La tombe 101 de Sajópetri et le porc dans les rites funéraires en Europe celtique
p. 133-144
Résumés
La fouille de la nécropole de Sajópetri (iiie siècle avant notre ère), sous la direction de M. Szabó, a été l’occasion d’une collaboration internationale rassemblant des équipes hongroise, italienne et française. À cette occasion, 90 sépultures ont été fouillées, parmi lesquelles une qui a livré un important dépôt de restes animaux fouillé et relevé par D. Vitali. Ce dépôt, très bien conservé, a livré des pieds de porc, soit un morceau rare dans les offrandes funéraires de l’âge du Fer en Europe celtique.
The excavation of the Sajópetri necropolis (3rd century BC), under the direction of M. Szabó, was the occasion of an international collaboration bringing together Hungarian, Italian and French teams. On this occasion 90 graves were excavated, one of which delivered a large deposit of animal remains excavated and recorded by D. Vitali. This well-preserved deposit has delivered pig’s feet, a rare piece in Iron Age funeral offerings in Celtic Europe.
Entrées d’index
Mots-clés : archéozoologie, offrande funéraire, nécropole, âge du fer
Index chronologique : âge du fer
Keywords : archaeozoology, funeral offering, necropolis, Iron Age
Texte intégral
1J’ai eu l’occasion de côtoyer Daniele Vitali dès les années quatre-vingt sur le Monte Tamburino, nécropole du ive siècle avant notre ère, dont il m’a proposé l’étude des restes animaux (Méniel, 2003, p. 521-525), puis on s’est retrouvé sur la nécropole celtique de Sajópetri (fig. 1), où l’opération dirigée par M. Szabó et J.-P. Guillaumet (Szabó, Czajlik et Tankó, 2018) a été l’occasion d’un programme rassemblant sur le terrain des équipes des universités de Budapest, Dijon et Bologne. L’expérience s’est avérée très stimulante, et la constitution d’équipes internationales pour la fouille de certaines des sépultures s’est avérée fructueuse. C’était alors les débuts du relevé intégral dessiné d’après photographies numériques, et chacun s’est prêté aux exigences de la fouille minutieuse des restes animaux particulièrement bien conservés dans ces sépultures creusées dans un sable très fin.
Fig. 1 — Localisation des sites mentionnés dans le texte.

Carte : P. Méniel.
2Cette nécropole du iiie siècle avant notre ère, implantée non loin de l’habitat (Szabó, 2007), rassemblait 90 sépultures, 58 incinérations et 32 inhumations, dont une cinquantaine avec des offrandes animales (fig. 2). L’une des sépultures à incinération, la 101 (fig. 3), fouillée par Daniele, recélait des pieds de porc, et la présence de ce bas morceau dans un dépôt funéraire, assez inhabituelle, a été le prétexte d’un relevé en plusieurs étapes de l’amas d’ossements. Cette démarche, assez rare pour des sépultures où les offrandes étaient particulièrement bien mises en valeur, en évitant donc les recouvrements, ne nécessitant habituellement qu’un seul relevé, a été l’occasion de voir que Daniele était tout à fait capable de s’adapter aux exigences d’une discipline, l’archéozoologie, qu’il ne pratiquait pas, mais qu’il n’a pas manqué de soutenir quand l’occasion se présentait. L’un des exemples de son action dans le domaine a été le colloque de 2002, de haut niveau et très convivial, de Ravenne et Monterenzio (Curci et Vitali, 2006).
3La nécropole est implantée sur une légère éminence sableuse, et ce sédiment, très fluide lorsqu’il est sec, a rapidement colmaté les espaces libérés lors de la décomposition des matières organiques et a fixé les ossements dans des positions assez proches de celles, initiales, résultant de la mise en place du dépôt funéraire. Par contre la facilité à y creuser des terriers a permis aux hamsters d’occuper les lieux de manière assez intense à toutes les périodes, comme le montre l’occupation de nombreux vases, ce qui n’a pas manqué de provoquer quelques déplacements de petits os, mais ce sont surtout les amas de cendres qui ont été affectés. La céramique et le métal sont les autres composantes majeures de ces dépôts funéraires, et permettent d’en préciser la chronologie, tout en contribuant à la différenciation des sépultures.
4Dans cette contribution nous ne mentionnerons pas les rares restes animaux calcinés trouvés dans les amas de cendres. La liste des espèces dont des restes ont été recueillis dans les tombes est assez riche, mais plusieurs, le lièvre, divers oiseaux et poissons, sont représentées de manière ponctuelle. En fait, les 52 tombes recélaient surtout du porc, avec 49 occurrences, puis des volailles (20), des caprinés (10), du bœuf (8), de la carpe (6), du chien (5), de l’oie (5), du lièvre (3) et du canard (2) ; les autres espèces ne bénéficient que d’une occurrence. L’abondance du porc se traduit également par le fait qu’il a livré plus des trois quarts des 311 quartiers d’animaux et 80 % de leur masse totale.
5Ces porcs de petit format (0,70 m au garrot) sont, par rapport à nos formes actuelles, surtout très graciles. Ils ont été abattus assez jeunes, à un peu plus d’un an en moyenne, avec une majorité de verrats (26 pour 10 truies). On ne sait pas comment ces animaux ont été mis à mort, ils ont ensuite été découpés avant que leurs morceaux ne soient cuits à la flamme, ce dont témoignent quelques brûlures localisées.
Fig. 2 — Les dépôts d’animaux dans la nécropole de Sajópetri.

