1Cet ouvrage est issu d’une thèse de doctorat soutenue en mars 2014, à l’université Paris-Sorbonne, sous la direction du professeur François Baratte. Quelques remaniements du plan ont été effectués mais surtout, les catalogues ont été allégés pour faciliter leur consultation pour le lecteur, tout en lui laissant à disposition la documentation brute. La bibliographie a été mise à jour pour tenir compte des dernières nouveautés ou des références essentielles qui avaient été omises. Pour leurs remarques qui m’ont permis d’améliorer du mieux possible la structure et le texte de ma thèse afin d’en faire un livre, mes remerciements s’adressent en premier lieu aux membres de mon jury de soutenance : François Baratte (université Paris-Sorbonne), Fathi Bejaoui (INP, Tunis), Hélène Dessales (ENS Ulm), Frédéric Hurlet (université Paris-Ouest), Gilles Sauron (université Paris-Sorbonne) et Andrew Wilson (Oxford University).

2Les rencontres et les échanges ont été nombreux lors de ces années de recherches. Sans qu’il soit possible de les citer toutes, il m’est agréable de mentionner ici quelques-unes des personnes qui ont jalonné ce long chemin. J’adresse mes sincères remerciements à François Baratte, le directeur de ces recherches, qui a accepté de suivre mon parcours depuis le Master. Sa confiance lors de l’organisation de mes projets et missions, son soutien scientifique et matériel ont été indispensables au bon déroulement et à l’achèvement de ma thèse. J’ai une pensée particulière pour Noël Duval, à qui ces pages doivent beaucoup. J’ai pu prendre la mesure de sa connaissance de l’Afrique, et de la Tunisie en particulier, dès l’organisation de mes premières missions, lorsqu’il me décrivait de mémoire les ruines et les chemins à emprunter pour y accéder. Ses indications à distance, lorsque j’étais sur le terrain, ont été plus précieuses que tous les atlas et toutes les cartes pour retrouver hors des sentiers battus des vestiges depuis longtemps dissimulés. Il a bien voulu me transmettre une partie de ses archives personnelles et m’a proposé d’étudier en détail l’un des dossiers, celui consacré à Cincari. J’ai énormément appris en travaillant à ses côtés et je sais ce que je lui dois, dans ma formation et pour cette thèse.

3L’achèvement de la thèse et de cet ouvrage n’aurait pas été possible sans le soutien de diverses institutions : l’École doctorale VI de l’université Paris-Sorbonne (ED 124) ; le Centre Antiquité classique et tardive de l’UMR 8167 Orient & Méditerranée ; l’Institut national d’histoire de l’art, où j’ai contribué comme moniteur-étudiant à l’inventaire du fonds Poinssot, qui m’a accordé une bourse pour la participation au Congrès international des études médiévales de Leeds ; l’École française de Rome où j’ai été accueilli à deux reprises au palais Farnèse en tant que boursier ; le programme ANR EauMaghreb ; à Berlin, l’Institut archéologique allemand (DAI) qui m’a permis de bénéficier d’une bourse de recherches, grâce à l’invitation de Philipp von Rummel, et l’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD) qui m’a attribué une bourse postdoctorale à l’Institut für Klassische Archäologie de la Freie Universität, grâce au soutien de Monika Trümper, séjours qui se sont avérés décisifs dans l’avancement de la publication.

4 En France et à l’étranger, j’ai eu l’opportunité de rencontrer ou d’échanger avec de nombreux chercheurs et collègues, ceux croisés lors de journées d’études et de séminaires, ceux qui m’ont ouvert leur porte ou qui ont répondu à mes demandes lorsque je les ai sollicités : Nicolas Bresch et l’équipe de l’IRAA rue Pouchet, Virginie Bridoux, Véronique Brouquier-Reddé, Gabriel de Bruyn, Stefano Camporeale, Nathalie de Chaisemartin, Madalina et Dan Dana, Xavier Dupuis, Jean-Claude Golvin, Claire Hardy-Guilbert, Christa Landwehr †, Éliane Lenoir, Philippe Leveau, Caroline Michel d’Annoville, Éric Morvillez, Niccolò Mugnai, Cristina Murer, Jean Peyras, Dylan K. Rogers, Corinne Sandoz et Gilles Sauron.

