Un Autre Risorgimento
|Remerciements
Texte intégral
1Ce livre est la version en partie remaniée de la thèse de doctorat que j’ai soutenue en septembre 2017 à l’université Paris 1, sous la codirection de Gilles Pécout et de Jean-Philippe Luis, en co-tutelle avec Renata De Lorenzo à l’université Federico II de Naples. Je sais gré à mes trois directeurs de leur appui bienveillant et de la très grande confiance qu’ils m’ont accordée pendant mes recherches. Je remercie aussi Sylvie Aprile et Marta Petrusewicz, qui ont fait partie de mon jury de thèse et m’ont fourni des suggestions d’approfondissement stimulantes et décisives.
2Je suis redevable à de nombreux chercheurs, collègues, amis. Jean-Pierre Dedieu m’a formé avec beaucoup de patience et de rigueur au système de traitement de données historiques « Fichoz », m’a suggéré des orientations de recherches et m’a constamment encouragé à aller voir au-delà du seul terrain napolitain. Vincent Robert s’est lui aussi montré d’une grande disponibilité et m’a fait partager sa grande érudition sur le XIXe siècle européen. Igor Moullier et Mélanie Traversier ont été des soutiens permanents, des débuts de ma thèse à la publication de ce livre. Éric Anceau, Arianna Arisi Rota, Andoni Artola Renedo, Fabrice Bensimon, Maïté Bouyssy, Catherine Brice, Walter Bruyère-Ostells, Antonio Buttiglione, Domenico Cecere, Fabio D’Angelo, John A. Davis, Werner Daum, Laura Di Fiore, Alexandre Dupont, Giuliano Ferretti, Laura Fournier-Finocchiaro, Pierre Girard, Arthur Hérisson, David Hopkin, Alba Irollo, Maurizio Isabella, Silvia Marton, Laurent Nagy, Álvaro París Martín, Christophe Poupault, Anna Maria Rao, Isabelle Renaudet, Vittorio Scotti Douglas, Jens Späth, Jean-Noël Tardy, Alessandro Tuccillo – la liste n’est pas limitative – m’ont suggéré des pistes de réflexion, des sources, ont répondu à mes questions et/ou m’ont permis de participer à des travaux collectifs. À Aix-Marseille Université, Anne Carol, Martine Chalvet, Aurélia Dusserre, Isabelle Renaudet et Nessim Znaien m’ont permis de rédiger ce livre dans un cadre de travail favorable et bienveillant.
3Je remercie Fabrice Jesné et les éditions de l’École française de Rome pour la confiance qu’ils m’ont témoignée en acceptant de publier cet ouvrage dans leur collection. Celui-ci n’aurait pas été possible sans des soutiens institutionnels déterminants : le Centre d’histoire du XIXe siècle, puis le laboratoire TELEMMe m’ont intégré à leurs équipes pendant les étapes successives de ce travail, alors que j’ai enseigné à l’université Paris 1, à Toulouse puis à Aix-en-Provence. Le Remarque Institute de New York University, en 2012, m’a accueilli au début de ma thèse ; l’École française de Rome et l’Université franco-italienne ont facilité mes séjours de terrain par l’attribution de bourses de recherche. Le personnel des archives et des bibliothèques qui ont accueilli mes dépouillements, notamment à Naples et à Cosenza, s’est montré d’une grande disponibilité et a contribué à me permettre de mener à bien mes travaux.
4Antonio Buttiglione, Alexandre Dupont, Arthur Hérisson, Igor Moullier, Laurent Nagy, Vincent Robert, Aïcha Salmon et Mélanie Traversier ont relu ce travail à l’une ou l’autre de ses étapes, m’ont poussé à le mener à terme et m’ont apporté des éclaircissements précieux dont je me suis efforcé de tenir compte. Je reste bien sûr responsable des erreurs et des omissions résiduelles. J’adresse des remerciements particuliers à Fabio D’Angelo pour son compagnonnage amical et intellectuel et pour sa disponibilité, qui ont considérablement facilité mes séjours à Naples, à mes parents et à mon frère pour leurs encouragements. Mais c’est Laetitia, mon épouse, qui a rendu ce livre possible : elle sait ce qu’il lui doit, et il lui est dédié.
© Publications de l’École française de Rome, 2019