-plaque…), et tout ce qui y était attaché (silex) ou contenu dans une besace accrochée, a été enroulé autour d’un scramasaxe avant d’être déposé au-dessus du crâne de l’individu et/ou peut-être sur le couvercle, permettant certainement sa préservation du pillage (Fig. 3).

    Fig. 3 - Vue générale de la sépulture 3486 et détails du positionnement du scramasaxe.

    D. Cense, Archéopole.

    8Les éléments de ceintures, de baudriers ou de chaussures sont représentés par sept exemplaires de plaque-boucles et douze boucles ou éléments de boucles en fer ou en alliage cuivreux. Plusieurs types se distinguent notamment en fonction de leur utilisation (jarretière, ceinture…).

    9Un cas rare d’utilisation d’une chaîne-ceinture à maillons en fer et en alliage cuivreux a été observé dans la sépulture d’un individu, potentiellement masculin1 et âgé entre 20 et 40 ans (3606, dernier tiers du viie s.), bien que ce type de dépôt se rencontre généralement dans les tombes féminines. Elle a été retrouvée en position fonctionnelle au niveau du bassin du défunt, le surplus pendant le long du fémur (Fig. 4). Elle semble composée de petits maillons en 8, en fer et de section circulaire, se terminant par six ( ?) grands anneaux étirés et resserrés en partie médiane, chacun étant entouré d’une tôle cylindrique en alliage cuivreux décorée de stries transversales.

    Fig. 4 - Vue générale de la sépulture 3606 et détails de la chaîne-ceinture.

    D. Cense, Archéopole.

    10Au sein du mobilier de parure, sont recensées une fibule discoïde et plate dont il ne subsiste que la platine en alliage cuivreux, le porte-ardillon et le système d’articulation (1297), cinq boucles d’oreilles avec pendentif polyédrique à verroteries ou grenats en bâte (1139, 1168, 1293) ont été recensées ainsi qu’une bague à chaton plat possédant un décor incisé constitué de traits fins et de croix de saint André encadrant un motif central de croix à six branches (1292). D’autre part, onze sépultures ont fourni, au total, 54 perles de dimensions, de formes et de couleurs très variables, en pâte de verre et en ambre, ainsi qu’une dent de requin fossile transformée en pendeloque. La racine de cette dernière a été supprimée et la base de la dent perforée, un maillon en fer étant encore partiellement conservé (1257). Enfin, une sépulture a fourni un médaillon taillé dans un bois de cervidé (1033).

    11Parmi les sépultures les mieux préservées et les plus riches, la défunte de la tombe 1293 (dernier tiers du vie s.), une femme âgée entre 30 et 59 ans, était probablement vêtue d’une étoffe tenue par une ceinture (boucle de ceinture en potin) et portait des jarretières (plaque-boucle monobloc à plaque triangulaire et ferret). Elle était parée d’un collier comportant au moins des perles en ambre et de deux grandes boucles d’oreilles à tête polyédrique massive à verroterie en bâte, de couleur jaune et verte.

    3.3. La conservation des matières organiques

    12Malgré la nature du terrain qui a entraîné une mauvaise préservation des vestiges organiques, Bruno Bell a pu observer lors du nettoyage et de la stabilisation du mobilier quelques traces de matériaux périssables qui ont fait l’objet de prélèvements et d’une identification sommaire, pour un total de 30 attestations de matières organiques et animales et de restes textile. Elles concernent essentiellement des traces de bois provenant des manches des armes et des outils, des coffrages ou des cercueils.

