1Des deux états de la basilique sud et de ses annexes (fig. 1) proviennent 50 monnaies de bronze et un sou d’or d’époque byzantine qui figure à part dans ce catalogue (Planche I)1. Face à 20 imitations, 18 exemplaires sont des frappes officielles, proportion forte par rapport à la moyenne générale mais sans valeur indicative. La dimension de l’échantillon est en effet limitée et, stratigraphiquement, les gîtes sont très hétérogènes, incluant des niveaux profonds antérieurs à l’église ou parfois juste sous-jacents à elle, de ce fait facilement affectés dès le temps de la construction. Ainsi 9 exemplaires de monnaies officielles sont de haute période (N^os 1 à 9)2, leur date d’émission étant comprise entre l’époque punique et la fin du III^e siècle de n. è. tandis que 9 autres exemplaires officiels – mais 3 sont douteux – sont redevables des IV^e et V^e siècles (N^os 11 ? 12 ?, 21 ?, 22, 28, 35, 36, 37, 38). Une frappe, issue d’un atelier local, serait aussi une imitation (N° 34). En revanche, 19 imitations coulées ou surmoulées sont, comme attendu, des contrefaçons de monnaies de ces deux derniers siècles, avec une dominance de celles, au nombre de 8, portant l’effigie de Constance II (N^os 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20) tandis que 13 unités restent indéterminées (N° 10, attribué au III^e siècle et N^os 39 à 50).

Fig. 1  – Superposition des deux états de la basilique sud (DAO Laurent Maggiori-LA3M).

1°) Les niveaux antérieurs à l’église

2En profondeur sous la première travée du collatéral occidental, 10 exemplaires (N^os 13, 16, 17, 21, 24, 26, 28, 39, 44, 45) sont antérieurs à l’époque de l’église. Ils étaient répandus sur le sol de terre battue de l’une des petites cellules (pièce VII) d’un bâtiment partiellement détruit (fig. 2) avant la construction du lieu de culte, et peut-être justement pour la permettre (contexte 9)3. Le sol était enfoui sous un épais remblai apporté pour établir, très au-dessus de lui, celui de l’église. Toutefois, on ne peut évaluer le délai entre la fin de son usage et la construction du lieu de culte. Il fut bref, inférieur à quelques dizaines d’années, quoiqu’il en soit d’estimations toujours approximatives. D’un nombre aussi faible, on ne peut dégager que des impressions. Cependant, la proportion entre 8 imitations et une seule frappe officielle assurée crée déjà une atmosphère bien différente de celle qui sera décrite dans le cas de la « maison sud » pour laquelle une antériorité de l’abandon par rapport à la création du groupe épiscopal semble établie4. Selon ce critère, l’abandon de la « maison sud » précéda nettement la destruction des bâtiments auxquels se substitua la basilique sud.

Fig. 2  – Vestiges reconnus de l’îlot antérieur à l’église (relevés et dessin S. Roucole, DAO Laurent Maggiori-LA3M).

3Parmi ces monnaies, figurait une frappe officielle (N° 28) dont l’attribution fit l’objet d’une hésitation entre Théodose 1^er et Théodose II5. La prudence reste de mise : compatible avec celle de la céramique (contextes 10 et 11, 2^e quart du V^e siècle)6, la datation de l’abandon de cette petite pièce se fonda sur la seconde proposition tandis que les productions relevaient plus généralement de la première moitié du V^e siècle. Sur ce sol antérieur à l’église, la densité des monnaies est significative d’une utilisation domestique habituelle en contraste avec celle relevée dans les dépendances du lieu de culte, très passagère selon ce critère. Résiduelle, une frappe officielle de Commode (N° 4) provient des remblais rapportés pour établir le sol de la basilique dans son premier état.

4Immédiatement sous le sol de l’église, dans le collatéral oriental, ont été découvertes deux frappes officielles de Claude II (N^os 6 et 7). L’une d’elles (N° 7) a été trouvée en situation stratigraphique cohérente avec des niveaux du III^e siècle, contemporains de la construction du bâtiment qui laissa sa place à la petite basilique (contextes 3, 4, 5)7. Habituel dans les séries d’Antiquité tardive de l’Afrique romaine, ce type est encore représenté par 2 autres exemplaires officiels recueillis dans les niveaux supérieurs (N^os 8 et 9).

2°) L’église

5Dans l’espoir d’obtenir des indices de datation plus précis pour le temps de la construction du lieu de culte fut provisoirement déposée la dalle de remploi qui avait signalé l’emplacement de l’autel du premier état et servi de fondation à celui du second (fig. 3 et 4)8. Ce fut au prix de la démolition des restes arasés du massif maçonné, support de celui-ci. Sur deux exemplaires trouvés, l’un serait une frappe locale non officielle (N° 34) à l’effigie de Théodose II ou de Valentinien III, d’une date estimée vers 425-4309. Plus précise que l’évaluation suggérée par la céramique, la datation de l’église s’est fondée sur elle, justification a posteriori du sacrifice du support de la table d’autel. L’autre exemplaire (N° 49), produit d’un surmoulage, a été attribué indistinctement au V^e siècle.

