Les territoires universitaires en tensions : fusions organisationnelles et concurrences institutionnelles
p. 31-39
Texte intégral
1Depuis les années 2000, les institutions d’enseignement supérieur françaises sont montrées du doigt en raison de leur place jugée médiocre dans les classements internationaux tels que celui de Shanghai. La taille des établissements français, souvent présentée comme plus petite que celle de leurs concurrents étrangers, et leur lourdeur administrative supposée sont dénoncées comme étant l’une des raisons de ces mauvais classements. Les établissements d’enseignement supérieur sont désormais incités à se regrouper pour être plus visibles à l’échelle internationale. Ce texte1 analyse les enjeux et les problèmes de ces reconfigurations territoriales imposées au travers du cas d’étude des ComUEs et étudie, en particulier, les incidences sur les politiques internationales menées.
Des établissements sommés de se regrouper
2À partir du milieu des années 2000, le contexte dans lequel évoluent les universités et les établissements d’enseignement supérieur français est progressivement marqué par la concurrence internationale « se traduisant par des classements (ou rankings) portant sur la production scientifique ou l’attractivité mesurée par l’accueil d’étudiants étrangers »2. Les institutions françaises d’enseignement supérieur sont jugées mal classées. Elles seraient pénalisées par leur taille souvent présentée comme plus petite que celles des institutions anglo-saxonnes en particulier3. Les résultats de ces classements suscitent au plus haut niveau des réactions pour inverser la tendance4. L’une des solutions trouvées est de regrouper les établissements français5. Cette solution fait partie du projet de programme sur la recherche présenté le 23 novembre 2005 au Sénat par Gilles de Robien, ministre de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche. Le ministre regrette la taille critique des institutions post-secondaires françaises, jugée trop faible pour leur permettre d’attirer des étudiants, des chercheurs et des enseignants étrangers, et pour figurer en tête dans les classements comparatifs. Il ajoute que l’obtention de financements internationaux, notamment européens, et l’organisation de grands projets supposent une mutualisation de moyens de gestion entre établissements. C’est pourquoi il préconise de rapprocher les acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche travaillant sur un même territoire afin d’accroître leur reconnaissance nationale, européenne et internationale, et renforcer l’efficacité de leurs actions par la création des pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES), qui prend effet dans le chapitre II de la loi intitulée « La coopération entre les acteurs de la recherche ». Par ailleurs, cette loi vise à augmenter la participation des chercheurs et des enseignants-chercheurs français à des partenariats européens, notamment par l’incitation de l’Agence nationale de la recherche (ANR) à consacrer 20 % de ses financements à des appels à projets communs ou conjoints avec les partenaires européens et les organismes communautaires.
3Deux ans plus tard, Benoist Apparu s’appuie sur le même argument d’un classement médiocre pour justifier la loi relative aux Libertés et responsabilités des universités, dite loi LRU6. Son rapport déplore que les universités françaises ne se soient guère préoccupées de la nouvelle économie et de la mondialisation, avec pour résultat une absence de rôle d’innovateur « qui doit permettre à la France d’occuper une place parmi les tous premiers rangs de l’économie de la connaissance […] et se maintenir à flot dans la mondialisation »7. Le système d’enseignement supérieur français ne serait plus adapté à l’heure où « une économie ne doit plus imiter mais innover »8. C’est pourquoi, selon le rapporteur, un bon système universitaire, moderne, celui qui produit de la connaissance, la diffuse et la transfère en la valorisant, doit être autonome et viser l’excellence scientifique, en favorisant l’émergence des meilleures universités attirant les meilleurs élèves et les meilleurs chercheurs.
