Remerciements
p. 8
Texte intégral
1Je souhaite remercier ici quelques personnes et institutions pour l’appui qu’ils m’ont apporté.
2En premier lieu, je tiens à exprimer ma reconnaissance à Yvette Taborin, professeur à l’université de Paris I qui a bien voulu diriger cette étude, ainsi qu’à MM Maurice Bernard et Jean-Pierre Mohen, directeurs successifs du Laboratoire de recherche des musées de France (LRMF), qui m’ont accueillie au sein de leur établissement. Sans cet accès privilégié à de puissants moyens d’analyse, ma recherche n’aurait pu aboutir.
3Au laboratoire, je n’oublierai pas Michel Menu et Philippe Walter qui ont eu l’initiative du sujet, et qui ont mis à ma disposition, au LRMF, toutes les facilités de travail ; Daniel Vigears, photographe émérite et patient, qui s’est chargé du tirage des micrographies et aussi l’ensemble du laboratoire pour son soutien constant.
4Je tiens également à remercier tous ceux qui m’ont témoigné leur confiance en autorisant l’étude des collections dont ils ont la charge.
5– Le musée de l’Homme et le professeur Henry de Lumley, directeur du Laboratoire de Préhistoire, qui m’a autorisé l’accès aux objets de Laugerie-Basse et d’Enlène ; grâce à cette autorisation, les œuvres ont pu être déposées au LRMF pour le temps de l’étude et je tiens encore à témoigner ma reconnaissance pour ces conditions de travail très favorables à la recherche. J’exprime ma sympathie à Christiane Leroy–Prost qui a facilité mes recherches au musée de l’Homme et dont je n’oublierai pas la gentillesse et la disponibilité.
6– Le musée d’Aquitaine et particulièrement Alain Roussot, pour les superbes collections de l’abri Morin, de Fontarnaud et d’Arancou. En plus du conservateur en chef, je tiens également à remercier le chercheur, pour son amitié, sa continuelle coopération et notamment pour m’avoir fourni ses relevés inédits et ses excellents clichés des pièces d’Arancou.
7– Le musée du Mas-d’Azil et son conservateur André Alteirac qui m’a reçue avec générosité et amitié au musée et m’a ouvert les portes de ses magnifiques collections magdaléniennes.
8– Le musée de l’Ariège à Foix et sa conservatrice Anne-Marie Albertin pour son accueil chaleureux.
9– Le musée national de Préhistoire des Eyzies où sont aujourd’hui déposés les objets d’Arancou et son conservateur en chef Jean-Jacques Cleyet-Merle.
10– Le musée des Antiquités nationales pour l’étude des quelques objets provenant du site de La Vache.
11Je remercie tout particulièrement Robert Simonnet qui a envisagé et autorisé l’étude de l’extraordinaire ensemble des contours découpés de Labastide. Je voudrais qu’il sache combien j’ai apprécié sa confiance et notre collaboration. J’espère qu’elle se poursuivra. Il en est de même de Claude Chauchat, qui a donné son accord pour l’examen des objets (pour la plupart inédits) d’Arancou.
12Cette étude n’aurait pu être réalisée sans un travail efficace de tailleur et d’expérimentateur. Merci à Pierre Bodu pour la mallette du parfait petit graveur, et à Gilles Tosello pour son geste d’expert.
13Et je n’oublierai pas :
14– Michel Barbaza et Jacques Jaubert pour leur engagement à voir cette recherche publiée rapidement ;
15– Nicole Pigeot, professeur à l’université de Paris I, pour sa relecture avisée et sa disponibilité ;
16– Robert et Jeanne Bégoüen et leur famille, pour l’accueil à Pujol, mais également pour leurs encouragements permanents ;
17– Jean Clottes, pour son soutien moral constant ;
18– Georges Sauvet, qui m’a fait confiance au tout début de cette recherche en autorisant les empreintes sur les deux os d’oiseau du site de La Vache. Mais surtout, je le remercie pour les discussions, avec Gilles Tosello, sur les analyses factorielles... et sur le Magdalénien ;
19et Christian Archambeau, Marianne Christensen, Stéphanie Consigny, Jean Leclerc, Patrice Rodriguez et tous les autres pour leur soutien moral et matériel.
20Je voudrais avoir une pensée particulière pour Dominique Buisson qui n’est plus là pour voir l’aboutissement de ce travail. Chercheur lui-même, il savait trouver le temps pour nous accueillir au musée des Antiquités nationales. Les discussions et les échanges parfois passionnés (dans notre groupe de recherche sur les contours découpés) m’ont beaucoup apporté.
21Enfin, je voudrais dédier cet ouvrage à Gilles Tosello pour sa présence et ses encouragements constants tout au long de ce travail.
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