Fig. 3  – Schéma du premier état de la basilique sud et de ses annexes (relevés et dessin S. Roucole, DAO Laurent Maggiori-LA3M).

Fig. 4  – Schéma du deuxième état de la basilique sud et de ses annexes (relevés et dessin S. Roucole, DAO Laurent Maggiori - LA3M).

6Dans l’église encore, 9 exemplaires ont été récupérés sur l’arasement de l’abside du premier état (N^os 1, 14, 18, 19, 32, 35, 37, 40, 46). En limite des dégagements anciens, ils peuvent être considérés comme suspects. Deux frappes officielles seraient cependant pertinentes en rapport avec une situation stratigraphique qui correspondrait au deuxième état, soit un exemplaire (N° 35) de Valentinien III (425-455) et une monnaie vandale (N° 37). Dans ce même lot, isolée de tout contexte qui sur place lui serait contemporain, une monnaie punique (N° 1) résulte vraisemblablement du remploi de ces espèces anciennes au cours de l’Antiquité tardive, qu’elles soient authentiques ou qu’elles aient été imitées, comme le montre ici, dans un gîte différent, un exemplaire soupçonné avoir été coulé d’après une monnaie de Marseille (N° 2).

7Toujours pour ce qui a trait à l’église proprement dite, le nombre des exemplaires recueillis n’est pas significatif car, lors des dégagements anciens, les sols des deux états successifs avaient déjà été atteints et celui du plus ancien, mosaïqué, avait même été découpé pour être reposé sur des plaques de ciment partiellement remises en place. Cependant, deux petites surfaces mosaïquées du sol du second état avaient échappé à l’opération, laissées en situation en avant de l’abside et dans le collatéral nord, préservant ainsi quelques niveaux sous-jacents qui donnent une idée tronquée, mais intéressante, de ce que, dans leur ensemble, ils avaient pu contenir. Parmi les exemplaires identifiés, relatifs de ce fait au second état de l’église (fig. 4), cinq proviennent du collatéral oriental (N^os 8, 9, 12, 36, 38), trouvés dans ce qui avait été laissé du remblai destiné à porter les restes du décor de sol. Parmi eux, les plus récents sont une frappe officielle ou imitation au nom de Marcien (N° 36) et une autre (N° 38) au nom d’Odoacre, percée en son centre. L’origine de ce remblai, dont le faciès ne se rapportait apparemment pas à la destruction de la première église, doit être exogène et les monnaies ne pas appartenir à proprement parler au passé du lieu de culte. Mais chronologiquement, selon une constatation identique faite pour le corpus du groupe épiscopal, avec un retard d’un demi-siècle au moins sur les indices céramologiques (contexte 18, 2^e tiers du VI^e siècle), ces rares monnaies de la seconde moitié du V^e siècle accompagnent de manière décalée le cours du temps pour signaler le second état des bâtiments (fig. 4) et faire la différence avec le premier état.

3°) Les annexes

8Associées à l’église, les annexes constituaient avec elle un îlot aussi cohérent que celles du groupe épiscopal avec les leur. Dans un cas comme dans l’autre, les églises n’apparaissent donc pas comme des isolats, en dépit des différences d’importance ou de fonction qui les distinguent. Dans ces annexes, qui n’avaient pas fait l’objet de dégagements et étaient intactes, les 14 unités recueillies, toutes périodes confondues, composent un corpus très modeste pour un usage qui est pourtant estimé à presque trois siècles, même s’il fut interrompu en période intermédiaire. Pour le premier état, hormis deux exemplaires beaucoup plus anciens (N° 2 et 5), elles relèvent surtout de la seconde moitié du IV^e siècle, qu’il s’agisse de frappes officielles possibles (N^os 11 et 21) ou de prototypes des imitations (N^os 23, 27, 31, 33, 42, 43, 48). Exceptionnellement, ne figurent ni monnaies officielles ni imitations précédant le règne de Valentinien I^er10. L’exemplaire le plus récent (N° 33) est un grossier surmoulage, peut-être à l’effigie d’Honorius, production attribuée lors de son identification à la seconde moitié du V^e siècle. Il a été trouvé sur le sol de la pièce XVIII (fig. 3), sous une couche de destruction datée de cette même période par l’étude céramologique (contexte 13). Il s’inscrit donc dans le contexte de l’époque terminale du premier état. Avec quatre exemplaires seulement, le second état est encore moins bien pourvu que le premier (N^os 3, 20, 25, 42). En exacte concordance aussi avec les indices céramologiques les plus récents, le sou d’or de l’empereur Constantin IV (668-674), frappé à Carthage, hors catalogue pour la raison évoquée plus haut, recueilli dans la cour des annexes de l’église (secteur XXVII, contexte 33), concourt de manière notable à marquer l’occupation ultime des lieux11.

