Appius Claudius Caecus
|Appendice. La nobilitas patricio-plébéienne du ive siècle à partir des magistratures et des fonctions religieuses exercées entre 366 et 3001
Texte intégral
1. La nobilitas patricienne
- 1 Tableaux établis (dans l’ordre alphabétique des gentes) à partir de T. R. S. Broughton, The Magist (...)
2. La nobilitas plébéienne : Aelius Paetus (P.)

- 7 Fils d’un Decius et fils adoptif d’un Plautius : F. Münzer, Römische Adelsparteien, p. 39.
Note 77

- 8 Ce Plautius pourrait être C. Plautius P. f. P. n. Proculus (n° 27), consul en 358, ou peut-être un (...)
- 9 N’est distingué du consul de 330 (qui porte exactement le même nom que lui) que parce que les Fast (...)
- 10 Diodore (XX, 36, 1) lui donne le prénom Lucius, si bien que certains l’ont identifié avec le consu (...)
Notes
1 Tableaux établis (dans l’ordre alphabétique des gentes) à partir de T. R. S. Broughton, The Magistrates of the Roman Republic, I, p. 114-173. Les cognomina sont ceux mentionnés par les Fastes Capitolins et reproduits par Broughton. Les numéros entre parenthèses correspondent aux numéros d’ordre dans les articles biographiques de la Realencyclopädie. Les années dictatoriales (333, 324, 309 et 301) sont indiquées avec l’année précédente (puisque Tite-Live ne les mentionne pas et rapporte ces dictatures à l’année précédente) et sont marquées par un point d’interrogation entre parenthèses ( ?).
2 Il s’agit du seul pontifex maximus en 120 ans avant 212 av. J.-C. qui n’a exercé aucune magistrature curule (Liv., XXV, 5, 4).
3 D’après F. Münzer, la préture d’un L. Papirius Crassus en 332 (Liv., VIII, 17, 12 = Papirius n° 16) est attribuable soit au censeur de 318 (Papirius n° 46), soit à Papirius Cursor (n° 52) : cf. F. Münzer, s.v. Papirius (16, 46 et 52), dans R.E., XVIII, 3, 1949, col. 1010, col. 1036 et col. 1041.
4 L. Papirius Cursor a été deux fois maître de cavalerie en 320 ; sur le problème de ses consulats de 326 et 319, voir note suivante.
5 Cité par Tite-Live pour l’année 326 (VIII, 23, 17), année pour laquelle il trouvait, in aliis annalibus, le nom de Papirius Cursor (n° 52) ; mais pour le consulat de 319, Tite-Live avoue sa perplexité en ne sachant si le consul de l’année était Papirius Cursor ou Papirius Mugillanus (IX, 15, 11 : sequitur... alius error, Cursorne Papirius proximis comitiis... continuato magistratu consul tertium creatus sit, an L. Papirius Mugillanus, et in cognomine erratum sit), alors que le Chronographe de 354 donne le nom de Murillanus III pour cette année-là et que le fragment des Fastes Capitolins retrouvé en 1904 donne celui de Curs]or. Toutefoir, T. R. S. Broughton, The Magistrates of the Roman Republic, I, p. 154, n. 1, en s’appuyant sur le témoignage des Fastes Capitolins, rejette l’historicité d’un Papirius Mugillanus en 319, puisqu’aucun autre Mugillanus n’apparaît sur les listes consulaires après 380 ; il s’agirait donc bien, en 326 comme en 319, de L. Papirius Cursor...
6 Il n’aurait eu que 23 ans lors de son premier consulat et aurait obtenu 21 fois une magistrature curule (Plin., N.H., VII, 157).
7 Fils d’un Decius et fils adoptif d’un Plautius : F. Münzer, Römische Adelsparteien, p. 39.
8 Ce Plautius pourrait être C. Plautius P. f. P. n. Proculus (n° 27), consul en 358, ou peut-être un fils de celui-ci, P. (ou C.) Plautius C. f. P. n. Proculus, pas autrement connu ; mais d’après T. R. S. Broughton, The Magistrates of the Roman Republic, I, p. 145, les sources qui reposent sur le témoignage des Fastes Capito-lins (Chron. 354) plaident plutôt en faveur de C. Plautius Decianus (n° 18) ou de C. Plautius Venno ou Venox (n° 33), un éventuel frère du consul de 330.
9 N’est distingué du consul de 330 (qui porte exactement le même nom que lui) que parce que les Fastes ne mentionnent pas pour lui l’itération du consulat : F. Münzer, Römische Adelsparteien, p. 40-41.
10 Diodore (XX, 36, 1) lui donne le prénom Lucius, si bien que certains l’ont identifié avec le consul de 318 : W. Schur, dans Hermes, 59, 1924, p. 463-464 ; F. Münzer, Römische Adelsparteien, p. 41-42 ; Id., s.v. Plautius (32), dans R.E., XXI, 1, 1951, col. 22-23 ; contra : F. Càssola, I gruppi politici, p. 138 et n. 39, qui s’appuie sur le témoignage des Fastes (le consul de 318 est L. f., L. n., alors que le censeur de 312 est C. f., C. n.) ; il refuse également d’identifier le censeur de 312 avec le consul de 341.
Table des illustrations
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Légende | Note 44Note 55 |
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Légende | Note 77 |
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Légende | Note 88Note 99Note 1010 |
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Titre | ARBRE GÉNÉALOGIQUE DES CLAUDII PATRICIENS. (d’après F. Münzer, dans R.E., III, 2, 1899, col. 2665-2666) |
Légende | Les numéros entre parenthèses correspondent aux numéros d’ordre dans les articles biographiques de la Realencyclopädie. |
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© Publications de l’École française de Rome, 2005