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    Plan

    Plan détaillé Texte intégral 1. Présentation du site2. Analyse de la topographie générale et des structures3. Archéologie du chantier4. Conclusion Notes de bas de page Auteur

    La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine

    Ce livre est recensé par

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    Les tours Séchelles Saint-Baslemont

    Charles Kraemer

    p. 487-496

    Texte intégral 1. Présentation du site1.1. Contexte géographique et géomorphologique1.2. Contexte archéologique2. Analyse de la topographie générale et des structures2.1. L’environnement topographique2.2. Le château au sud de l’éperon2.2.1. Une motte castrale2.2.2. Une petite tour maîtresse2.2.3. L’enceinte de la basse-cour2.3. La tour nord3. Archéologie du chantier3.1. Le fossé-carrière3.2. Un four à chaux ?4. Conclusion Notes de bas de page Auteur

    Texte intégral

    Figure 1 : Carte géologique du secteur de Saint-Baslemont.

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    1. Présentation du site

    1.1. Contexte géographique et géomorphologique

    1Le site des Tours Séchelles (Lambert 2 : 874,250 x 2354,100) sur le territoire de Saint-Baslemont, se situe au cœur de la forêt, à l’intersection de deux vallées étroites qui entaillent le demi-horst de Relanges, en bordure ouest du fossé de Darney. Ce secteur, qui confine aux communes de Thuillières, Senonges, Relanges et Lignéville est caractérisé par son sous-sol qui constitue une sorte de synthèse de la succession des couches géologiques triasiques recouvrant le socle cristallin dans le sud-ouest des Vosges : à savoir celles, d’abord, du Buntsandstein (du Grès vosgien au Grès à Voltzia) puis celles du Muschelkalk, au nord-ouest (fig. 1). Les premières créent des sols acides, incultes sur lesquels se développe une importante forêt de feuillus ; les secondes supportent des sols propices à l’agriculture céréalière et à l’élevage et concentrent les habitats, notamment le village de Saint-Baslemont.

    1.2. Contexte archéologique

    2Les traces d’occupation les plus anciennes observées dans ce secteur remontent au Paléolithique inférieur et moyen ; elles se situent sur les hauteurs, formées par les calcaires triasiques, et le long du ruisseau de Bonneval1 tandis que le Néolithique et la Protohistoire s’observent par de rares découvertes, à Lignéville, Thuillières et Saint-Baslemont, dont l’enceinte gauloise de Bonneval2 un temps réoccupé durant le xiie siècle par l’ermitage du même nom. La période gallo-romaine est marquée par une forte densité de voies dont deux importantes, celle de Langres à Strasbourg et celle de Besançon à Strasbourg, convergent entre Lignéville et Saint-Baslemont et sont jalonnées d’un chapelet de sites d’habitat de cette même époque3. Le haut Moyen Âge est présent au travers de quelques sépultures mises au jour, entre autres, au voisinage de l’église paroissiale de Saint-Baslemont4, laquelle fut, peut-être, si l’on s’en tient au dessin du parcellaire qui lui est associé, le centre d’un enclos ecclésial, autrement dit d’un aître ou d’un cercle de paix. La présence seigneuriale, quant à elle, est matérialisée par les vestiges (un corps de logis cantonné de deux tours circulaires) d’une vaste maison forte bâtie, dans la première moitié du xive siècle, à proximité de l’église5. Or, si les sources historiques restent muettes sur le lieu de résidence des premiers seigneurs de Saint-Baslemont, attesté dans les toutes premières années du xiie siècle6, il est tentant de le situer aux Tours Séchelles, dont le nom rappelle celui des seigneurs de la fin de l’Époque moderne et dont l’emplacement, à 3,5 km au sud-est du village, fait partie intégrante de la seigneurie, à la fin du xve siècle7. Les fouilles réalisées au cours des années 1830, dont le résultat a été consigné dans les Annales de la Société d’Émulation du département des Vosges n’apportent rien de tangible à cette hypothèse. Le mobilier exhumé, pour l’essentiel des ossements qui passaient pour être humains, et des fragments de métal décrits comme des pièces d’armure ou des armes, fut alors déposé au même moment au Musée départemental des Vosges à Épinal.

    Figure 2 : Plan topographique du site (relevé et DAO Ch. Kraemer).

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    Figure 3 : Château bas, donjon, murs ouest et sud, parement interne, et parement externe, angle sud-ouest (relevé et DAO Ch. Kraemer).