9Plus significatif de la fréquentation ou de l’usage que celui des exemplaires issus de l’église proprement dite, le nombre de ceux qui proviennent des annexes ne constituent pas une densité comparable, et de loin, à celle relevée dans les îlots profanes dépendant du groupe épiscopal, ni même dans la petite pièce VII antérieure à l’église. Cette situation est l’indice d’une présence domestique peu intense. Il en était ainsi dès le temps très bref du premier état de ces bâtiments rattachés à l’église, aménagés grâce à la restauration d’une partie d’un modeste établissement agricole plus ancien, équipé d’un pressoir à olives. En fait, pour ce qui est du matériel monétaire, la comparaison serait à établir avec l’îlot de la basilique III du groupe épiscopal dont on constatera le caractère particulier en rapport aussi avec une courte période d’utilisation et un rôle subalterne par rapport à l’autre église du groupe. Quant au second état de cette basilique sud et de l’îlot dans lequel elle s’élevait, bien daté par la céramique, la pauvreté monétaire de l’époque contemporaine de cette phase est commune avec la basilique II du groupe épiscopal dans son propre îlot à la même période. Dans chacun n’a été trouvée qu’une seule monnaie assurée d’époque byzantine, et, pour la basilique sud sous la forme du sou d’or, exceptionnel.

4°) Conclusion

10L’interprétation de la basilique sud se révèle finalement plus délicate que celle du groupe épiscopal, même si, entre les deux églises de celui-ci, la distribution des fonctions reste énigmatique. La présence d’un baptistère rattaché à chacune d’entre elles, par exemple, a été l’objet de polémique12. Mais sur le mode d’usage de ce type d’établissement, l’interrogation est générale. Quant à la basilique sud, pour son premier état, la rareté du monnayage confirme l’hypothèse avancée naguère d’une fondation de caractère réservé et funéraire en rapport avec la seule tombe de Felix placée dans la nef (fig. 5 et 6)13 et celle du prêtre Cyprianus dans l’abside (fig. 7)14. Revenir sur le sujet consiste à insister sur la solitude de la sépulture de Felix, s’interroger sur elle et sur l’agencement de sa mosaïque funéraire dans son rapport avec le tapis de la nef principale. Pour sa part, celle de Cyprianus fut manifestement insérée postérieurement dans le tapis de l’abside ainsi qu’en témoignent les contours sinueux du panneau. Il fut déposé naguère, lorsqu’il fut dégagé, placé sur ciment et remis en place. Mais en dépit de cette manipulation, le raccord irrégulier originel avec le reste du sol est toujours manifeste, en particulier sur la bordure gauche.

Fig. 5  – Plan de situation du décor mosaïqué du sol dans le premier état de la basilique sud (relevé et dessin S. Roucole).

Fig. 6  – Mosaïque de la tombe de Felix dans la troisième travée de la basilique sud (relevé et dessin S. Roucole, échelle 1/20^e).

Fig. 7  – Mosaïque de la tombe du prêtre Cyprianus dans l’abside de la basilique sud (relevé et dessin S. Roucole, échelle 1/20^e).

11Au contraire, la mosaïque funéraire qui recouvre la tombe de Felix semble parfaitement adaptée au plan du tapis originel15. L’emplacement fut délibérément choisi en harmonie avec le cadre architectural, entre les piles des grandes arcades de la troisième travée, devant le chancel. La limite gauche était rectiligne, marquée par une file homogène de tesselles, sans avoir été déformée ultérieurement car débordante du périmètre de la fosse. La limite droite fut ajustée au panneau voisin qui était étroit, composé seulement d’une rangée et demie de cercles sécants, limité par deux longues bordures simples, rectilignes et identiques. Ce panneau adjacent est complet dans sa logique géométrique et le motif de son décor est semblable à celui du tapis symétrique développé de l’autre côté de l’allée centrale (fig. 6)16. Il n’a pas été affecté par le tassement des terres dans la fosse de la tombe.

12La mosaïque funéraire se rattache à lui par une suture qui rachète une petite différence d’axe. La surface du raccord se rétrécit et le nombre de lignes de tesselles diminue du nord vers le sud. Comme celle de la mosaïque funéraire, sa planéité a été déformée par le mouvement des terres meubles dans la fosse tandis que le panneau voisin n’en a pas été affecté. Pour donner à la tombe une surface suffisante, une murette de chancel joignant les supports des grandes arcades de cette travée fut détruite. Elle répondait à un dispositif symétrique conservé en vis-à-vis dans la même travée. La forme du panneau de cercles sécants, parallèle à la mosaïque funéraire, est-elle originelle comme le suggèrent sa logique complète et le tracé intact de sa bordure ? Une réponse positive suppose que l’emplacement destiné à la sépulture aurait été laissé en attente. De la part de Felix, cela indiquerait une forme de préparation à la mort dont l’observance, pour les élites chrétiennes, était en cours de devenir une attitude spirituelle non exempte d’ostentation. Pour refuser cette interprétation en pensant à un panneau originel mutilé pour laisser une part de sa surface à la tombe, il faudrait rendre compte d’une réparation restée invisible qui n’aurait pas laissé de traces, donc exceptionnellement méticuleuse par rapport à la pratique observée sur place habituellement.