4La loi LRU présente donc le système d’enseignement supérieur français comme « un nain au regard de la compétition internationale qui bouscule les systèmes de production et de savoir : déjà écrasée par ses rivales des États-Unis, elle devra faire face demain à une Chine qui aura un million de chercheurs »9. Sur les six missions confiées aux universités, deux concernent leurs dimensions européennes et internationales : la coopération internationale (déjà inscrite dans la loi Faure et la loi Savary) ainsi que la participation à la construction de l’espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche. À plusieurs reprises, la loi mentionne des éléments pour accroître ces dimensions. Le président d’une université peut être de nationalité étrangère, surtout s’il dispose d’une grande réputation académique10. La présence des conseils régionaux au sein de la gouvernance des universités permettrait de mettre à niveau les campus français au regard des standards internationaux.
5La fin des années 2000 voit l’apparition d’un nouveau phénomène : celui de la fusion des établissements d’enseignement supérieur, présentée par ses partisans comme un moyen d’acquérir de la visibilité pour faire face à la concurrence internationale. C’est le cas par exemple de la fusion en 2009 des trois universités de Strasbourg : l’université Louis Pasteur, l’université Robert Schumann et l’université Marc Bloch11. Ce phénomène de fusion est entretenu par le programme des initiatives d’excellence (IDEX), lancé sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy et poursuivi sous celui de François Hollande par les programmes d’investissements d’avenir, puisqu’il vise à faire émerger une dizaine de pôles universitaires de stature internationale. L’enchaînement de fusions d’établissements d’enseignement supérieur depuis 2009 et la création d’universités uniques (université de Strasbourg, université d’Aix-Marseille, université de Lorraine, etc.) répondraient au phénomène de merger12 mania qui représente « un changement institutionnel visant à mettre les universités françaises en conformité avec des normes organisationnelles présentées comme des normes mondiales »13.
6Enfin, pour renforcer les synergies entre les acteurs et offrir « une meilleure visibilité nationale et internationale à la recherche »14, la loi du 22 juillet 2013 relative à l’enseignement supérieur et à la recherche prévoit trois modalités de regroupement des établissements d’enseignement supérieur et de recherche sur le territoire français : la fusion en un seul établissement ; l’association entre établissements et la communauté d’universités et d’établissements (ComUE) sur laquelle nous allons porter notre attention.
La difficile construction des ComUEs et des associations d’établissements
7Les ComUEs sont construites par le biais d’un regroupement d’établissements d’enseignement supérieur et de centres de recherches très variés. Par exemple, l’université Paris-Saclay est constituée d’une vingtaine de membres, mêlant à la fois des établissements d’enseignement supérieur et des centres de recherche tels que l’INRIA, le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) et le CNRS. Autre exemple, celui de la ComUE université Côte d’Azur qui repose sur la seule université de Nice Sophia Antipolis, et des établissements d’une grande diversité comme le CNRS, l’INRIA, ou la SKEMA Business School, ou encore l’École supérieure de danse de Cannes Rosella Hightower.
8La construction de politiques communes avec de si nombreux établissements tourne rapidement à « un grand capharnaüm », selon une directrice des relations internationales, d’autant que les cultures des établissements sont très différentes au sein de chaque ComUE :
La ComUE… c’est compliqué. On a quand même des cultures… […] Vous mettez la Sorbonne avec Assas, ce n’est pas exactement le même profil. Par contre, il y a des rapprochements possibles entre les juristes et les médecins. C’est exactement le même état d’esprit. C’est un État dans l’État. On croise des communautés qui finissent par avoir des atomes crochus. Ce n’est pas simple du tout. Ça va prendre beaucoup beaucoup de temps. (Directrice des relations internationales d’un établissement de Sorbonne Universités)
9Il n’est notamment pas rare que les ComUEs regroupent des établissements qui soient en concurrence les uns avec les autres. Par exemple, au sein de l’université Paris-Saclay, il existe une « concurrence frontale » (selon le directeur des relations internationales d’une école d’ingénieurs) entre Centrale Supélec et l’École polytechnique. Une autre concurrence existe entre Télécom École de management, qui aspire à rentrer dans cette ComUE, et HEC Paris réticent à cette intégration15. Parfois aussi, des établissements ont plus de poids que d’autres et ce regroupement imposé effraie les établissements de taille et de réputation plus modestes.
