Table des matières
Partie I. Confessions romancées : l’hypothèse générique
Préambule
« Confessio interrupta »Chapitre 1
Affiliations de genreChapitre 2
Au nom de l’auteur, au nom du héros- Les identités multiples du sujet narratif
- Théories de l’identification
- Fictions onomastiques
- Archéologie de l’autofiction
- Romans picaresques
- Régimes d’ambiguïté narrative
- Trois précurseurs : Karamzine, Chateaubriand, Byron
- Du confessionnalisme comme stratégie
- La « femme auteur » exposée
- Maxime Gorki ou les confessions d’un transfuge
Chapitre 3
Figures du témoin inconnuChapitre 4
Dire ce qu’il faudrait tairePartie II. L’aveu mis en scène : confession et théâtralité
Préambule
Avouer en place publiqueChapitre 5
Poétique de la scène romanesqueChapitre 6
La dramaturgie sociale de l’aveu- Coulisses : l’envers de la scène publique
- L’œil du pouvoir et ses « contre-figures »
- Théâtralité contre intimité ?
- Charlotte Brontë et le spectacle de l’inavoué
- La scène ou le péril de la représentation
- L’enveloppe vide
- Scènes judiciaires : l’arène des récits
- Ann Radcliffe, romancière pénaliste
- Les Démons comme procès de salon
Chapitre 7
Publicisation de soiPartie III. Lire les âmes : scènes d’interprétation
Préambule
Le professeur est un bon lecteurChapitre 8
Sémiologie des confessions involontaires- « Les confesseurs des temps modernes »
- Identification d’un cliché
- Généalogie de la médecine des âmes
- Balzac et les « trois robes noires »
- Décrire, interpréter, faire avouer
- Signes de l’âme invisible
- Peaux transparentes
- Corps opaques
- La connaissance des cœurs
- Des indices aux aveux inconscients
- Épistémologie de la charité
Chapitre 9
Examens de conscienceChapitre 10
Le confessionnal de la critique- L’homme et l’œuvre : histoires croisées
- Développements du biographisme
- Remises en cause et résistances
- L’« âme frôleuse » de Sainte-Beuve
- « Les femmes ne devraient jamais avoir de biographie »
- Des vies mystérieuses
- Le confesseur et son génie féminin
- Lire l’inavouable chez Fédor Dostoïevski
- De l’accusation à la légende noire
- Le « prétexte » gidien