La face cachée de l'empire
|Remerciements
Texte intégral
1Cet ouvrage est issu, dans une version largement remaniée, d’une thèse soutenue en septembre 2009 à l’Université de Paris 1 – Panthéon Sorbonne, en cotutelle avec l’Università degli Studi di Roma 3. Que mes deux directeurs, Gilles Pécout et Francesco Guida, soient remerciés pour la confiance qu’ils m’ont toujours témoignée. Je remercie de même les membres du jury pour leurs conseils avisés durant et après la soutenance : Catherine Brice, Robert Frank, Konstantinos Kostis et Giuseppe Monsagrati. L’achèvement de la thèse, et par conséquent de ce livre, doit beaucoup aux institutions qui m’ont alors soutenu : l’Université de Paris 1, celle de Picardie, l’Université franco-italienne, l’Institut Remarque de la New York University et les Écoles françaises d’Athènes et de Rome, où trois directeurs successifs ont bien voulu m’accorder leur confiance : Michel Gras, Catherine Virlouvet et Brigitte Marin. Quant à la recherche elle-même, elle n’aurait pu être possible sans l’aide du personnel des bibliothèques et des archives de Bologne, Florence, Naples, Padoue, Pise, Venise, Athènes, Paris, New York et bien sûr Rome. Que ces femmes et ces hommes en soient remerciés, et tout particulièrement Stefania Ruggeri à l’Archivio storico-diplomatico del Ministero degli Affari Esteri. Je voudrais aussi exprimer ma gratitude à toutes les personnes qui m’ont éclairé de leurs conseils, notamment Tassos Anastassiadis, Arnaud Bartolomei, Alberto Basciani, Ruth Benghiat, Marie Bossaert, Francesco Caccamo, Catherine Brice, Vincent Capdepuy, Jean-François Chauvard, Nathalie Clayer, Mgr Giuseppe Maria Croce, Antonio D’Alessandri, Rudolf Dinu, Renaud Dorlhiac, François Dumasy, Kenan Eren, Fabio Giomi, Mathieu Grenet, Pavel Helan, Catherine Horel, Sinan Kuneralp, Antonis Liakos, Bernard Lory, Pierre-Yves Manchon, Claudio Maria Mancini, Hervé Mazurel, Luigi Mascilli Migliorini, Nicolas Monteix, Luciano Monzali, Raphaël Muller, Anne-Sophie Nardelli, Johann Petitjean, Laura Pettinaroli, Matteo Sanfilippo, Anthony Santilli, Simon Sarlin, Xavier Tabet, Jörg Ulbert, Simon Unger-Alvi, Ignazio Veca et Christian Windler. Merci aussi à mes collègues du CRHIA de Nantes, notamment Eric Schnakenbourg, Stanislas Jeannesson et Jean-Marie Bouron trop tôt disparu, et de l’École française de Rome : Catherine Garbin et Claire Challéat, Nicolas Laubry, Clément Pieyre et Pierre Savy, ainsi qu’aux membres et aux chercheurs farnésiens dont la fréquentation n’a pu qu’enrichir ma réflexion. À l’École française de Rome, je remercie aussi le service des publications : Franco Bruni, Sophie Duthion et Richard Figuier, auquel incombe la lourde tâche de transformer mon texte en livre. Enfin, rien n’aurait été possible sans l’amour et la patience de ma famille et de mes proches. Que mes sœurs Gaëlle et Vanessa soient spécialement remerciées pour leur aide précieuse dans la réalisation des cartes, ainsi que ma mère, Martine, pour ses relectures. Ce livre est dédié à Sonja et Joséphine.
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