13Quel que soit le choix, avec une préférence affirmée pour la première interprétation, la sépulture donne une clé de compréhension pour la fonction de l’église et pour sa raison d’être. La murette de chancel aurait été détruite en raison du développement inhabituel de l’encadrement décoratif. La largeur totale du panneau funéraire put être ainsi portée à 1 m, valeur qui excède la moyenne rencontrée dans les séries locales et régionales17. Cette intervention, destructrice d’un dispositif liturgique originel de l’église, témoigne d’un droit de patronage.

14La solitude de la tombe de Felix dans la travée entre le chancel et l’autel, répond à un critère absolu pour désigner une « sépulture privilégiée » laïque. Cette situation invite à la recherche d’une logique d’ensemble pour interpréter le décor du sol de cette basilique. Felix ne serait-il pas le peccator anonyme de l’inscription votive contenue dans le somptueux tapis de la première travée qui est une œuvre en elle-même (fig. 8) ? En raison de la faible durée de cet état du monument, et du caractère particulier qui s’en dégage, à défaut de Felix, il ne pourrait s’agir que d’un proche, un cercle étroit de type familial intervenant pour la construction de l’église. La mosaïque funéraire et ce panneau votif inscrit dans un cadre architectural qui l’isole et le met en valeur font contraste avec la rigidité du reste du décor de sol, qui devient pauvre, voire indigent dans la dernière travée, bien qu’à l’intérieur des chancels, et négligé dans l’abside. D’un style différent, très linéaire, le cratère dessiné devant l’autel échappe à ces qualificatifs dépréciateurs (fig. 9). Mais, pour sa part, son ajout et son insertion aux dépens du tapis primitif étaient évidents18.

Fig. 8  – Tapis de la mosaïque votive dans la première travée de la basilique sud (relevé et dessin S. Roucole, échelle 1/20^e).

Fig. 9  – La dalle marquant l’emplacement de l’autel du premier état de la basilique avec représentation d’un cratère à l’extrémité de l’allée médiane ; la même dalle servit de fondation au support maçonné du second état (relevé et dessin S. Roucole, échelle 1/20^e).

15Ces observations appuient l’interprétation naguère avancée qui faisait de la basilique sud un édifice votif, voire de caractère privé, lié à cette sépulture. Une telle fonction explique une utilisation qui peut n’être qu’occasionnelle par une communauté peu nombreuse. La fréquentation fut aussi restreinte dans le temps. Les deux raisons se conjuguent pour expliquer des marques matérielles ténues. Cependant, après destruction complète, l’église fut quand même reconstruite, plus grande, peut-être pour marquer de façon volontariste la réoccupation d’une surface consacrée et la reprise en main d’un lieu symbolique.

16Si les deux tombes anciennes furent alors dissimulées sous le remblai, il se pourrait cependant que la mémoire du donateur anonyme que signale l’inscription votive du premier état n’ait pas été oubliée. Les termes employés sur l’une des plaques décoratives retrouvées rappellent en effet l’expression originelle de l’inscription mosaïquée. De la même manière anonyme, mais moins personnelle, la formule De donis Dei optulit fait écho à la formule précédente De donis Dei peccator debotionem suam adimplevit, comme à titre d’hommage ou de souvenir. Selon cette interprétation, la plaque aurait été placée sur la face sud de l’autel, à l’aplomb de l’inscription mosaïquée enfouie (fig. 10)19. Elle aurait été fixée au centre de la composition de trois dalles, toutes ornées d’une croix20, formant la rangée supérieure d’un décor de six pièces semblables appliquées sur cette grande face du support de l’autel dont la table était de dimensions importantes, soit 1,70 m sur 1,10 m environ. Dans cette situation particulière, la partie supérieure de l’inscription, Orate sancti Dei, invoquait la prière des saints médiateurs dont les reliques étaient placées dans le réceptacle aménagé au cœur du support de la table.

Fig. 10  – Proposition de reconstitution du décor de la face sud du support de l’autel (état 2) de la basilique sud (échelle 1/20^e, relevés et dessins S. Roucole ; DAO Laurent Maggiori-LA3M).

17Le monument ne porte pas de marques d’une utilisation plus intense dans ce nouvel état malgré le sol, cette fois entièrement mosaïqué, et l’appel à une équipe d’artisans qui réalisa sur place ce décor sculpté au revers de dalles épigraphiques ou de revêtement réemployées21. Deux pièces des annexes contenaient les traces d’un usage domestique qui consistaient en deux amphores enfouies couchées sous le sol de l’une d’elles (pièce IV, contexte 29) et en amphores écrasées dans une autre (pièce XXI-XXII, contexte 28 ; voir fig. 2 pour la numérotation des pièces). On ignore le motif de leur présence et quelle fut la raison de ces emplacements. La pauvreté monétaire suggère pour elles un dépôt circonstanciel, surtout en comparaison avec le contexte qui accompagne les restes du matériel amphorique dans l’îlot sud-est du groupe épiscopal (voir ci-dessous, pièce 112), témoignage pour sa part d’un usage beaucoup plus intense.