DAO : P. Méniel.
Fig. 3 — La tombe 101 en cours de fouille (2005).

Cliché : P. Méniel.
6La découpe est une levée de l’échine (fig. 4), technique assez employée durant la Protohistoire, encore attestée assez récemment en France (Méchin, 1987) et toujours en usage actuellement en Hongrie ; c’est ainsi que des rachis décharnés sont en vente dans la grande halle de Budapest. Ce mode de découpe, qui réduit considérablement les manipulations, notamment en évitant la suspension du corps, consiste à araser les vertèbres de part et d’autre de leur corps avant de prélever l’ensemble du rachis, ce qui permet ensuite de découper l’ensemble des morceaux sans avoir à sectionner des os. Certaines variantes consistent à éliminer les pieds, les mandibules et les scapula avant de détailler la carcasse. Tous ces éléments deviennent alors des déchets de découpe. Cette méthode a pu être mise en œuvre pour l’ensemble des animaux, mais cette unité de traitement n’implique pas celle des morceaux, tous n’ayant pas la même valeur, ou considération alimentaire, selon les cultures. C’est ainsi que les déchets des uns peuvent être les délicatesses des autres ; dans ce domaine, le porc est sans doute le plus emblématique, et il est impossible d’établir une typologie universelle de ses morceaux, et la tête, en particulier, figure assez souvent dans les bons morceaux, ce qui est plus rarement le cas pour celle des bovins, par exemple. Le statut de ses pieds est plus fluctuant, et s’ils sont assez régulièrement consommés dans les habitats, il est exclu de la plupart des dépôts de banquet dans des sanctuaires en Gaule (Gournay-sur-Aronde, Ribemont-sur-Ancre, Bennecourt, Fesques…).
7La découverte des pieds de porc de la tombe 101 de Sajópetri présente donc un élément intéressant sur le statut de ce morceau à l’époque. La première question est de voir ce que révèlent de l’alimentation carnée les déchets culinaires retrouvés dans l’habitat voisin (Bartosiewicz, 2007). Il s’avère que l’ensemble est assez largement dominé par le bœuf, alors que le porc y est assez peu représenté (11 % du nombre de restes déterminés), ce qui est régulièrement constaté, comme sur l’oppidum du Titelberg au Luxembourg, où la viande bovine est consommée en abondance, alors que c’est le porc qui figure majoritairement dans les dépôts funéraires. La composition des dépôts funéraires, largement dominés par le porc, est donc bien différente. Avec 15 % des os et 10 % des quartiers, les pieds y sont même assez fréquents.
Fig. 4 — Schéma de découpe schématique par levée de l’échine

DAO : P. Méniel.
8Dans la tombe 101, le dépôt d’os de porc, seul animal présent, est encadré par deux ensembles céramiques, deux formes hautes d’un côté, et deux basses de l’autre ; l’amas de cendres du défunt se trouve à côté des premières. Il ne contenait pas de restes d’animaux calcinés, à l’instar de 25 des 47 crémations de la nécropole. L’amas comporte quelques os isolés et des ensembles anatomiques (fig. 5). Les premiers consistent en deux éclats de crâne, une mandibule droite et un coxal droit dépourvu de son ilium tranché au niveau du col ; les seconds, plus nombreux, rassemblent trois pieds, un jambon gauche (du fémur au pied), un gril costal gauche (12 côtes) et un filet (ilium, aile du sacrum et quatre processus transverses de lombaires). Le tout peut provenir d’un seul sujet, un verrat d’un an, d’après la mandibule ; cela est dû au fait que tous les os ont des stades de développement compatibles avec cet âge, mais il n’est pas exclu que plusieurs sujets soient impliqués, comme cela est avéré dans d’autres sépultures. Toutefois, ici les quatre pieds sont issus du même individu ; à eux seuls, ils rassemblent les trois quarts (n = 90) des 117 os retrouvés, mais seulement un peu moins d’un tiers de leur masse totale (860 g).
Fig. 5 — Inventaire schématique des quartiers de porc de la tombe 101.