5Une grande partie du travail et des rencontres s’est faite hors des frontières hexagonales, avant tout sur mes terrains d’étude. La Tunisie est de loin le pays du Maghreb où j’ai passé le plus de temps durant ces dernières années. Deux missions ont été organisées avec Marguerite Ronin, rencontrée il y a longtemps à Vieux-la-Romaine, avant que nos chemins ne se croisent de nouveau en direction de l’Afrique. Je la remercie de son aide dans l’organisation des missions et pour sa participation aux opérations de terrain que je n’aurais pu effectuer seul. Nos discussions dans les dernières semaines de la rédaction m’ont permis de préciser nombre de points sur lesquels elle m’a éclairé. J’ai pu mener à bien ces deux missions grâce à la confiance que m’a témoignée Fathi Bejaoui, alors directeur général de l’Institut national du patrimoine à Tunis et aux autorisations d’étude qu’il m’a accordées. Je le remercie de son aide et de ses encouragements tout au long de la thèse et lors des travaux de terrain, notamment à Haïdra. Sur place, nous avons bénéficié de l’accueil et des conseils de Samir Aounallah, Hamden ben Romdane, Moheddine Chaouali, Mohamed Tlili, Khaled « Chaouachi » Grira et sa famille, ainsi que de la famille Soukah. Plusieurs semaines ont été passées à Haïdra en compagnie de l’équipe de la mission archéologique : Moez Achour, Caroline Blonce, Céline Huguet, Zénaïde Lecat, Céline Mesnard, Pauline Piraud-Fournet, Elsa Rocca et Morgane Uberti.

6J’ai eu la chance de pouvoir partir en Algérie, grâce à une fructueuse collaboration avec Anne-Florence Baroni. Je la remercie de ses conseils et de son soutien, à titre professionnel et personnel. Nombreux sont ceux qui nous ont conseillés en France avant notre départ ou qui nous ont chaleureusement accueillis sur place : Youcef Aïbèche, Nafiza Azzaza, Hamoud Bakalem et sa famille, Nacer Boulahiya, Ali Ikherbane, Saïd Khacha, Amina-Aïcha Malek, Tahar Redjel, Souad Slimani, Nadia Tatar, de même que le Service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France et le Centre d’études diocésain « Les Glycines » à Alger, l’université Mentouri et le Centre culturel français à Constantine.

7Un séjour au Maroc, lors du colloque organisé à Rabat dans le cadre de l’ANR EauMaghreb, m’a permis de visiter les sites de Sala et Volubilis, dont je remercie les deux conservateurs, Mohamed Kbiri-Alaoui et Rachid Bouzidi, de m’avoir autorisé à étudier les monuments qui m’intéressaient.

8J’ai passé trois mois aux États-Unis, à Brown University, grâce à un partenariat de l’université Paris-Sorbonne. Je remercie Susan E. Alcock, alors directrice du Joukowsky Institute, ainsi que Sheila Bonde, Jonathan Conant, Ömür Harmanşah, Rebecca Molholt † et tous les doctorants de l’institut pour nos discussions et pour leur accueil.

9La recherche engagée sur plusieurs années amène souvent à créer avec nos collègues des liens qui deviennent vite amicaux, ou à développer des collaborations avec des amis universitaires. Pour leur écoute, leur accueil et nos échanges, je remercie chaleureusement Stefan Ardeleanu, Gwladys Bernard, Arnaud Bertinet, Felicity Bodenstein, Ronan Bouttier, Olivier Brunet, Delphine Burlot, Yann Goubin, Juliette Hernu-Bélaud, Zheira Kasdi, Juliette Lavie, Béatrice Le Teuff, Floriane Rascle, Mélanie Salitot, Paul Scheding, Nichole Sheldrick, Véronique Soulay, Miwa Takimoto, Philipp von Rummel, Magdalena Woźniak et Kenza Zinaï.

10Je suis reconnaissant à l’École française de Rome de me faire l’honneur de publier ce volume dans sa collection, en particulier aux directeurs des études antiques, Stéphane Bourdin qui avait accueilli le projet de publication et Nicolas Laubry qui l’a soutenu et en a suivi la réalisation, ainsi qu’au directeur des Éditions, Richard Figuier. Des remerciements particuliers sont adressés à Fabienne Dugast, à l’UMR 8167 Orient & Méditerranée, pour son soutien constant et ses nombreux conseils en amont du projet d’édition.

11Les illustrations ont été enrichies grâce aux dons et aux autorisations des Archives nationales d’Outre-mer, de Samir Aounallah, François Baratte, Véronique Blanc-Bijon et Bruno Baudoin à la photothèque du Centre Camille Jullian, Marie-Christine Comte, Karsten Dahmen au Münzkabinett der Staatlichen Museen zu Berlin, Noël Duval, Bérengère Fortuner, Pauline et Thibaud Fournet, Jean-Claude Golvin, Laure-Hélène Kerrio à la documentation photographique du département des Antiquités grecques, étrusques et romaines du Musée du Louvre, Paulette Poinssot, Ursula Quatember et Francesco Tomasello. Je sais gré à Olivier Munnich, directeur de la composante Antiquité classique et tardive de l’UMR 8167 Orient & Méditerranée, de m’avoir accordé son soutien financier pour l’acquittement des frais de publication des images sous droits d’auteur.

12Merci à mes amis, soutiens des moments décisifs, compagnons de voyages et relecteurs attentifs. Ma famille m’a toujours encouragé dans ce projet de longue haleine. Je tiens à remercier mes parents de leur soutien moral et financier, mon frère, mon oncle et ma tante, mes grands-parents, pour leur présence et leur compréhension.

13Paris, septembre 2018