Remerciements

1Cet ouvrage est une version légèrement revue et corrigée de ma thèse de doctorat préparée dans le cadre d’une cotutelle entre l’université d’Aix-Marseille et l’université de Rome La Sapienza et soutenue à Aix-en-Provence en décembre 2014. Je souhaite exprimer ma reconnaissance à toutes les personnes qui m’ont accompagnée au cours de cette aventure tellement particulière.

2Je souhaite remercier pour commencer mes deux directrices de thèse qui m’ont témoigné leur confiance et fourni l’encouragement nécessaire pour avancer. Renata Ago, par sa rigueur intellectuelle et ses remarques judicieuses, a su me guider dans la riche historiographie italienne et dans les archives romaines. Brigitte Marin, qui m’a suivie dès mes premières années de recherches à l’université d’Aix-Marseille, a su stimuler mes réflexions par des observations pertinentes et m’orienter avec ses conseils avisés. Sa disponibilité, sa patience et ses rares qualités humaines ont permis de dépasser les moments de doute et suscité l’enthousiasme lorsqu’il venait à manquer.

3Je veux ensuite exprimer ma reconnaissance à Gilles Bertrand, Marina D’Amelia, Nicolas Moralès et Franco Piperno qui m’ont fait l’honneur de participer à mon jury de thèse, et dont les observations critiques ont conduit à améliorer le contenu de ce travail universitaire.

4Je tiens également à exprimer ma gratitude à Anne-Madeleine Goulet qui, depuis notre première rencontre en 2008, a été une interlocutrice précieuse et une amie fidèle. Elle m’a associée au programme de recherche ANR-DFG Musici (2009-2012) puis à celui de l’ERC Performart (2016-2021). Son exigence et ses remarques constructives ont donné à ce travail de recherche des orientations décisives.

5Ce travail n’aurait jamais pu être réalisé sans le soutien d’institutions qui m’ont permis de bénéficier d’excellentes conditions de travail au cours de mon doctorat, notamment lors de mes nombreux séjours de recherche en Italie. Je tiens ainsi à remercier l’université d’Aix-Marseille et le laboratoire Telemme de la MMSH d’Aix-en-Provence, en particulier à Éric Carroll qui a rendu possible le traitement informatique de certaines données contenues dans les archives. Cette recherche doit aussi beaucoup à l’École française de Rome, à Michel Gras puis à Catherine Virlouvet, ses anciens directeurs, ainsi qu’à Jean-François Chauvard, alors directeur des études pour les époques moderne et contemporaine.

6Le repérage et la collecte des sources conservées dans plusieurs dépôts d’archives ont été facilités grâce à la compétence des archivistes et des bibliothécaires de Rome, et je tiens pour cela à remercier en particulier Michele Di Sivo, Cristina Falcucci, Caterina Fiorani, Elisabetta Mori, Raffaele Pittella et Domenico Rocciolo.

7La révision et l’édition de cet ouvrage ont bénéficié de l’aide et de la générosité, tant intellectuelle qu’humaine, de plusieurs collègues et amis. Je sais tout ce que je dois à Anne-Madeleine Goulet et à Brigitte Marin qui ont pris le temps de relire et réviser le texte avec minutie. Je suis également reconnaissante à Marie Bossaert, Eleonora Canepari, Mathieu Grenet, Benoît Maréchaux, Caroline Mounier-Vehier, Aldo Roma et Mélanie Traversier qui ont relu plusieurs pages du présent ouvrage. Je remercie enfin Camille Scotto pour la révision des traductions de l’italien au français, ainsi qu’Agnès Dubu et Monique Rey qui ont accepté de relire ce travail et en ont ôté de nombreuses imperfections. J’assume l’entière responsabilité de celles qui demeurent encore.

8Cet ouvrage a été finalisé durant ma première année en tant que membre de l’École française de Rome. Je remercie mes collègues membres et amis de l’EFR qui ont été des compagnons de discussion formidables, ainsi que le directeur des études pour les époques moderne et contemporaine, Fabrice Jesné, pour son précieux soutien. Ce livre doit également à la patience et l’application attentive d’Anne Mars et du service des publications de l’EFR, en particulier à Franco Bruni et Richard Figuier. Je remercie aussi les réviseurs anonymes qui, par leurs remarques constructives, ont contribué à améliorer le livre.

9En outre, je suis redevable de l’intérêt, des suggestions et de la confiance de collègues et amis avec qui j’ai pu échanger au cours de rencontres informelles ou de manifestations scientifiques depuis le doctorat : Étienne Anheim, Bianca Maria Antolini, Angiolina Arru, Patrizio Barbieri, Liliana Barroero, Jean Boutier, Aldo Borlenghi, Eleonora Canepari, Jean-François Chauvard, Clément Chillet, Jean Duron, Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin, Saverio Franchi, Elena Fumagalli, Michaël Gasperoni, Caroline Giron-Panel, Angela Groppi, Pauline Lemaigre-Gaffier, Stefano Lorenzetti, Monica Martinat, Gilles Montègre, Arnaldo Morelli, Renato Meucci, Norig Neveu, Sylvain Parent, Maria Pia Donato, Pauline Picco, Alessandro Quarta, Rachel Renault, Solène Rivoal, Antonella Romano et Giancarlo Rostirolla. Je pense aussi aux chercheurs des programmes Musici et Performart que je remercie, au premier rang desquels Michela Berti, Marco Cavietti, José María Domínguez, Aldo Roma et Mélanie Traversier, avec lesquels j'ai fréquemment échangé.

10Enfin, je tiens à exprimer ma reconnaissance à mes parents, ma famille et mes amis proches pour la patience et la compréhension qu’ils n’ont cessé de manifester durant ce travail souvent solitaire. Sans elles et eux, je n’aurais pas pu achever ce travail.

11À vous toutes et tous, un grand merci.