DAO : P. Méniel.
9La découpe de ces morceaux suit les règles de la levée de l’échine (Méchin, 1987). Le fait que les vertèbres aient été arasées se traduit par la présence de quelques processus transverses de thoraciques accompagnant la série de côtes ; c’est ce même geste qui a isolé le filet jusqu’au bassin, ce dernier ayant été sectionné au niveau du col. Quelques aspects du traitement de la tête peuvent être restitués à partir de la mandibule : cette dernière a été fendue en deux et sa branche a été sectionnée, ce qui explique l’absence du condyle articulaire. Cette mâchoire isolée, de même que le coxal (droit), qui n’est pas celui du jambon (gauche), ne peuvent être considérés comme des morceaux de viande : ce ne sont que des os décharnés. Les côtes, qui constituent une série presque complète (12 côtes sur 14), ont été sectionnées entre la moitié et le tiers distal, mais les extrémités sternales sont présentes. Ce geste est assez habituel dans la nécropole. Au jambon, il manque la patella, comme sur la moitié des jambons du site. Cette absence peut être due à l’action des animaux fouisseurs, des hamsters en particulier, et il ne manque pas de dépôts où des petits os ont manifestement été déplacés.
10Des traces d’exposition à la flamme ont été relevées sur la pointe de la canine et sur un os du tarse (face proximale du cuboïde gauche), ce qui témoigne d’une cuisson de morceaux et non d’un porc entier à la broche, car dans ce cas, si la canine avait été affectée, l’os du tarse ne l’aurait pas été.
11Ces morceaux découpés et cuits ont fait l’objet d’une sélection assez sévère, puisque sur un total de quatorze quartiers et un rachis issu de la découpe, seulement sept, soit la moitié, ont été déposés dans la tombe. Manifestement il n’en a pas été placé sur le bûcher, aucune cendre n’en témoigne dans un amas de 155 g assez modeste au regard des autres1. Mais si le nombre peut paraître important, des huit morceaux les plus massifs, à savoir les demi-têtes, épaules, jambons et grils costaux, seulement deux ont été déposés dans la sépulture.
12Ces restes ont été entassés dans un espace grossièrement rectangulaire de 0,35 m de long sur 0,27 m de large (fig. 6). De ce fait le dépôt funéraire n’occupe qu’une petite partie de l’espace de la sépulture dont le fond présentait une coloration due à la présence d’un coffrage qui dessine un espace quadrangulaire de 1,30-1,40 m de côté (fig. 7). Cette disposition des os dans un espace restreint, observée à plusieurs reprises dans la nécropole voisine et contemporaine de Ludas – Varjú-Dűlő (Méniel, 2012), est sans doute due à la présence d’un coffre. À Sajópetri, ce dispositif n’est attesté que dans cette sépulture. Il se traduit par un entassement des morceaux qui n’est guère répandu par ailleurs, avec, de la base vers le haut :
- les trois pieds ;
- le jambon entier ;
- la mandibule ;
- le coxal ;
- le gril costal et le filet, car, faute de recouvrement, il n’est pas possible de préciser leur ordre d’arrivée.
Fig. 6 — Le dépôt d’ossements de porc dans la tombe 101.

Cliché : P. Méniel.
Fig. 7 — Fond de la sépulture 101 avec une coloration du sol due à la présence d’un coffrage en bois.

