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Le pouvoir des bons mots

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Pascal Montlahuc

Remerciements

Texte intégral

1Mes remerciements chaleureux et nombreux vont tout d’abord à J.-P. Guilhembet, directeur de recherche hors du commun à qui je dois d’avoir eu un parcours serein et exigeant. Co-directrice de mon travail de thèse, M.-Cl. Ferriès doit également être remerciée pour ses conseils et pour ses encouragements, professionnels comme personnels. Toute ma reconnaissance va aussi à R. Baudry, qui a accepté de suivre avec une remarquable constance la progression de mes travaux, en partie rédigés à la bibliothèque Gernet-Glotz et dans le cadre du laboratoire ANHIMA (UMR 8210). C’est à Lyon que j’ai eu la chance de rencontrer pour la première fois Fr. Hurlet, qui s’est depuis montré d’une extrême bienveillance et que je remercie de son aide et de son humanité, précieuses à plus d’un titre. J’adresse également mes plus sincères remerciements à Ch. Guérin pour toutes nos discussions ainsi que pour ses suggestions et son aide essentielle dans la mise au point de ce manuscrit. Je ne saurai enfin oublier de remercier A. Corbeill, « main expert » du political humor des Romains, qui a accueilli avec enthousiasme une enquête qui lui doit beaucoup.

2Au-delà du jury de la recherche doctorale dont est tiré le présent ouvrage, ma profonde gratitude va à R. Morstein-Marx, stimulant maître américain qui m’accompagne depuis plusieurs années déjà et m’a fait l’amitié de rédiger la préface de ce livre. L’aide sans faille de C. Courrier m’a également permis d’affiner sans cesse mes hypothèses : que « l’homme du peuple » soit vivement remercié. À Paris, je retiendrai les conseils dispensés par St. Wyler ainsi que l’aide cruciale de V. Azoulay, qui a pris bien des formes. J’adresse également mes remerciements à J.-L. Ferrary, dont le soutien a toujours été source de motivation, et à A. Suspène, qui n’a jamais manqué de m’encourager lors de nos rencontres parisiennes ou dijonnaises. Enfin, je remercie l’École française de Rome en la personne de sa directrice C. Virlouvet, et la Bibliothèque des Écoles françaises d’Athènes et de Rome (BEFAR) qui accueille ce volume.

3Ces quelques lignes doivent être conclues par la mention des personnes qui me sont les plus chères. À Mélanie, ranita de la suerte dont la patience a été à l’origine d’un moral intact après plusieurs années d’efforts, j’adresse mes plus tendres remerciements que la bienséance m’oblige à limiter. Enfin, car ils sont ceux qui m’ont fait confiance depuis toujours et qui continueront de croire en moi, d’une manière ou d’une autre, je remercie affectueusement mes parents, Françoise et Jean-Louis Montlahuc.

© Publications de l’École française de Rome, 2019

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