Des établissements plus ou moins satisfaits de leur ComUE
10D’aucuns, surtout des écoles d’ingénieurs, trouvent un intérêt à faire travailler ensemble des établissements de nature si différente. C’est l’avis d’un directeur d’École centrale qui se dit convaincu de l’importance pour le monde universitaire de travailler avec les grandes écoles et vice versa. Selon lui, la construction de la ComUE est « une opportunité fantastique » même si elle mobilise beaucoup d’énergie et qu’elle n’est pas exempte de débats qu’il qualifie de « passionnels ». Un petit établissement très spécialisé au sein d’une ComUE peut même y trouver son intérêt. Par exemple, la ComUE d’Aquitaine est très intéressée par Bordeaux Sciences Agro malgré sa petite taille, car sa spécificité est de travailler sur la vigne et le vin ; en outre cette école d’ingénieurs possède un domaine viticole utilisé pour des réceptions organisées par la ComUE ou par l’université lors d’accueil de délégations. La ComUE d’Aquitaine est donc une opportunité pour Bordeaux Sciences Agro de travailler avec des universités étrangères qui affichent des promotions d’étudiants bien plus conséquentes qu’en France.
11Si certains établissements se réjouissent de tels regroupements, d’autres sont à l’inverse réservés voire insatisfaits. Au sein de la ComUE Normandie, l’université de Caen Normandie aurait des relations « très compliquées et très conflictuelles » (selon un collègue de l’université Caen Normandie souhaitant rester anonyme) avec cette structure. La légitimité des présidents, est parfois remise en cause. Au sein d’une même ComUE, les ressentis sur le fonctionnement de celle-ci peuvent diverger. Par exemple, selon un vice-président, des tensions existeraient au sein de la ComUE Bretagne Loire tandis que pour un directeur-adjoint de Centrale Nantes « tout se passe très très bien ». Les avis divergent également au sein de la ComUE Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées. Un vice-président d’une université est très enthousiaste tandis qu’un ancien vice-président n’est guère convaincu par celle-ci : « C’est un mariage mais nous, on fait chambre à part ». D’ailleurs l’emploi du terme « fédéral » dans l’appellation de la ComUE Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées est très révélateur selon lui : « Le mot “fédéral”, bon ça veut dire ce que ça veut dire. Chacun reste chez soi ».
Apports et limites d’une dynamique de regroupement
12Il est attendu des ComUEs plusieurs bénéfices en ce qui concerne les dimensions internationales : outre la visibilité, pour représenter l’excellence française à l’international – qui passe par le fait que la ComUE regroupe sous une même structure une très grande quantité de champs disciplinaires –, on projette également une meilleure attractivité des doctorant.e.s étranger.es. Dans ce domaine, la ComUE doit être « une force de frappe » (selon une directrice des relations internationales d’une école d’ingénieurs Télécom) parce qu’il s’agit de « chasser en meute sur certains territoires » (selon une vice-présidente des affaires européennes et des relations internationales). Un autre bénéfice envisagé par quelques établissements est la mise en commun d’outils pour l’aide au montage de projets européens et le recrutement d’ingénieurs d’étude afin de structurer et gérer les dossiers. Le renforcement des synergies et de l’attractivité internationale ne va cependant pas de soi.
13La première difficulté concerne l’élaboration d’une stratégie commune. En effet, les ComUEs regroupant des établissements de nature très différente, elles n’accueillent pas les mêmes publics : des étudiants de licence/master/doctorat pour les universités, de niveau master/doctorat pour les écoles d’ingénieurs. De plus, ces établissements disposent de moyens financiers inégaux dédiés aux relations internationales. Ils sont aussi positionnés sur des phases très différentes du processus d’internationalisation. C’est le cas de la ComUE Paris-Saclay dont les établissements ne se situent pas tous au même stade de développement international, en particulier en ce qui concerne les cotutelles de thèse selon un directeur des relations internationales d’une école d’ingénieurs.
