Table des matières

Prolégomènes

• Revues mentionnées le plus couramment

• Un débat actuel, une considération inactuelle
• Église et sécularisation : temps long ou conjoncture
• Sécularisation – Confessionnalisation – Rénovation conservatrice
• Sources et agents

Première partie – La dynamique de l’inertie (1833-1922)

• Pour un millet à la grecque ? Un système de modernité différenciée
• Missionnaires et définition du prosélytisme
• Modalités de cooptation des hiérarchies religieuses

• Le contrôle de la population grâce à l’Église : réalité ou chimère ?
• Le prêtre : le maillon faible du processus de monopolisation de l’autorité

• Une connaissance insuffisante du clergé et de son milieu
• Comment rémunérer le personnel ?
• Former le personnel
• Contrôler le personnel

• Gérer la propriété monastique
• Le moine : électron libre du système ?
• Activité philanthropique : l’absence d’ordre caritatif

• Les premières voix de réforme dans le désert
• L’impossible réforme pilotée d’en haut
• « Dieu vomit les tièdes » : les ambivalences de l’action réformatrice
• Le changement « d’horizon d’attente »
• Conclusion : Le syncrétisme de l’État et l’ataraxie de l’Église

Seconde partie – De la légitimité d’origine à la légitimité d’exercice : la victoire des réformateurs (1912-1940)

• L’intégration territoriale d’une Église en quête d’autonomie
• Vers une bureaucratie ecclésiastique
• L’apparition d’un cursus ecclésiastique

• Les prédicateurs
• La prise de pouvoir des associations para-ecclésiastiques grâce à leur action sociale
• Les cadres venus des patriarcats orientaux
• Syndicalisme, corporatisme ecclésiastique et action militante
• Les « nouveaux territoires »

• La presse : l’apparition de la revue de l’Église de Grèce
• L’action de bienfaisance… enfin !
• Contrôler l’homme par la femme

• Rhétorique de la crise et de l’inégalité sociale : un trompe-l’œil ?
• Une Église autonome dans un état dépendant
• La victoire des réformateurs aboutit à la rénovation conservatrice
• « État-Église-Nation » : la rupture définitive au sein de la génération d’or
• Conclusion : Victoire de la réforme et rénovation conservatrice

Sources et bibliographie