5°) Catalogue (planche I)22

Époque punique ou av. n. è.

181- Frappe officielle, Carthage, 300-264 av. n. è. / Ø 17,82 mm ; épais. 3,63 mm ; 5,13 g ; 10 heures / Dr. : Anépigraphe - Tête de Tanit à g. / Rv. : Anépigraphe - Buste de cheval à d. / Us 1000-2, sur l’arase de l’abside de l’état 1 / Alexandropoulos n° 59, p. 375 ; Müller n° 268 ; SNG. N° 149.

192- Petit bronze de Marseille, post 49 ?, imitation coulée en chapelet, V^e s. / Ø 11,59 mm ; épais. 2,79 mm ; 1,07 g / Dr. : […] - Fruste / Rv. : […] - Fruste / Us 1180, pièce II, sol et abandon de l’état 1.

I^er - II^e siècle

203*- Auguste, as, frappe officielle, Rome, 11-12 / Ø 27,69 mm ; épais. 2,60 mm ; 9,27 g ; 12 heures / Dr. : [IMP CAE]SAR DIVI F AVG[VSTVS IMP XX] - Tête à g. / Rv. : PONTIF M[AXIM TRIB]VN POT XXXIIII - SC au centre / Us 1163, pièce XXI, destruction de l’état 2 / RIC 471, I, p. 78.

214- Commode, sesterce, frappe officielle, Rome, 181-184 / Ø 29,19 mm ; épais. 3,63 mm ; 12,77 g ; 6 heures / Dr. : [-]COMMO[-] - Tête laurée à d. / Rv. : ANNO[-] - Annona debout à g., tenant des épis au-dessus d'un modius, dans le champ S-C / Us 1303, collatéral ouest travée 1, construction de l’état 1.

III^e siècle

225*- Claude II, antoninianus, frappe officielle, Cyzique, 268 / Ø 20,75 mm ; épais. 2,01 mm ; 3,98 g ; 6 heures / Dr. : [IMP C M] AVR CLAVDIVS AVG / Rv. : SECVRITAS PERPETVA - Securitas debout à g., tenant un sceptre et s'appuyant sur une colonne, dans le champ M - C / Us 1214, pièce II, sol et abandon état 1 / RIC 243 var., V, vol. 1, p. 232 ; A. Alföldi, Die römische Münzprägung und die historischen Ereignisse im Östen, Berytus, V, 1938, p. 47-91, en particulier p. 66, pl. XXIX, 5 : 1^re émission de Cyzique (Réf. Cl. Brenot).

236- Claude II, antoninianus, frappe officielle, atelier ind., III^e s. / Ø 16,05 mm ; épais. 1,40 mm ; 0,88 g ; 6 heures / Dr. : [DIVO CLAVDIO] / Rv. : [CONSECRA]TI[O] - Aigle / Us 1315, collatéral E et nef, sous le sol de l’état 1 / RIC 266, V, vol. 1, p. 234.

247- Claude II, antoninianus, frappe officielle, atelier ind., III^e s. / Ø 16,00 mm ; épais. 1,13 mm ; 0,88 g ; 12 heures / Dr. : DI[VO CLA]VDIO / Rv. : CONSE[CRAT]IO - Autel / Us 1328, collatéral E, travée 1, sous le sol de l’état 1 / RIC 259, V, vol. 1, p. 233.

258- Claude II, antoninianus, frappe officielle, atelier ind., III^e s. / Ø 13,13 mm ; épais. 1,80 mm ; 1,19 g ; 12 heures / Dr. : Hors flan / Rv. : CON[SECRATIO] - Aigle / Us 1118-1, collatéral E, travée 4, construction de l’état 2 / RIC 266, V, vol. 1, p. 234.

269- Claude II, antoninianus, frappe officielle, atelier ind., III^e s. / Ø 15,67 mm ; épais. 1,75 mm ; 1,39 g ; 12 heures / Dr. : DIVO [CLAVDIO] / Rv. : CO[NSECRATIO] - Autel / Us 1118-2, collatéral E, travée 4, construction de l’état 2 / RIC 259, V, vol. 1, p. 233.

2710- Ae ind., III^e-IV^e s. / Ø 15,87 mm ; épais. 0,80 mm ; 1,16 g / Dr. : Fruste / Rv. : Fruste / Us 1227, cour XX-XXVII, sol et abandon de l’état 2.

