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L’Architecture morte ou vive

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Pascal Dubourg-Glatigny

Remerciements

Texte intégral

1Ce travail est dédié à la mémoire de Joël Sakarovitch, un savant libre de préjugés disciplinaires, aussi ardent dans sa quête de connaissance du phénomène architectural que tempéré dans ses jugements académiques. Ses critiques bienfaisantes, son regard aiguisé, son savoir transversal m’accompagnèrent avec bienveillance dans la préparation de ce travail destiné à constituer le socle d’une habilitation. Il n’est guère possible d’exprimer la douleur que provoqua sa disparition quelques semaines avant la soutenance qui eut lieu le 12 avril 2014 à l’Académie d’architecture. L’accueil chaleureux et la générosité intellectuelle de Paul Quintrand, président de l’Académie, contribua à adoucir cette absence trop cruelle. Que les membres du jury Jean Boutier, Marianne Cojannot Le Blanc, Pietro Corsi, Christian Michel, Werner Oechslin et Antonella Romano soient remerciés pour les avis éclairés que chacun porta, depuis sa discipline, sur ce travail. Leurs suggestions me conduisirent à quelques élargissements, à de nombreuses tentatives de clarification et aussi, à certaines coupes salutaires.

2Sans la disponibilité et les encouragements de Simona Turriziani et Assunta Di Sante, archivistes de la Fabrique de Saint-Pierre, ce travail n’aurait pas vu le jour.

3Je remercie également Michela Becchis, Jean-Marc Besse, Robert Carvais, Alexandre Cojannot, Sophie David, Maria Pia Donato, Corinne Dubourg Glatigny, Romano Gatto, Piotr Zygmunt Kowalski, Nicoletta Marconi, Emilie d’Orgeix, Eric Pagliano, Catherine Perret, Madeleine Pinault-Sørensen, Dominique Raynaud, Hélène Rousteau-Chambon et Hélène Vérin qui me firent l’amitié de discuter ce travail et de l’enrichir.

© Publications de l’École française de Rome, 2017

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