Une réforme orientale à l’âge baroque
|Avant-propos
Texte intégral
1Ce livre représente la version révisée d’une thèse de doctorat, soutenue en 2014 à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et préparée en cotutelle avec l’Université catholique de Lublin Jean-Paul II. En parvenant à cette nouvelle étape d’un projet commencé il y plus de dix ans, je tiens à témoigner toute ma reconnaissance à Nicole Lemaitre qui, par sa disponibilité et ses nombreux conseils, a été un soutien infaillible depuis les premiers instants de cette recherche. Mes remerciements vont également à Hubert Łaszkiewicz qui a bien voulu codiriger ma thèse et me guider dans mes nombreux périples. Ses remarques ont été un repère constant dans mes réflexions.
2Je souhaite aussi souligner combien l’École française de Rome a joué un rôle essentiel dans ce travail. En m’accueillant comme membre entre 2013 et 2016, elle m’a non seulement permis d’achever la première rédaction de cette monographie dans les meilleures conditions, mais elle m’a également offert un encadrement efficace pour tous les projets ultérieurs nés de ces enquêtes. Toutefois, derrière l’institution, je tiens à remercier aussi son ancienne directrice, Catherine Virlouvet, son directeur des études pour les époques moderne et contemporaine, Fabrice Jesné, et son responsable du service des publications, Richard Figuier, qui m’ont accordé leur confiance patiente. Ma reconnaissance s’adresse également à l’Institut d’histoire moderne et contemporaine (UMR 8066), que j'ai rejoint récemment et dont l’aide financière a été précieuse pour doter l’ouvrage de pièces annexes de qualité et mettre à disposition du lecteur plusieurs reproductions de documents originaux.
3Parmi les nombreuses personnes qui par leurs suggestions, critiques et interrogations expertes ont participé à la construction de ce texte ou ont nourri ma réflexion, je tiens tout particulièrement à exprimer ma gratitude à Bernard Heyberger, Aurélien Girard, Vera Tchentsova, Radu Păun, Leonid V. Tymošenko, Mikhail V. Dmitriev, Irena Wodzianowska, André Bérélowitch, Wladimir Bérélowitch, Ihor Skočyljas, Jean-Marie Le Gall, Christine Lebeau, Wolfgang Kaiser, Bogumił Szady, Jūratė Kiaupienė, Marie-Élizabeth Ducreux, Frédéric Gabriel et Marie-Hélène Blanchet.
4Il serait juste de rappeler aussi l’importance de l’assistance dont j’ai pu bénéficier de la part des personnels des bibliothèques, des archives et des institutions, qui ont constitué le cadre quotidien de mes recherches.
5De même, ces quelques lignes ne sauraient suffire pour formuler avec justesse tout ce que ce travail doit à l’aide de ceux qui ont pu suivre les différentes étapes de son avancement. Je pense spécialement à Irina Gridan, David Portehault, Clément Pieyre, Clément Bur, Philippe Ruelen, Clémence Revest, Valentina Karpova, Tomas Čelkis, Daniel Kiper, Jérémie Tamiatto, Marie Dejoux et Clothilde Zapolsky.
6Il serait difficile enfin d’exagérer la place qu’occupe dans l’aboutissement de ce projet l’œil attentif et toujours disponible d’Agata.
7Toutes ces personnes sont, aux côtés de l’auteur, les artisans véritables de ce volume.
© Publications de l’École française de Rome, 2021