Constance II, Constant, Julien

2811*- Constant, nummus, imitation coulée ? d’après original Rome, 337-340 / Ø 15,58 mm ; épais. 1,47 mm ; 1,37 g ; 6 heures / Dr. : DN [FL CONS] - TANS AVG / Rv. : [SEC]VRITAS REI P - Securitas debout à g., tenant un sceptre et s'appuyant sur une colonne / Us 1218, pièce XXII-XXII, sol et abandon de l’état 1 / RIC 11, VIII, p. 250 ; LRBC 588, p. 15 ; G. 15.

2912- Constant, nummus, frappe officielle ?, Rome, 347-348 / Ø 15,75 mm ; épais. 1,13 mm ; 0,98 g ; 6 heures / Dr. : CONSTAN - S PF AVG / Rv. : VICTO[RIAE DD AVGGQ NN] - Deux Victoires debout se faisant face et tendant une couronne de laurier et une palme, dans le champ une palme / Exergue : RS / Us 1108-2, collatéral E, travée 3, construction de l’état 2 / RIC 78, VIII, p. 253.

3013- Constance II, imitation d’après original Thessalonique, 350-355 / Ø 18,73 mm ; épais. 1,20 mm ; 1,88 g (poids normal circa 2, 45 g) ; 12 heures / Dr. : DN CONSTAN - [TIVS PF AVG] / Rv. : FEL TEMP RE - PARATIO, dans le champ à g. B / Exergue : SMTS / Us 1317-4, pièce VII, sol et abandon / RIC 189, VIII, p. 419 ; LRBC 1681, p. 78 ; G 39.

3114*- Constance II, Ae 4, imitation surmoulée d’après original atelier ind. 354-360 / Ø 12,65 mm ; épais. 1,14 mm ; 0,91 g ; 12 heures / Dr. : […] S PF AVG. / Rv. : [FEL TEMP REPARATIO] - Virtus transperçant un cavalier désarçonné / Us 1000-9, sur l’arase de l’abside de l’état 1.

3215- Constance II, Ae 3, imitation coulée ?, d’après original atelier ind., 354-360 / Ø 15,19 mm ; épais. 1,33 mm ; 0,94 g ; 12 heures / Dr. : DN CONS[…] / Rv. : [FEL TEMP REPARATIO] - Virtus transperçant un cavalier désarçonné / Dans le mortier du mur est de l’église (construction de l’état 2).

3316- Constance II, Ae 4, imitation surmoulée / Ø 13,93 mm ; épais. 2,09 mm ; 2,35 g ; 6 heures / Dr. : […] - VS PF AVG / Rv. : [FEL TEMP REPARATIO] - Virtus transperçant un cavalier désarçonné, dans le champ à g. M / Us 1317-5, pièce VII, sol et abandon.

3417- Constance II, Ae 4, imitation coulée / Ø 15,58 mm ; épais. 1,31 mm ; 1,49 g ; 6 heures / Dr. : CONSTANT - IVS PF AVG / Rv. : [FEL TEMP REPARATIO] - Virtus transperçant un cavalier désarçonné / Us 1317-6, pièce VII, sol et abandon.

3518- Constance II, nummus, imitation surmoulée / 1,45 g ; 10 heures / Dr. : DN CONSTAN - [TIVS PF AVG] / Rv. : […] - Fruste / Us 1000-1, sur l’arase de l’abside de l’état 1.

3619- Constance II, Ae 4, imitation surmoulée d’après original Cyzique, 355-361 / Ø 13,42 mm ; épais. 1,63 mm ; 1,73 g ; 6 heures / Dr. : [...] / Rv. : [SPES REIPV]BLICE / Exergue : SMK / Us 1000-6, sur l’arase de l’abside de l’état 1 / RIC 117, VIII, p. 499 ; LRBC 2504, p. 97.

3720- Constance II ou Julien, Ae 4, imitation coulée d’après original atelier ind., 355-361 / Ø 14,91 mm ; épais. 1,14 mm ; 1,12 g / Dr. : [...] - Fruste / Rv. : [SPES REI - PVBLICE] / Us 1059, pièce XIII, destruction de l’état 2.

3821- Julien, Ae 4, frappe officielle ?, Cyzique, 355-361 / Ø 16,31 mm ; épais. 1,29 mm ; 1,14 g ; 6 heures / Dr. : DN FL CL IVLI - ANVS [NOB CS] / Rv. : SPES REI - [PVBLICE] / Exergue : SMKE ? / Us 1317-3, pièce VII, sol et abandon / RIC 118, VIII, p. 499 ; LRBC 2505, p. 97.

Valentinien I^er, Valens

3922- Valentinien I^er, Valens ou Gratien, Ae 3, frappe officielle, 364-378 / Ø 16,78 mm ; épais. 1,40 mm ; 1,66 g ; 12 heures / Dr. : [...] / Rv. : SECVRITAS REIPVBLICAE / Us 1248, collatéral E, tr. 6, destruction de l’état 2.

4023- Valentinien I^er ou Valens, Ae 3, imitation surmoulée d’après original atelier ind. 364-378 / Ø 12,13 mm ; épais. 0,95 mm ; 0,73 g ; 2 heures / Dr. : Hors flan / Rv. : [SECVRITAS REIPVBLICAE] / Us 1127-2, pièce XVI, destruction de l’état 1.