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    2. Analyse de la topographie générale et des structures

    2.1. L’environnement topographique

    3Tourné vers le sud, le site domine d’une dizaine de mètres le confluent des ruisseaux de Bonneval et de Thuillières. Il dessine un triangle isocèle dont la base, au nord, mesure une cinquantaine de mètres et la hauteur, d’orientation nord-ouest / sud-est, 165 m. L’altitude décline régulièrement de 330 à 310m, mais le relief naturel est largement perturbé par les constructions, creusement de fossés, remblais et cône d’éboulis résultant de l’effondrement des murs. Deux ensembles de constructions le composent : l’un, au sud, occupe, à proprement parler, l’extrémité de l’éperon, tandis que l’autre est placé en situation de barrage au nord (fig. 2).

    2.2. Le château au sud de l’éperon

    2.2.1. Une motte castrale

    4Le premier ensemble est isolé du reste de l’éperon par un fossé d’une trentaine de mètres de long (est-ouest), large de 6 m à la base, 15 à 17 m au sommet et profond de 4 à 5 m. Il est immédiatement précédé d’un tertre artificiel (fig. 2, n° 1), sans doute aménagé par accumulation des matériaux provenant de son creusement. Placé en situation de barrage, ce tertre, de plan plutôt circulaire, de 30 à 40 m de diamètre à la base et de 15 m environ au sommet, pourrait bien correspondre aux vestiges d’une petite motte castrale. Il domine largement le fossé et un complexe fortifié comprenant une tour et une petite basse-cour (fig. 2, n° 2), qui s’étale, au sud, sur un peu plus de 40 m.

    2.2.2. Une petite tour maîtresse

    5La tour, dont la construction pourrait bien avoir entamé le flanc méridional du tertre, fut sans doute, longtemps dissimulée sous un cône d’éboulis ; son dégagement partiel, au cours des fouilles réalisées au xixe siècle et des travaux de terrassement entrepris pour la mise en valeur du site, dans les années 1960-1970, a permis la mise au jour de bribes de murs intérieurs et extérieurs. Leur relevé a permis d’en dresser un plan partiel qu’il est possible d’extrapoler en s’appuyant sur le modelé du relief environnant.

    6Il s’agit d’une construction rectangulaire de 10 à 11 m (nord-sud) sur 17 à 18 m (est-ouest) de long, dont 11m assurés par des portions de parements visibles, soit une emprise au sol comprise entre 170 et 200 m2. L’épaisseur des murs, de l’ordre de 2,70 m, détermine un espace habitable rectangulaire d’environ 5,50 m sur une dizaine de mètres de longueur, soit une surface d’environ 55 m2. Le mur ouest était percé d’une meurtrière ébrasée, mal conservée en élévation (1,40 m au mieux), mais parfaitement visible en plan. Aménagée dans l’axe médian de la tour, elle ouvrait sur l’extérieur par une fente de 10 cm de large et sur l’intérieur par une baie de 90 cm.

    7Cette tour est construite en appareil irrégulier constitué de moellons de grès gris-beige, rarement rouge, plutôt bien assisé et d’un module (h x l) moyen de 18 / 20 cm sur 36 / 40 cm (fig. 3). Bien souvent, l’irrégularité des moellons conduit à une mise en œuvre avec des joints épais, aujourd’hui le plus souvent vidés de leur mortier sableux et friable. Le blocage, lorsqu’il est visible, est composé de moellons parfois disposés en arête de poisson (fig. 4) et noyé dans un mortier de couleur (de l’ocre au blanc) et de dureté variables.

    Figure 4 : Blocage disposé en arête de poisson. Photo 1 : mur nord ; photo 2 : mur sud (clichés Ch. Kraemer).

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    2.2.3. L’enceinte de la basse-cour

    8Raccordé aux angles sud-ouest et nord-est selon des liaisons qui n’ont pu être observées, le mur clôturant la basse-cour délimite un espace polygonal de 31 m nord-sud, pour une largeur maximale, probable, de 25 / 26 m, du côté du donjon et de 7 m à peine au sud où l’enceinte dessine un espace rectangulaire de 7 x 3 m. Conservée sur une cinquantaine de mètres de longueur soit environ la moitié de son périmètre, cette enceinte, dont seul le parement externe a été dégagé - ce qui interdit d’en mesurer l’épaisseur -, n’est visible qu’à l’ouest et au sud. D’une façon générale, les parements, en appareil irrégulier sont composés de moellons en grès de petits et moyens modules, informes, mal assisés, parfois disposés en épis (fig. 5). Le mur semble avoir été construit par portions successives et juxtaposées. Le liant est plutôt de mauvaise qualité, sauf exception dans la partie occidentale où le mur est construit ou reconstruit légèrement en retrait par rapport à sa base en débord d’une dizaine de centimètres, sur une couche de mortier plutôt dur tirant sur le jaune-ocre.

    Figure 5 : Mur d’enceinte de la basse-cour (relevés, DAO et clichés Ch. Kraemer).