La difficulté de Paris-Saclay, c’est qu’il y a des poids lourds, comme l’École centrale, qui ont une histoire de relations internationales et de coopération internationale beaucoup plus forte que la nôtre. Les grandes écoles, je ne parle pas d’HEC, ont d’énormes moyens que nous n’avons pas pour installer des filières délocalisées. La question n’est pas tellement : « Qui est-ce qui est chef de file ? » ; c’est plus : « Qu’est-ce qu’on fait en commun et qu’est-ce que chacun continue à faire de son côté pour le moment ? » (Vice-président en charge des relations internationales d’une université)
14La deuxième difficulté est l’incapacité pour les établissements d’une ComUE, en particulier pour les écoles d’ingénieurs, de trouver un intérêt dans l’ensemble des actions internationales proposé. D’une part, tous les domaines ne les concernent pas. C’est pourquoi les écoles d’ingénieurs ont tendance à sélectionner des actions qui leur sont profitables : « La ComUE a mis en place un truc qui s’appelle l’International Academy, une formation où on accueille des étudiants chinois pendant l’été. Il y a une formation au français langue étrangère. C’est une Summer School à laquelle maintenant on participe » (selon un directeur adjoint d’une école des Mines). D’autre part, dans certaines ComUEs, les activités internationales se passent davantage sur un site que sur d’autres. C’est le cas dans la ComUE Languedoc-Roussillon Universités où la localisation de Mines Ales empêche l’établissement de participer aux actions d’accueil d’étudiants étrangers, mises en place uniquement sur Montpellier.
15Une troisième difficulté concerne le choix des aires géographiques et culturelles ciblées par la ComUE. Hormis les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) – « c’est la grande mode ! », s’exclame une directrice des relations internationales –, les établissements ont des priorités différentes. D’aucuns estiment que ce choix d’aires et de pays avec lesquels la ComUE peut travailler doit nécessairement prendre en compte les intérêts de la France, puisque toutes les écoles publiques sont financées par l’État et qu’elles travaillent d’abord à essayer de fournir des futurs ingénieurs et chercheurs pour les besoins de l’économie française. Certaines écoles d’ingénieurs privilégient des logiques internationales qui leur sont propres. Dans une première catégorie, la stratégie internationale du groupe d’écoles est favorisée, comme c’est le cas des Écoles centrales. Dans une deuxième catégorie, l’école d’ingénieurs privilégie un rapprochement avec la politique internationale d’une université plutôt qu’avec celle de sa ComUE.
16Finalement, la politique internationale de la ComUE est perçue comme une valeur ajoutée à la stratégie propre des établissements. Il ne s’agit en aucun cas de mutualiser les stratégies des établissements. C’est la position d’une université membre de la ComUE Centre/Limousin/Poitou-Charentes qui garde « évidemment » (selon un vice-président) ses stratégies et essaie ensuite de travailler avec les autres partenaires pour créer une valeur ajoutée : « On ne fond pas nos stratégies en une seule. On garde nos stratégies parce que certaines sont spécifiques à nos histoires » (toujours selon ce vice-président).
