Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
1Alors que cette recherche touche à sa fin, en me retournant sur le chemin parcouru, je me rends compte que ce livre ne m’appartient presque plus et que mes dettes sont nombreuses. En premier lieu, je voudrais dire ma très grande reconnaissance envers Élisabeth Crouzet-Pavan, qui a dirigé la thèse dont est issu cet ouvrage. Je lui suis redevable de sa disponibilité, de l’intelligence et de la perspicacité de ses remarques, ainsi que d’un travail de relecture pour lequel elle n’a jamais épargné sa peine.
2Je tiens également à exprimer ma gratitude envers Étienne Anheim, Cécile Caby, Sandro Carocci, Clémence Revest et Ilaria Taddei. Ils m’ont souvent éclairé au cours de mon doctorat et m’ont fait l’honneur de composer mon jury de thèse. Je dois aussi remercier Agostino Paravicini Bagliani pour ses suggestions initiales qui ont été déterminantes. Mes collègues et amis ont été d’une grande aide, en particulier Adrien Carbonnet, Zoé Commère, Nicolas Minvielle Larousse, Jean Sénié et François Wallerich. Une place à part doit être réservée à Jean-François Figeac pour ses relectures et, plus encore, pour son amitié.
3Ma dette est grande envers les institutions qui m’ont soutenu dans mes recherches. Je ne veux pas oublier l’université de Bourgogne, qui a contribué de manière décisive à ma formation d’historien. Je souhaite remercier avant tout Alain Rauwel qui a su, par ses talents d’orateur, faire naître en moi une vocation. L’université Paris IV Sorbonne, devenue en chemin Sorbonne Université, m’a accueilli pendant une décennie et est devenue au fil du temps mon premier foyer professionnel.
4L’École française de Rome tient forcément une place à part. Je tiens à remercier pour leur confiance ses directeurs des études pour le Moyen Âge, Pierre Savy et Vivien Prigent. Les ressources qu’ils ont mises à ma disposition m’ont permis d’accéder au minerai premier de l’historien : les archives. Le service des publications de l’École, dirigé par Anne-Sophie Bourg, me fait l’honneur de publier cet ouvrage, qui doit beaucoup à la qualité et à la précision des relectures d’Alban du Boisguéheneuc.
5Un livre se mesure en nombre de pages mais aussi en années d’écriture, il constitue une tranche de vie. De ce point de vue, je souhaite rendre grâce à mes parents du soutien sans faille qu’ils m’ont offert. Ils ont su m’entourer dans mes joies et me consoler dans mes peines. Enfin, je veux remercier Anne-Laure pour sa persévérance, sa patience et son amour. J’ai partagé avec elle, au cours de ma thèse, l’arrivée de Pierre-Louis et de Martin. Ils me rappellent chaque jour que nos meilleurs soins doivent être réservés aux vivants plutôt qu’aux morts. Ce livre leur est dédié à tous les trois.
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