4124- Valentinien I^er, Valens, Ae 3, imitation surmoulée d’après original atelier ind. 364-378 / Ø 12,92 mm ; épais. 2,06 mm ; 1,62 g ; 12 heures / Dr. : [...] / Rv. : SECVRITAS [REIPVBLICAE] / Us 1317-2, pièce VII, sol et abandon.

4225- Valentinien I^er, Ae 3, imitation surmoulée d’après original atelier ind. 364-378 / Ø 12,80 mm ; épais. 1,38 mm ; 0,96 g ; 6 h. / Dr. : VALENTINI[…] / Rv. : [...] - Fruste / Us 1291, pièce XXIII, destruction de l’état 2.

4326- Valentinien I^er, Valens, Ae 3, imitation surmoulée d’après original atelier ind. 364-378 / Ø 12,29 mm ; épais. 2,30 mm ; 2,03 g / Dr. : VALEN[…] ? / Rv. : [...] - Fruste / Us 1317-9, pièce VII, sol et abandon.

Gratien, Théodose I^er

4427- Gratien, Ae 4, imitation coulée ou surmoulée d’après original atelier ind. 378-383 / Ø 12,40 mm ; épais. 1,32 mm ; 1,12 g ; 6 h. / Dr. : [DN] GRATIA - [NVS PF AVG] / Rv. : [VO]T / XV / MVLT / XX - Légende en quatre lignes dans une couronne de laurier avec un médaillon orné d'un aigle / Us 1127-3, pièce XVI, destruction de l’état 1.

4528- Théodose I^er, Ae 4, frappe officielle, atelier ind., 380 / Ø 14,63 mm ; épais. 1,54 mm ; 1,48 g ; 6 h. / Dr. : DN THEODO - SIVS PF AVG / Rv. : VOT / X / MVLT / XX / Us 1317-10, pièce VII, sol et abandon / Voir doutes sur la réalité de cette émission pour Théodose II, RIC, X, p. 90, attribution plus probable à Théodose I^er.

4629- Ae 4, imitation coulée d’après original atelier ind. 383-395 / Ø 13,63 mm ; épais. 1,50 mm ; 1,08 g / Dr. : [...] - Fruste / Rv. : [SALVS REI PVBLICAE] / Us 1373, au sud pièce IV, chemin d’accès à la basilique, sol.

4730*- Théodose I^er, nummus, imitation surmoulée d’après original atelier ind. 383-395 / Ø 11,80 mm ; épais. 1,74 mm ; 1,30 g ; 6 h. / Dr. : DN THE[ODOSIV]S PF AVG / Rv. : [SALVS REIPVBLICAE] / Us 1001, abside, destruction de l’état 2.

4831- Arcadius ? Ae 4, imitation coulée d’après original Constantinople, 383-395 / Ø 13,24 mm ; épais. 1,59 mm ; 1,10 g ; 6 h. / Dr. : [...] - Fruste / Rv. : [SALVS REIPVBLICAE] / Exergue : [C]ONS / Us 1170, pièce II, sol et abandon de l’état 1 / RIC 86 (c), IX, p. 234.

4932- Ae 3, imitation surmoulée d’après original Alexandrie, 383-395 / Ø 14,46 mm ; épais. 1,50 mm ; 1,66 g ; 6 h. / Dr. : [...] - Trace d'un buste diadémé, drapé à d. / Rv. : [SALVS REIPVBLICAE] / Exergue : ALE / Us 1000-7, sur l’arase de l’abside de l’état 1.

Honorius

5033- Honorius ?, Ae 4, imitation surmoulée très épaisse et irrégulière d’après original Arles, 413-423 / Ø 16,91 mm ; épais. 1,67 mm ; 2,60 g (poids non représentatif de la série régulière) ; 6 h. / Dr. : […] - VS PF AVG / Rv. : [GLORIA RO - MA]NORVM / Exergue : SCON / Us 1144, pièce XVIII, destruction de l’état 1 / RIC 1365, X, p. 340 ; LRBC 573, p. 57.

Théodose II, Valentinien III

5134*- Théodose II ou Valentinien III ?, Ae 4, imitation frappée, atelier local, d’après original 395-440 / Ø 11,50 mm ; épais. 1,69 mm ; 0,79 g ; 9 h / Dr. : Pseudo légende formée d’une suite de points - Buste diadémé, drapé à d. / Rv. : Pseudo légende formée d’une suite de points - Victoire allant à g., tenant une palme sur l’épaule g. et une couronne de laurier de la main droite, dans le champ à g, trait vertical, reste de la lettre d’officine (T ?) / Us 1359-1, sous dalle d’autel de l’état 1, construction de l’état 1 / Sidi Jdidi I, p. 84-85.

