1Je tiens à chaleureusement remercier les membres de l’administration culturelle qui m’ont aidée dans la collecte du matériau de recherche. Au premier rang d’entre elles et eux, le Comité d’histoire du ministère de la Culture et tout particulièrement Geneviève Gentil, Jean-Sébastien Dupuit, Guillaume Bourjeois, Dominique Jamet et David Fouqueray. Je remercie également l’ensemble des hauts fonctionnaires qui ont accepté de se rendre disponibles pour des entretiens et auxquels je ne peux rendre grâce ici, pour des raisons de respect de l’anonymat. Je souhaite aussi remercier le personnel des Archives nationales, dont la disponibilité et la réactivité ont été un réel appui, ainsi que l’équipe d’ENS Éditions et Évelyne Seguy pour la qualité remarquable de leur travail, sans oublier les évaluateurs anonymes du manuscrit. Ma reconnaissance est surtout très grande envers les directeurs de la collection « Gouvernement en question(s) », qui ont, dès le départ et de manière constante, soutenu ce projet.

2Cet ouvrage n’aurait pas vu le jour sans le soutien de l’IRISSO (université Paris-Dauphine-PSL), du Centre d’études de l’emploi et du travail (CEET) du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), et du CURAPP-ESS (université de Picardie Jules-Verne). Les conditions de travail privilégiées offertes par ces institutions, les échanges précieux avec des collègues bienveillants et bienveillantes ont véritablement porté ce projet.

3La sociologie de l’écriture proposée ici trouve son origine dans un travail de thèse. Cette recherche doit beaucoup à Brigitte Le Grignou et Choukri Hmed, qui m’ont transmis le goût de l’interdisciplinarité. Elle s’est considérablement enrichie des discussions de Philippe Bezes, Brigitte Gaïti, Odile Join-Lambert et Jean-Michel Tobelem, qui ont accepté de discuter pied à pied les analyses proposées et de poser les jalons de la publication future. La contribution de celles et ceux qui ont relu, amendé et surtout critiqué les premières versions des chapitres qui suivent a bien sûr été déterminante, aussi merci à Gabrielle Angey, Hugo Bréant, Sylvain Brunier, Victor Demiaux, Thomas Hélie, Camille Herlin-Giret, Alban Jacquemart, Anne Jourdain, Fabrice Le Lec, Frédéric Poulard, Sabine Rozier, Madlyne Samak et Karim Souanef.

4Enfin, rien de tout cela n’aurait été possible sans le soutien constant, discret et généreux de mes proches.