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« Sous les pas des frères »

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Haude Morvan

Remerciements

Texte intégral

1Ce livre trouve son point de départ dans une thèse de doctorat soutenue en septembre 2013. Je tiens à remercier mes deux directrices, Fabienne Joubert et Anna Maria D’Achille, dont l’accompagnement scientifique et les chaleureux encouragements ont été précieux. Je suis très reconnaissante aux autres membres du jury qui ont évalué ma thèse et qui m’ont permis de l’améliorer en vue de sa publication : Daniel Russo, Enrica Neri Lusanna et Jean-Marie Guillouët, que je remercie tout spécialement pour sa confiance indéfectible et son amitié.

2D’autres historiens et historiens de l’art m’ont fait l’amitié de lire des extraits de cet ouvrage au cours de sa rédaction et de me transmettre leurs suggestions, notamment Sandro Carocci, Jérémy Delmulle, Chiara Frugoni, Julian Gardner, Estelle Ingrand-Varenne, Didier Méhu, Grado Giovanni Merlo. Je les remercie très chaleureusement pour tout ce qu’ils m’ont apporté. C’est avec émotion que je voudrais évoquer le souvenir de Maria Monica Donato : l’extraordinaire richesse intellectuelle qui était la sienne reste pour moi une source d’inspiration constante.

3Toute ma gratitude va aux institutions qui ont soutenu mes recherches, et qui m’ont permis de nouer des liens scientifiques et humains riches : l’Université Paris IV-Sorbonne, la Sapienza Università di Roma, l’Université franco-italienne, la Scuola Normale Superiore de Pise, l’École française de Rome, l’Université Bordeaux Montaigne et l’Institut Ausonius. Cet ouvrage doit beaucoup à Stéphane Gioanni, directeur des études pour la section médiévale pendant les deux années que j’ai passées à l’École française de Rome, ainsi qu’à tous mes collègues « romains », avec une pensée particulière pour Sylvie Duval, Laurent Hablot, Marie-Adeline Le Guennec et Cédric Quertier. Pour la mise en forme des illustrations et des plans, l’aide de Sylvain Ducasse a été précieuse et je l’en remercie affectueusement.

4Je tiens enfin à témoigner de ma reconnaissance à Michel Ganne, qui m’a permis d’accéder à la tombe de Hugues Aycelin à Clermont-Ferrand, ainsi qu’aux archives et bibliothèques qui m’ont accueillie, en particulier les archives départementales du Rhône et leur directeur, Bruno Galland, la Biblioteca Nazionale Centrale de Florence, l’Archivio Generale dell’Ordine dei Predicatori, où mes recherches ont été facilitées depuis 2013 par le Père Gaspar Sigaya, et les archives de la province romaine, dirigées avec compétence et générosité par le Père Luciano Cinelli.

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont sous Licence OpenEdition Books, sauf mention contraire.

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