5235- Valentinien III, Ae 4, frappe officielle, Rome, 425-455 / Ø 13,47 mm ; épais. 0,86 mm ; 0,49 g ; 6 h. / Dr. : [...] - Trace d'un buste diadémé, drapé à d. / Rv. : [VICTORIA] AVGG - Deux Victoires debout se faisant face et tendant une palme et une couronne de laurier. / Us 1000-8, sur l’arase de l’abside de l’état 1 / RIC 2131 ou 2132, X, p. 378 ; LRBC 860, p. 63 ; Mostecky, p. 69.

Marcien

5336- Marcien, Ae 4 tréflé, frappe officielle, Thessalonique ? Héraclée ? Constantinople ? Nicomédie ?, Cyzique ?, 450-457 / Ø 10,70 mm ; épais. 0,99 mm ; 0,58 g ; 12 h. / Dr. : Anépigraphe - Buste diadémé, drapé à d. / Rv. : Anépigraphe - Monogramme de Marcien / Us 1108-3, collatéral E, travée 3, construction de l’état 2.

Monnaies barbares

5437- Gunthamund, frappe officielle, Carthage, fin du V^e s. / Ø 9,04 mm ; épais. 1,35 mm ; 0,48 g / Dr. : […] - Fruste / Rv. : Anépigraphe - D dans une couronne / Us 1000-3, sur l’arase de l’abside de l’état 1 / MEC 13.

5538*- Odoacre, Ae 4, frappe officielle, Ravenne, 476-493 / Ø 9,33 mm ; épais. 1,66 mm ; 0,77 g / Dr. : […]PPA - Buste diadémé, drapé à d. / Rv. : Monogramme d'Odoacre / Us 1108-1, collatéral E, travée 3, construction de l’état 2 ; Kraus 35, cf. F.F. KRAUS, Die Münzen Odovacars und des Ostgotenreiches in Italien, Halle, 1928. Le monogramme est un peu différent : le D est placé à g. et dépasse un peu la haste verticale du A et forme ainsi un C de telle sorte que les lettres D, V, A, C, A, R, sont réunies. Le O peut avoir disparu avec la perforation de la pièce en son centre (Remarque Cl. Brenot).

Indéterminées

5639- Ae 4, imitation surmoulée (deux revers), V^e s. / Ø 12,92 mm ; épais. 2,25 mm ; 1,90 g. / Dr. : [...] - Couronne de laurier, type de revers des Vota / Rv. : [...] - Victoire allant à g. tenant une couronne de laurier et une palme / Us 1317-1, pièce VII, sol et abandon.

5740- Ae 4, imitation coulée / Ø 12,99 mm ; épais. 1,33 mm ; 1,10 g ; 12 h. / Dr. : [...] - Trace d'un buste diadémé, drapé à d. / Rv. : [...] - Victoire allant à g. tenant une couronne de laurier et une palme ? / Us 1000-5, sur l’arase de l’abside de l’état 1.

5841- Ae 4, imitation coulée / Ø 9,64 mm ; épais. 1,26 mm ; 0,60 g ; 9 h / Dr. : [...] - Trace d'un buste diadémé, drapé à d. / Rv. : Hors flan - Victoire allant à g., tenant une palme ? / Us 1242, collatéral E, travée 3, construction de l’état 1.

5942*- Ae 4, imitation coulée / Ø 10,49 mm ; épais. 1,72 mm ; 1,09 g ; 11 h / Dr. : Pseudo légende : IIIIII - Buste diadémé, drapé à d. / Rv. : Hors flan - Victoire à g. / Us 1195, pièce XII, construction de l’état 2.

6043- Ae 4 (fragment) / Us 1249, pièce II, sol et abandon de l’état 1.

6144- Ae 3/4, imitation coulée / Ø 12,90 mm ; épais. 2,08 mm ; 1,37 g / Us 1317-7, pièce VII, sol et abandon.

6245- Ae 3/4, imitation surmoulée / 1,35 g / Us 1317-8, pièce VII, sol et abandon.

6346- Fruste, imitation coulée / Ø 14,74 mm ; épais. 1,16 mm ; 1,12 g / Us 1000-4, sur l’arase de l’abside de l’état 1.

6447- Ae 4, imitation coulée / Ø 9,39 mm ; épais. 0,96 mm ; 0,31 g / Us 1246, collatéral E, travée 4, sol et abandon de l’état 1.

6548- Ae 4, imitation coulée / Ø 10,20 mm ; épais. 1,48 mm ; 0,68 g. / Us 1127-1, pièce XVI, destruction de l’état 1.

6649- Ae 4, imitation surmoulée (2^e ou 3^e génération) / Ø 12,47 mm ; épais. 1,82 mm ; 1,65 g / Us 1359-2, sous dalle d’autel de l’état 1, construction de l’état 1.

6750- Rondelle de plomb, tessère ? / Ø 14,35 mm ; épais. 2,40 mm ; 3,32 g / Dr. : Anépigraphe - Deux mamelons en reliefs, l’un au centre, l'autre sur une extrémité. / Rv. : [...] - Fruste / Us 1261, collatéral E, travée 5, destruction de l’état 2.