Conclusion
17En définitive, les regroupements, ComUEs et associations, sont à des stades très différents dans le processus d’internationalisation : certaines ont à élaborer ex nihilo une stratégie internationale commune n’ayant produit aucune réflexion dans ce domaine en amont du regroupement. D’autres peuvent s’appuyer sur une première expérience d’un travail collaboratif produit dans le cadre d’une réponse IDEX. À ce jour, tous les établissements d’enseignement supérieur n’acceptent pas ces regroupements imposés : en 2017, l’université Rennes 1, l’université Rennes 2 et plusieurs écoles rennaises faisaient le choix de quitter la ComUE Université Bretagne-Loire pour se recentrer sur une politique de site rennais en créant l’« Université de Rennes ». Il reste que le volontarisme politique continue de s’affirmer : le 20 novembre 2019, le CNESER se prononçait contre la fin de plusieurs ComUEs, comme celles de l’Université Sorbonne Paris Cité, du Centre-Val de Loire, de Languedoc-Roussillon Universités et de Lille Nord de France. L’histoire heurtée de cette dynamique est donc toujours en cours d’écriture…
Notes de bas de page
1 Le texte est issu d’une HDR soutenue en 2017. Plus d’une centaine d’entretiens ont été menés entre avril et juillet 2015 auprès de responsables des relations internationales et de responsables en charge de la recherche d’établissements post-secondaires français ; M. Hardouin, « Une contribution à la compréhension de l’insertion différenciée des établissements d’enseignement supérieur français au processus d’internationalisation des formations et de la recherche. Le cas du programme européen de doctorat international en réseau ERASMUS MUNDUS », Soutenance d’HDR, Université Rennes 2, 2017.
2 P. Balme et al., L’université française. Une nouvelle autonomie, un nouveau management, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2016, p. 151.
3 C. Musselin et M. Dif-Pradalier, « Quand la fusion s’impose. La (re) naissance de l’université de Strasbourg », Revue française de sociologie, vol. 55, no 2, 2014, p. 285-318.
4 P. Balme et al., L’université française. Une nouvelle autonomie, un nouveau management, ouvr. cité.
5 C. Musselin et M. Dif-Pradalier, « Quand la fusion s’impose. La (re) naissance de l’université de Strasbourg », art. cité.
6 Benoist Apparu est le rapporteur de cette loi.
7 B. Apparu, Rapport d’information déposé en application de l’article 86 alinéa 8 du règlement, par la commission des affaires culturelles, familiales et sociales sur l’application de la loi no 2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités no 774 déposé le 2 avril 2008, p. 10. En ligne : [http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i0774.asp].
8 Ibid., p. 19.
9 Loi LRU : Titre III, « Les nouvelles responsabilités des universités » ; Chapitre Ier , « Les responsabilités en matière budgétaire et de gestion des ressources humaines » ; Article 15, « Responsabilités et compétences élargies des universités ».
10 B. Apparu, Rapport d’information déposé en application de l’article 86 alinéa 8 du règlement, par la commission des affaires culturelles, familiales et sociales sur l’application de la loi no 2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités no 774 déposé le 2 avril 2008, ouvr. cité.
11 C. Musselin et M. Dif-Pradalier, « Quand la fusion s’impose. La (re) naissance de l’université de Strasbourg », art. cité.
12 Merger est un mot anglais qui signifie « fusion », « rapprochement ».
13 C. Musselin et M. Dif-Pradalier, « Quand la fusion s’impose. La (re) naissance de l’université de Strasbourg », art. cité, p. 285.
14 MENESR, Stratégie nationale de recherche. Rapport de propositions et avis du Conseil stratégique de la recherche, 2015. En ligne : [https://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/Strategie_Recherche/69/3/rapport_SNR_397693.pdf].
15 P. Arnoux, « Paris-Saclay, la guerre des élites », Le nouvel économiste, 2016. En ligne : [https://www.lenouveleconomiste.fr/paris-saclay-la-guerre-des-elites-31312/] ; C. Peltier et D. Guibard, « Le développement de Télécom EM est indissociable de Saclay », EducPros, 2016. En ligne : [http://www.letudiant.fr/educpros/entretiens/denis-guibard-tem-notre-developpement-est-indissociable-d-une-integration-a-saclay.html].
Auteur
ESO/CREAD, Université Rennes 2
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Le lycée professionnel : relégué et avant-gardiste ?
Hélène Buisson-Fenet et Olivier Rey (dir.)
2016
À quoi sert la comparaison internationale en éducation ?
Hélène Buisson-Fenet et Olivier Rey (dir.)
2017
L’autonomie de l’établissement, avec ou contre les enseignants ?
Hélène Buisson-Fenet et Olivier Rey (dir.)
2017