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    2.3. La tour nord

    9À une quarantaine de mètres au nord du fossé protégeant ce premier château, une seconde tour (fig.2, n° 3) est engloutie sous un amas de terre, de pierres de taille et de moellons. Des portions de murs visibles, au mieux conservées sur deux mètres de hauteur, ont permis d’en réaliser le plan. Il s’agit d’une construction de plan plutôt trapézoïdal donnant aux angles nord-est et sud-est une allure de bastion anguleux. Bâtie au milieu de l’éperon, elle mesure hors œuvre 25 m, est-ouest, sur 17 m, nord-sud, et dans l’œuvre 16,5 m, est-ouest pour une largeur nord-sud de 9,5 m. Ses murs très épais, plus de 4 m jusqu’à 4,60 m, sont composés de parements montés en moellons équarris d’un module moyen (L x h) de 40 / 65 x 30 / 45 cm (fig. 6 - 1) enserrant un blocage parfois disposé en épi (fig. 6 - 2) et pour le moins par lits superposés (fig. 6 - 3).

    10Un pan de mur oblique qui pourrait correspondre à l’ébrasement d’une ouverture aménagée dans le mur sud, proche de l’angle sud-ouest, ainsi que la portion visible du parement externe du mur est, présentent toutefois trois types d’appareils qui définissent des strates horizontales ou sub-horizontales et correspondent, peut-être, à des reprises de maçonnerie (fig. 7). Le parement externe du mur ouest, bâti avec des moellons de grès irréguliers, mais assisés (fig. 8) offre cependant, pour autant qu’on puisse en juger compte tenu de sa faible surface visible, une construction de moindre qualité. Le mortier utilisé pour leur mise en œuvre est d’ailleurs très friable.

    3. Archéologie du chantier

    3.1. Le fossé-carrière

    11Barrant l’éperon sur une cinquantaine de mètres de longueur, une carrière (fig. 2, n° 4 et fig. 6) à peine creusée, de l’ordre de 1 m à 1,50 m de profondeur, est éloigné de 15 à 20 m de la tour nord (fig. 9). Elle se compose de deux parties : à l’est, trois fosses de plan carré de 8 mètres environ de côté séparées par une banquette déterminée par le front de taille et définissant une aire de circulation d’un mètre de large environ ; à l’ouest deux fronts de taille perpendiculaires, dont un conserve deux traces d’emboîture, d’une vingtaine de centimètres de longueur sur 8 à 13 cm de profondeur, sont espacés d’une quarantaine de centimètres et ont contribué à désolidariser du banc gréseux un bloc d’un peu plus d’un mètre de long sur une hauteur de 30 à 40 cm (fig. 10). Cette exploitation dont le volume extrait peut-être estimé à 500 ou 600 m3 semble avoir eu pour second objectif le creusement d’un fossé pour barrer l’éperon en amont de la grosse tour.

    Figure 6 : Grosse tour : parement interne du mur nord (cliché Ch. Kraemer).

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    Figure 7 : Parement dans l’ouverture du mur sud de la grosse tour nord. On y distingue des différences très nettes d’appareil (une base faite de moellons de module moyen, puis des blocs équarris, plus gros avec, entre deux assises, un calage servant à récupérer l’horizontalité du lit de pose. Le même schéma s’observe pour le parement externe du mur ouest de la structure (relevé, DAO et cliché Ch. Kraemer).

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    3.2. Un four à chaux ?

    12À peu de distance, entre les trois fosses d’extraction et la grosse tour (fig. 2, n° 5), une forte concentration de charbons de bois mêlés à des nodules de calcaire concassé a été observée à la surface d’une légère dépression soulignée sur son flanc ouest par un ensemble de deux murs maçonnés de 40 à 50 cm d’épaisseur formant un angle droit. L’ensemble (fig.11) qui n’a été observé qu’en surface pourrait bien correspondre à l’arase de la chambre de chauffe d’un four à chaux dont un exemplaire a été fouillé à proximité du château alsacien du Hohlandsberg8.

    4. Conclusion

    13Le laconisme des sources historiques et l’absence d’indication topographique sur les cartes anciennes n’ont pas manqué de susciter la curiosité des chercheurs locaux pour cet ensemble monumental. Les relevés topographiques et architecturaux ont toutefois permis de préciser les données chiffrées, trop approximatives, dont on disposait, d’affiner la description des vestiges et de tenter des comparaisons avec d’autres sites, lorrains notamment.