    13Le phénomène n’est pas isolé puisque ce type de vestiges se rencontre régulièrement dans les nécropoles de Gaule mérovingienne. Au sein des ensembles régionaux du Nord de la France, la nécropole de Nouvion-en-Ponthieu a, par exemple, livré 50 fragments de tissus en fibres végétales et celle de Hordain en a fourni 20 (Moreau 1985 ; Demolon 2006 : 244-249). Quelques vestiges sont attestés dans d’autres nécropoles comme Toufflers où un fragment de ceinture ainsi qu’un lacet en cuir sont conservés au dos d’une plaque-boucle de même que du tissu sur une applique de châtelaine (Legrand 2021 : 206). Enfin, 42 pièces gardant les traces conservées de tissu, de cuir ou potentiellement de fourrure sont recensées dans la nécropole de Lesquin (Deflorenne et Quérel 2015 : 390-414). Depuis ces dernières années, un renouveau est observé sur ce type de vestiges qui profite d’une approche scientifique plus poussée, liée notamment aux avancées techniques et technologiques.

    14Des restes de cuir de ceintures ont été reconnus sur une contre-plaque damasquinée (1170) et trois boucles (3352, 1293, 3459). Sur ces dernières, le cuir de la ceinture semble en place sur l’axe et l’ardillon la traverse.

    15De même, des traces de textiles préservés dans la corrosion de plusieurs objets proviennent soit des vêtements des défunts, soit d’étoffes (linceul) ayant pu envelopper les corps ou de la combinaison de deux tissus. En effet, dans la tombe 3606, la chaîne-ceinture semble avoir conservé les traces de deux textiles différents de part et d’autre des maillons (Fig. 5) à moins qu’il ne s’agisse d’un pli d’un seul vêtement. L’un présente une armure toile assez grosse avec des fils entrecroisés en torsion Z et S, l’autre développant une armure toile avec des fils en torsion Z. Des traces de textiles pour lesquels il n’a pas été possible d’apporter une identification précise sont attestées sur une tôle carrée et percée en son centre (3352) ainsi que sur l’ensemble plaque-boucle et contre-plaque damasquinées de la sépulture 1170 (Fig. 6).

    Fig. 5 - Vue de détail de restes de textile conservés sur le pendant [a, b] et les deux faces opposées d’un maillon de la chaîne-ceinture [c, d].

    Macrophotographies f/2.4 1/33 4.1 mm ; D. Cense, Archéopole.

    Fig. 6 - Vue de détail de restes de textile sur la plaque-boucle [a] et la contre-plaque [b, c] de la sépulture 1170.

    Macrophotographies f/2.4 1/33 4.1 mm.

    D. Cense, Archéopole.

    16Enfin, le dépôt d’une aumônière dans une sépulture d’enfant âgé entre 1 et 10 ans (1240, 2e tiers du vie s.) est révélé par un regroupement d’objets prélevé en motte (Fig. 7). Il comprend un silex, un fragment de soie de couteau, un rivet scutiforme, une aiguille à chas incomplète sur laquelle est enroulé un fil retors et doublé ( ?), une pince à épiler à large mors ayant gardé sur l’anneau et sur une face un témoignage de fourrure suggérant un étui de protection plutôt que l’intérieur de l’aumônière (préservation sur le côté de l’objet au sein de l’amas), et une fiche à bélière présentant des restes de cuir provenant de l’aumônière ou encore d’un fil de cuir reliant plusieurs objets portés à la ceinture (trousseau d’outils). Aucune supposition n’est écartée. L’ensemble est positionné aux pieds ou à la tête de l’individu, le squelette étant absent en dehors de la 2e molaire droite déciduale. Il est délicat de déterminer s’il s’agit de l’emplacement initial du dépôt.

    Fig. 7 - Vue générale de la sépulture 1240 et détails de l’aumônière, de l’aiguille à chas et de la pince à épiler.

    Éch. des objets 1/1.

    D. Cense, Archéopole.

    Conclusion

    17Malgré les multiples attestations de pillages et de perturbations de la nécropole mérovingienne d’Auby, il est envisageable de restituer et d’avoir une image, pour quelques rares sépultures comme la tombe 1293, des accessoires vestimentaires accompagnant le mort vers l’au-delà ainsi que de leur grande variété au sein d’un même ensemble. S’il ne semble pas possible d’aller plus en avant dans la réflexion du fait notamment du maigre corpus et de sa conservation, ces attestations permettent de renforcer l’intérêt d’une attention portée notamment sur les vestiges organiques qui permettraient à plus grande échelle de compléter les données acquises dans les autres nécropoles et de mettre en perspective les habitudes et coutumes, la portée symbolique des dépôts, les statuts sociaux et leur répartition, en fonction de la sphère géographique et/ou culturelle.

