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Le Néolithique du nord-est de la France et des régions limitrophes

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Christine Guillaume

16. Découverte d’un site d’habitat campaniforme à Vandières (Meurthe‑et‑Moselle) : premiers résultats

16 Entdeckung einer Siedlung der Glockenbecherkultur in Vandieres (Meurthe et Moselle) : erste Ergebnisse

16 The discovery of a beaker settlement at Vandieres (Meurthe‑et‑Moselle): first results

Frédérique Boura

Résumé

Le site d’habitat protohistorique de Vandières/Les Grandes Corvées est situé dans la vallée alluviale de la Moselle. Un niveau d’occupation campaniforme a été piégé dans un paléochenal entaillant la terrasse alluviale. La fouille fine de 800 m2 a montré qu’il s’agissait d’un niveau de sol unique constitué en partie de rejet, remanié par le ruisseau très peu de temps après son abandon. Un dépôt en fosse, peut‑être lié à une sépulture, était composé d’un gobelet campaniforme au pied duquel était déposé un briquet en silex associé à un fragment de pyrite de fer. Le mobilier céramique associe des vases campaniformes à décors « A.O.C » et « maritime » à de la céramique grossière à décor plastique, trous de suspension et fonds plats. Celle‑ci évoque la céramique d’accompagnement associée à la diffusion du campaniforme ou éventuellement une composante proche du néolithique final du Bassin parisien.

Texte intégral

16.1 Présentation

1Situé dans la vallée alluviale de la Moselle, à trente kilomètres en amont de Metz, le site d’habitat du Bronze final de Vandières, Les Grandes Corvées, a été découvert en 1983 par V. Blouet et D. Leesch au cours d’une prospection de routine des coupes de sablières. A l’occasion du projet de reprise de l’exploitation, une opération de sauvetage programmé a été lancée et amena en 1985 la découverte d’un niveau structuré livrant de la céramique campaniforme.

2C’est l’encaissement du lit fossile d’un petit affluent, installé dans un paléochenal entaillant la très basse terrasse qui a aménagé une dépression tapissée d’alluvions calcaires formées dans le cours du ruisseau. Cette dépression a permis le piégeage des niveaux campaniformes en les protégeant à la fois de l’érosion, des crues et de l’acidité des alluvions siliceuses de la Moselle. La fouille fine de 800 m2 effectuée en 1986 a montré qu’il s’agissait d’un niveau de sol unique, constitué en partie de zones de rejets et remanié par le ruisseau très peu de temps après son abandon. Il est conservé uniquement dans le chenal orienté nord‑sud, large d’une quinzaine de mètres (fig. 1).

FIG. 1 – Localisation des vestiges campaniformes dans la dépression entaillant la terrasse alluviale.

16.2 Stratigraphie et topographie

3La séquence stratigraphique peut être interprétée de la façon suivante (fig. 2) :
– 1re phase : occupation humaine et mise en place du niveau de sol sur le fond et de part et d’autre de la dépression qui est à sec ; cette zone déprimée correspond à un lit fossile de la Moselle alors presque entièrement colmaté ; à l’est, creusement d’une fosse depuis le niveau de sol campaniforme ;
– 2e phase : le Trey envahit la zone déprimée, le courant remanie une partie du niveau de sol, il dépose des nappes d’oncolithes, dont certaines contiennent les éléments archéologiques remaniés, qui vont sceller le niveau de sol et achever de colmater la dépression ;
– 3e phase : reprise de l’influence directe de la Moselle sur la zone : le niveau de sol dépassant de part et d’autre de la dépression est lessivé (non protégé) ; le dépôt contenu dans une fosse creusée en‑dehors de la zone déprimée n’est pas atteint (chenaux d’érosion nets en limite de zone).

FIG. 2 – Coupes est/ouest : les zones de rejet tapissent les pentes de la dépression.

4Ensuite vient la séquence de l’âge du Bronze : il n’en subsiste qu’un épais horizon lessivé, totalement exempt d’oncolithes. Le lit du Trey s’est éloigné sans doute plus en aval sur son cône de déjection et n’exerce plus aucune influence sur le secteur.

16.3 Structures et organisation spatiale

16.3.1 Le niveau de sol

5Le niveau de sol est très hétérogène : il est constitué de zones de rejet plus ou moins denses et de quelques trous de poteaux (fig. 3).

FIG. 3 – Vue prise vers le sud‑ouest montrant le niveau de sol tapissant le paléochenal.

16.3.2 Les zones de rejet

6La plus grande structure de rejet est installée sur le glacis. Elle mesure 6 m x 8 m. Cet amas en léger arc de cercle est constitué de galets de quartzite de Moselle éclatés et rubéfiés (galets de chauffe) auxquels se mêlent quelques galets calcaires du Trey, des fragments de céramique, des os, du charbon de bois et des nodules de terre brûlée (fig. 4).