    14Ainsi, le « château du bas », celui qui occupe l’extrémité de l’éperon, présente de nombreuses similitudes (situation, dimensions) avec le château d’Épinal a priori construit dans la première moitié du xiiie siècle9. Il s’en distingue, cependant, par la position de la tour construite à l’abri, et pour le moins au-devant, de ce qui peut passer pour une motte castrale. Ce château de type Burgfried, dont il faudrait plutôt chercher des comparaisons du côté alsacien10 est en effet muni d’un petit donjon et d’une enceinte qui épouse les bords de l’escarpement. L’ensemble ne laisse pas d’interroger sur ses maîtres d’ouvrage : les seigneurs de Darney, petits alleutiers qui, en 1050, fondent à quelques kilomètres au sud des Tours Séchelles, sur leur territoire, le prieuré clunisien de Relanges ou ceux de Saint-Baslemont, fondateurs, au xiie siècle, du prieuré voisin de Bonneval, qui construisent au début du xive siècle une maison forte dans le village de Saint-Baslemont à l’emplacement de l’église qu’ils déplacent de quelques mètres.

    15La deuxième tour, au nord, n’a pas laissé plus de traces et sa datation reste à faire. Son plan, ses dimensions et l’épaisseur de ses murs permettent de la comparer à la tour Brunehaut de Vaudémont, grand donjon quadrangulaire résidentiel du xie siècle, qui trouve son origine dans l’Ouest français11, mais qui peut être également de tradition germanique12. Cependant, on peut également lui trouver des analogies avec certaines forteresses lorraines du xve siècle. Ainsi, l’épaisseur des murs de cette tour n’est pas sans rappeler celle de la grosse tour carrée et du mur-bouclier du château de Meinsberg13 ou celle de la tour carrée de Port-sur-Seille14. Mais cette tour fut-elle achevée ? La réponse semble négative au regard du fossé, inachevé, et des quelque 600 m3 de roche que son exploitation en carrière a fournis, soit à peine plus que le volume estimé de moellons mis en œuvre dans ce qui reste de ce bâtiment.

    Figure 8 : Grosse tour, mur ouest, parement externe (relevé et DAO Ch. Kraemer).

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    Figure 10 : Emboîtures retrouvées dans le fossé-carrière (relevé, DAO et cliché Ch. Kraemer).

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    Figure 11 : Arase d’une structure maçonnée associée à un contexte de charbon de bois et de nodules de mortier (clichés Ch. Kraemer).

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    Figure 9 : Topographie du fossé-carrière (relevé et DAO Ch. Kraemer).

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    Notes de bas de page

    1  Pressager 1995, p. 20-21.

    2  Michler 2004, p. 294.

    3  Toussaint 1948, p. 31.

    4  Papazzoni 1995, p. 28-33.

    5  Papazzoni 1995, p. 89 et suiv.

    6  Papazzoni 1995, p. 40.

    7  Papazzoni 1995, p. 86.

    8  Simon 2011, p. 151-165.

    9  Bur 2002, p. 130.

    10  Koch 2012.

    11  Bur 1999, p. 50.

    12  Giuliato 2008, p. 179.

    13  Fajal et Kraemer 1986, p. 369-370.

    14  Giuliato 2000, p. 250-251.

    Auteur

    • Charles Kraemer

      Université de Lorraine

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    1  Pressager 1995, p. 20-21.

    2  Michler 2004, p. 294.

    3  Toussaint 1948, p. 31.

    4  Papazzoni 1995, p. 28-33.

    5  Papazzoni 1995, p. 89 et suiv.

    6  Papazzoni 1995, p. 40.

    7  Papazzoni 1995, p. 86.

    8  Simon 2011, p. 151-165.

    9  Bur 2002, p. 130.

    10  Koch 2012.

    11  Bur 1999, p. 50.

    12  Giuliato 2008, p. 179.

    13  Fajal et Kraemer 1986, p. 369-370.

    14  Giuliato 2000, p. 250-251.

    La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine

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    Kraemer, C. (2018). Les tours Séchelles Saint-Baslemont. In K. Boulanger & C. Moulis (éds.), La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine (1‑). Éditions de l’Université de Lorraine. https://doi.org/10.4000/13ob9
    Kraemer, Charles. « Les tours Séchelles Saint-Baslemont ». In La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine, édité par Karine Boulanger et Cédric Moulis. Nancy: Éditions de l’Université de Lorraine, 2018. https://doi.org/10.4000/13ob9.
    Kraemer, Charles. « Les tours Séchelles Saint-Baslemont ». La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine, édité par Karine Boulanger et Cédric Moulis, Éditions de l’Université de Lorraine, 2018, https://doi.org/10.4000/13ob9.

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    Boulanger, K., & Moulis, C. (éds.). (2018). La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine (1‑). Éditions de l’Université de Lorraine. https://doi.org/10.4000/13o5l
    Boulanger, Karine, et Cédric Moulis, éd. La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine. Nancy: Éditions de l’Université de Lorraine, 2018. https://doi.org/10.4000/13o5l.
    Boulanger, Karine, et Cédric Moulis, éditeurs. La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine. Éditions de l’Université de Lorraine, 2018, https://doi.org/10.4000/13o5l.
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