Remerciements
p. VII-VIII
Texte intégral
1Cette étude n’aurait pu voir le jour sans le concours précieux d’amis, de collègues et de maîtres, avec qui j’ai partagé cette odyssée, et que je suis heureux de rappeler au moment de livrer ce travail. Leurs encouragements ainsi que leur regard sur la manière d’aborder le sujet, la méthode de travail ou l’approche de plusieurs points précis du sujet suscitant le débat m’ont permis d’appréhender cette thématique riche, parfois avec un nouvel éclairage, et finalement de vivre un grand moment de passion.
2Mes plus vifs remerciements s’adressent en premier lieu à William Van Andringa, dont l’écoute et les conseils ont d’abord favorisé l’émergence de ce projet d’étude. Sa confiance à chaque étape du développement, sa patience et sa disponibilité ont favorisé l’élaboration de mon travail, tandis que ses suggestions et ses critiques m’ont permis d’explorer de nouveaux horizons, d’approfondir et d’enrichir avec exigence les thématiques que j’abordais.
3Je tiens également à témoigner toute ma gratitude à Sabine Lefebvre, Marie-Thérèse Raepsaet-Charlier, John Scheid, Nicolas Tran, Françoise Van Haeperen, qui ont accepté de faire partie de mon jury d’HDR et ont contribué à améliorer ce manuscrit. Je n’oublie pas en effet les rencontres et les échanges fondamentaux pour l’avancée de cette enquête que j’ai pu avoir avec les uns et les autres et je voudrais dire à quel point je leur sais gré de leurs conseils avisés et de leurs encouragements.
4Que Marie-Thérèse Raepsaet-Charlier, qui a accompagné mon parcours de recherche, depuis qu’un jour il fut placé sous le signe de l’épigraphie, des esclaves et des Germanies, et qui a toujours répondu avec bienveillance à mes questions, trouve ici l’expression de ma plus profonde gratitude, de même que Nicolas Tran, dont les travaux ont joué un rôle essentiel dans l’orientation de mes recherches. Je suis aussi profondément reconnaissant envers Sylvie Pittia pour sa présence sans faille et ses conseils durant l’ensemble d’un parcours, où il est inestimable de pouvoir trouver des soutiens constructifs, qui combinent de façon subtile la confiance, les critiques et les encouragements.
5Que soit également remerciée l’École française de Rome, qui a bien voulu accepter la publication de cet ouvrage, en la personne de Nicolas Laubry, Directeur des études pour l’Antiquité et responsable du service archéologique de l’École française de Rome, de Richard Figuier, responsable des publications, et de Franco Bruni qui m’ont accompagné avec bienveillance dans toutes les étapes de la publication. Tous mes remerciements vont également à Silvia Orlandi de l’université Sapienza de Rome, qui a favorisé, par ses avis et ses conseils, la présence des illustrations dans ce volume.
6À tous ceux, nombreux, qui m’ont fait confiance et m’ont accompagné durant ma formation et mes recherches, je voudrais dire toute ma reconnaissance et toute mon amitié. Je remercie les collègues de l’Université de Franche-Comté, qui ont suivi avec amitié l’évolution de mon travail et, en particulier, Antonio Gonzales, Directeur de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité (ISTA-EA 4011) de l’Université de Besançon, qui m’a fait bénéficier de son expertise sur les questions de la dépendance.
7Des rencontres déterminantes et des amitiés solides se sont manifestées durant mes recherches. J’ai à cet égard une pensée toute particulière pour Heinz Heinen, dont l’accueil chaleureux et érudit reste gravé dans ma mémoire. Les différents séjours que j’ai réalisés en Allemagne pendant toutes mes recherches ont été l’occasion de très belles rencontres et je ne peux manquer d’évoquer avec bonheur le souvenir du dialogue si riche qui s’est établi d’abord à l’Université d’Heidelberg avec Christian Witschel, puis à Mayence et à Trèves avec Elisabeth Herrmann-Otto, Andrea Binsfeld de l’Université de Luxembourg, Winfried Schmitz, de l’Université de Bonn, mais aussi Johannes Deissler, dont il m’a été donné de faire la connaissance précieuse à Mayence.
8À toutes celles et ceux que je n’ai pu citer, diis deabusque omnibus, je veux enfin adresser ma plus sincère gratitude pour leur présence et le rôle qu’ils ont joué, à leur manière, dans mon parcours.
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