Cliché : P. Méniel.
13Seul le pied en connexion sur le jambon serait en dehors du volume de cet éventuel coffre, sa position serait due à une rotation rendue possible par la décomposition du bois dans l’espace de la chambre funéraire. L’existence de telles chambres se manifeste parfois par une grande dispersion des restes dans l’espace de la sépulture2.
14Cette présence de pieds dans des sépultures, alors que ces extrémités sont souvent considérées comme des déchets, qui parfois accompagnent les dépouilles dans certaines pratiques sacrificielles, est attestée dans des sépultures celtiques fort éloignées dans l’espace et le temps (tab. 1).
Tab. 1 — Fréquences des pieds de porc dans quelques nécropoles de l’âge du Fer en Europe
Site | Chrono | Référence | n pieds porc | n quartiers porc | * | n tombes avec pied | n tombes avec porc | ** |
Bucy-le-Long | ve-ive | Auxiette, 2009 | 7 | 177 | 4 % | 2 | 54 | 4 % |
Sajópetri | iiie | - | 21 | 238 | 9 % | 9 | 45 | 20 % |
Ludas | iiie | Méniel, 2012 | 15 | 168 | 9 % | 7 | 36 | 19 % |
Povegliano | iie-ier | Méniel, 2014 | 3 | 80 | 4 % | 3 | 36 | 8 % |
Acy-Romance | iie-ier | Méniel, 1998 | 1 | 102 | 1 % | 1 | 75 | 1 % |
Lamadelaine | ier av.-ier ap. | Metzler-Zens Metzler et Méniel, 1999 | 13 | 74 | 18 % | 5 | 26 | 19 % |
*Par rapport au nombre de quartiers de porcs ; ** par rapport au nombre de sépultures ayant reçu des morceaux de porc (P. Méniel).
15De ces quelques cas, il ressort que dans les deux nécropoles hongroises, les pieds de porc sont présents dans des quantités tout à fait similaires, et il n’y a qu’à Lamadelaine, au Luxembourg, qu’ils y sont deux fois plus nombreux. Dans les autres nécropoles en France ou en Italie, les fréquences sont bien moindres. Cette présence de pieds, dans des dépôts funéraires qui évoquent irrésistiblement la consommation carnée, montre que ces extrémités ne sont pas à considérer comme des déchets. Une interrogation similaire concerne les découvertes de rachis décharnés, déchets primaires d’une découpe par levée de l’échine, de porc dans certaines tombes celtiques, mais aussi de bovins dans certains sanctuaires de l’âge du Fer. Plutôt qu’une improbable offrande alimentaire, il faut plutôt évoquer d’éventuelles fonctions de témoignage, de trophée ou de comptabilité accompagnant certaines pratiques sacrificielles ; de telles fonctions ont déjà été évoquées pour des mandibules, comme celles de moutons du sanctuaire de Corent (Foucras, 2011).
16L’un des attraits de ces offrandes funéraires est leur très grande homogénéité au deuxième âge du Fer dans une bonne partie de l’Europe, de l’Italie au Luxembourg, de la France à la Hongrie. Cette homogénéité ressort du choix privilégié du porc, des modalités de leur découpe, du partage des morceaux entre tombe, bûcher et banquet funéraire. Dans de nombreux cas, là où les données sur l’habitat sont disponibles (Lamadelaine, Acy-Romance, Sajópetri), le choix du porc dénote avec celui du bœuf dans l’alimentation quotidienne. Cet animal est, avec le mouton, l’espèce privilégiée dans les banquets en Gaule.
17Une autre originalité des viandes offertes dans le cadre des rites funéraires est la contribution, elle aussi souvent plus massive que dans les habitats, de la volaille ; même si un effet de conservation différentielle, les sépultures étant plus favorables à la préservation des os que les dépotoirs domestiques exposés à la dent des charognards, peut expliquer en partie cette relative abondance, cet écart est néanmoins indubitable. À Sajópetri, 23 volailles ont été déposées dans 21 tombes, la plupart après avoir été parées, tête et pieds coupés, avant d’être grillées (fig. 8).
Fig. 8 — Squelette d’une volaille aux extrémités sectionnées dans la tombe 58 de Sajópetri.

Cliché : P. Méniel.
18D’autres similitudes concernent des aspects plus ponctuels. Il s’agit par exemple de gestes de dépôts, comme l’arrangement de morceaux afin de restituer l’image d’un demi-porc avec un minimum de morceaux (à Lamadelaine ou Acy-Romance), ou des dispositions symétriques (à Sajópetri). Des gestes plus ponctuels, comme un assemblage d’os d’épaules (Sajópetri, fig. 9) ou de jambons (Lamadelaine) préalablement désarticulés, avec une inversion (vis-à-vis de l’ordre anatomique) systématique de l’un d’entre eux. Un tel geste revêt un caractère symbolique dont le sens nous échappe, mais dont la matérialisation sur deux sites si éloignés est assez remarquable.
Fig. 9 — Disposition des os d’épaules de porc dans un certain nombre de sépultures de Sajópetri.

