Remerciements

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Texte intégral

1Ce travail n’aurait pu avoir lieu sans les autorisations délivrées par les autorités de la Côte d’Ivoire et en particulier le ministère de la Justice pour la consultation des archives judiciaires, ou encore le ministère de l’Intérieur pour la consultation de l’état civil. J’ai également fait l’expérience de l’engagement des services archivistiques dans leur mission de sauvegarde et de valorisation du patrimoine : M. Anougba en particulier a été d’une aide immense (Archives judiciaires d’Abidjan), ainsi que M. Yao (Archives nationales de Côte d’Ivoire), M. Touré (Archives de l’Assemblée nationale française), M. Bakayoko (Caisse nationale de prévoyance sociale de Côte d’Ivoire).

2En Côte d’Ivoire, plusieurs personnes m’ont présentée à leur entourage, expliquant mon projet et mes intentions pour que je puisse mener des entretiens : Fatima Konate, David Nogbou et Miguel Amessan à Bonoua, Sonia Coulibaly à Bouaké, Amédé Oulaï à Korhogo, El Hadj Aboubacar Konaté à Biafra (Treichville), Boniface à Treichville, Daniel Sié à Yopougon, Bernard Kouamé à Dimbokro. Je les remercie, comme l’ensemble des interviewés cités en fin d’ouvrage. Le père Désiré de la paroisse Notre-Dame de Treichville et feue sœur Marie-Raymonde à Adjamé m’ont encore introduite dans les communautés de leur paroisse respective.

3Au Centre d’action et de recherche pour la paix (CERAP, ancien INADES) j’ai trouvé de bonnes conditions de travail et de consultation grâce à Hervé Kouakou, comme à l’université de Cocody grâce au professeur Yao Bi, ainsi qu’aux doctorants d’histoire du département en particulier Raphaël Bi-Tan et Arnaud Kouadio Ahigro.

4Cette recherche a été financée par l’ANR Papiers d’identité en Afrique (PIAF) dirigée par Richard Banégas et Séverine Awenengo-Dalberto entre 2017 et 2020 ainsi que par une bourse mensuelle de l’École française de Rome en 2018. Elle a été nourrie par la rencontre organisée à l’initiative de Jean-François Bayart par l’École de gouvernance et d’économie (EGE) de Rabat et l’Association des chercheurs de politique africaine lors de l’université d’été de Marrakech, puis par l’invitation de Boris Samuel et Béatrice Hibou à l’EGE (Rabat).

5Des relectrices et des relecteurs m’ont permis à différentes étapes d’améliorer le présent manuscrit, à commencer par Laurent Fourchard qui a encadré ce travail, mais aussi Daouda Gary-Tounkara, Thaïs Gendry, Claire Nicolas, Sara Panata, Elisa Prosperetti. Je remercie plus particulièrement Ophélie Rillon qui est intervenue de manière décisive à plusieurs étapes de ce travail.


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