    Bibliographie

    Ben Redjeb 2007. Ben Redjeb T. - La nécropole mérovingienne de Saint-Sauveur (Somme), Revue archéologique de Picardie, 1-2, Amiens : 31-298.

    Bernez 2012. Bernez S. - Auby (Nord), “Îlot Béguignage”, Rues Léon Blum et Paul Bert, Rapport de fouilles, DRAC/SRA Hauts-de-France, CADDAP, Douai.

    Deflorenne et Quérel 2015. Deflorenne C. et Quérel P. (†) - La nécropole mérovingienne du hameau de Merchin (fin ve siècle-début viiie siècle), Rapport de fouilles, DRAC/SRA Hauts-de-France, Inrap Nord-Picardie, Villeneuve d’Ascq.

    Demolon 2006. Demolon P. (dir.) - La nécropole mérovingienne de Hordain (Nord) : vie-ixe siècles après J.-C., communauté d’agglomération du Douaisis, direction de l’archéologie, Douai.

    Legrand 2021. Legrand T. - Toufflers (Nord), “Rue des Déportés”, Rapport de fouilles, DRAC/SRA Hauts-de-France, Archéopole, Linselles.

    Moreau 1985. Moreau A. - Les vestiges textiles, identification des fibres, in : Piton D., La nécropole de Nouvion-en-Ponthieu (Somme), Dossiers archéologiques, historiques et culturels du Nord et du Pas-de-Calais, 20, Berck-sur-Mer : 339-355.

    Notes de bas de page

    1En raison de l’absence des os coxaux, la détermination du sexe de l’individu 3606, qui peut être soumise à réserves, a été approchée sur la base des éléments crâniens par la méthode de Ferembach.

    Auteur

    • Delphine Cense-Bacquet

      Archéopole, UMR 8529 IRHIS.

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      Cense-Bacquet, D. (2024). Mobilier et accessoires vestimentaires de la nécropole mérovingienne d’Auby (Nord). In B. Bazin, F. Capron, A. Corrochano, & S. Joly (éds.), Se vêtir au premier Moyen Âge (1‑). Fédération pour l’édition de la Revue archéologique du Centre de la France. https://doi.org/10.4000/13ib7
      Cense-Bacquet, Delphine. « Mobilier et accessoires vestimentaires de la nécropole mérovingienne d’Auby (Nord) ». In Se vêtir au premier Moyen Âge, édité par Bruno Bazin, Capron François, Alexis Corrochano, et Stéphane Joly. Tours: Fédération pour l’édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2024. https://doi.org/10.4000/13ib7.
      Cense-Bacquet, Delphine. « Mobilier et accessoires vestimentaires de la nécropole mérovingienne d’Auby (Nord) ». Se vêtir au premier Moyen Âge, édité par Bruno Bazin et al., Fédération pour l’édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2024, https://doi.org/10.4000/13ib7.

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      Format

      Bazin, B., Capron, F., Corrochano, A., & Joly, S. (éds.). (2024). Se vêtir au premier Moyen Âge (1‑). Fédération pour l’édition de la Revue archéologique du Centre de la France. https://doi.org/10.4000/13ib1
      Bazin, Bruno, Capron François, Alexis Corrochano, et Stéphane Joly, éd. Se vêtir au premier Moyen Âge. Tours: Fédération pour l’édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2024. https://doi.org/10.4000/13ib1.
      Bazin, Bruno, et al., éditeurs. Se vêtir au premier Moyen Âge. Fédération pour l’édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2024, https://doi.org/10.4000/13ib1.
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