Le radio-ulna est repositionné, après désarticulation du coude, le long de l’humérus, alors que ce dernier reste souvent en connexion avec la scapula.
DAO : P. Méniel.
19L’une des originalités des offrandes animales à Sajópetri et à Ludas reste l’usage de coffres, même si ces derniers ne sont pas toujours faciles à entrevoir dans l’espace de certaines chambres funéraires. Le jeu de la décomposition des chairs et des ligaments, puis des coffres et des éléments d’architecture, peut s’avérer assez complexe et donner lieu à différents scénarios. Le cas de la tombe 101 est assez révélateur dans ce domaine, et justifie amplement les méthodes de fouille et de relevé mises en œuvre dans ces contextes funéraires, indispensables à qui veut restituer les modalités des pratiques sacrificielles et de dépôts. Même si le sens de certains gestes nous échappe, le fait qu’on les observe dans divers lieux du monde celtique est d’un très grand intérêt.
Bibliographie
Auxiette 2009
Auxiette Ginette, « Les offrandes animales », in Desenne Sophie, Pommepuy Claudine et Demoule Jean-Paul (dir.), Bucy-le-Long (Aisne). Une nécropole de La Tène ancienne, ve-ive s. avant notre ère (Numéro spécial de la Revue Archéologique de Picardie, 26), Senlis, 2009, vol. 2, p. 397-405.
Bartosiewicz 2007
Bartosiewicz László, « Ossements animaux », in Szabó Miklós (dir.), L’habitat de l’époque de La Tène à Sajópetri – Hosszú-Dűlő, Budapest, 2007, p. 285-306.
Curci et Vitali 2006
Curci Antonio et Vitali Daniele (dir.), Animali tra uomini e dei. Archeozoologia del mondo preromano. Atti del Convegno Internazionale di Ravenna-Monterenzio, 8-9 novembre 2002, (Studi e scavi, Nuova serie, 14), Bologne, 2006.
Foucras 2011
Foucras Sylvain, Animaux domestiques et faunes sauvages en territoire arverne (Archéologie des plantes et des animaux, 3), Montagnac, 2011.
Méchin 1987
Méchin Colette, « Pratiques différentielles de découpe du porc en Lorraine », Anthropozoologica, 1er numéro spécial, 1987, p. 23-26.
Méniel 1998
Méniel Patrice, Le site protohistorique d’Acy-Romance (Ardennes), III. Les animaux et l’histoire d’un village gaulois (fouilles 1989-1997) (Hors-Série des Mémoires de la Société Archéologique Champenoise, 14), Reims, 1998.
Méniel 2003
Méniel Patrice, « Les offrandes animales dans les inhumations du Monte Tamburino », in Vitali Daniele (éd.), La necropoli di Monte Tamburino a Monte Bibele (Studi e scavi, 19), Bologne, 2003, vol. 1, p. 521-525.
Méniel 2012
Méniel Patrice, « Les offrandes animales de la nécropole celtique de Ludas – VarjúDülö », in Szabó Miklós, Tankó Károly et Czajlik Zoltán (dir.), La nécropole celtique à Ludas – Varjú-Dülö, Budapest, 2012, p. 219-247.
Méniel 2014
Méniel Patrice, « Les restes animaux de la nécropole de Povegliano-Ortaia (iieier siècle avant notre ère) », in Barral Philippe, Guillaumet Jean-Paul, Roulière-Lambert Marie-Jeanne, Saracino Massimo et Vitali Daniele (éd.), Les Celtes et le nord de l’Italie : Premier et Second Âges du fer/I Celti e l’Italia del Nord : Prima e Seconda Età del ferro, Actes du XXXVIe colloque international de l’AFEAF (Vérone, 1720 mai 2012) (Supplément à la Revue archéologique de l’Est, 36), Dijon, 2014, p. 511-521.
Metzler-Zens, Metzler et Méniel 1999
Metzler-Zens Nicole, Metzler Jeannot et Méniel Patrice, Lamadelaine, une nécropole de l’oppidum du Titelberg (Dossiers d’archéologie du musée national d’histoire et d’art, 6), Luxembourg, 1999.
Szabó 2007
Szabó Miklós (dir.), L’habitat de l’époque de La Tène à Sajópetri – Hosszú-Dűlő, Budapest, 2007.
Szabó, Czajlik et Tankó 2018
Szabó Miklós, Czajlik Zoltan et Tankó Károly (éd.), La nécropole celtique à SajópetriHomoki-Szőlőskert, Paris, 2018.
Notes de bas de page

Le texte seul est utilisable sous licence Creative Commons - Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International - CC BY-NC-ND 4.0. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Itinéraires d’hommes, trajectoires d’objets
Mélanges offerts à Daniele Vitali
Arianna Esposito, Nicolas Delferrière et Andrea Fochesato (dir.)
2021
Les secrétaires régionaux du Parti communiste français (1934-1939)
Du tournant antifasciste à l’interdiction du Parti
Dimitri Manessis
2022
La Bresse et le pouvoir
Le Papier journal de Jean Corton, syndic du tiers état (1641-1643)
Olivier Zeller
2023