FIG. 4 – Zone de rejet constituée en grande partie de galets de chauffe.

7La coupe confirme qu’il s’agit bien d’un tas constitué d’éléments ayant glissé ou roulé sur la légère pente. Sa mise en place s’est vraisemblablement faite depuis une zone plus haute, maintenant érodée. La base de cet amas a été remaniée par les alluvions calcaires déposées par le courant du Trey, postérieurement à l’occupation.

16.3.3 Les autres concentrations

8Moins importantes (carrés E, F, D 26‑27‑28), elles sont constituées essentiellement de cailloux calcaires chauffés (réduits ou oxydes), mêlés de fragments de céramique et d’os, de charbons de bois et de nodules de terre brûlée. Les éléments calcaires sont de taille variable : ils peuvent atteindre 15 cm de diamètre ou seulement 3 ou 4 cm. Il ne s’agit pas de structures de combustion en place, mais la majorité des éléments semble en provenir. La principale différence avec l’amas de galets de chauffe décrit plus haut est la proportion d’éléments calcaires : si la première est constituée presque essentiellement de galets de chauffe, les autres comportent près de la moitié d’éléments ayant presque tous subi l’action du feu.

16.3.4 Les trous de poteaux

9Parmi les anomalies repérées à la fouille, deux seulement se sont révélées être des trous de poteaux liés au niveau de sol campaniforme : carré GD 43 ; carré GJ 39.

16.3.5 Le dépôt en fosse

10Un lambeau de niveau de sol (4 m2), conservé sur la bordure ouest, permet de restituer le profil initial de la cuvette (fig. 4) et d’évaluer la surface et l’épaisseur érodées. C’est dans ce contexte qu’il faut envisager la présence du dépôt constitué d’un vase entier et d’un briquet en léger surplomb et à une dizaine de mètres de la limite est de conservation du niveau, dépôt vraisemblablement enfoui dans une fosse dont la partie supérieure a été érodée avec le niveau de sol. La fouille minutieuse des abords n’a cependant fourni aucune trace de structure encaissante (fig. 5).

FIG. 5 – Dépôt de la structure 525, le vase est écrasé au niveau de l’épaulement, le fragment de pyrite de fer est visible sous le briquet en silex.

11Ce dépôt était constitué d’un gobelet campaniforme de 15 cm de diamètre près de l’ouverture dont le bord proprement dit n’était pas conservé. La forme basse suggérée par la photo ne reflète que l’état d’écrasement du vase. Très mal conservé dans le limon acide, il n’est plus constitué que de fragments centimétriques de céramique en cours de réhydratation et partiellement désintégrés. La conservation un peu moins mauvaise du fond a permis de constater la présence d’un décor de bandes limitées, semble‑t‑il, à la cordelette, les bandes vides alternant avec des bandes remplies d’impressions obliques au peigne. La fouille fine et le tamisage au laboratoire du contenu du vase (prélevé en bloc) n’ont apporté aucun élément supplémentaire.

12Au pied du gobelet était déposé un briquet de silex ainsi qu’un gros fragment de pyrite de fer. Le racloir épais est en silex gris. La petite surface verticale blanche, ainsi que la couleur et la texture, sont attribuables au silex du Muschelkalk. Un poignard et un nucléus du même silex de Meuse ont été découverts sur le niveau de sol (fig. 6no 8).

FIG. 6 – Mobilier lithique. 23711 : pointes de flèches ; 146 : racloirs ; 513 : pièces esquillées ; 8, 9 : fragments de poignards ; 14 et 15 : briquet en silex et fragment de pyrite de fer.

8, 9 dessin C. Guillaume

13Le racloir, assez épais, a été aminci sur le tranchant convexe par de grandes retouches directes et inverses (fig. 6, no 14). Les deux grands tranchants, ainsi que les deux extrémités, sont couverts d’une petite retouche très abrupte et très courte, d’esquillements et d’écrasement, et pour les deux extrémités d’une usure et d’un émoussé importants. De plus, les extrémités, le tranchant convexe et les deux surfaces sont couverts d’impacts oxydés dont l’allure rappelle les « coups de charrue » rencontrés sur les pièces provenant de ramassage en terrain labouré. Il va sans dire que la position de l’objet, ainsi que la datation du vase l’accompagnant, excluent cette interprétation. Par contre, l’association directe avec un fragment de pyrite de fer (fig. 6, no 15) dont l’un des bords est usé, va dans le sens de l’identification à un briquet. Sur les deux surfaces, un lustré, sans doute lié à l’emmanchement, est bien visible.

16.3.6 Organisation spatiale de l’ensemble

14L’organisation spatiale du niveau de sol peut être envisagée ainsi : sur la surface épargnée par l’érosion et qui constitue une cuvette dont le fond a été remanié postérieurement à certains endroits, on peut distinguer deux zones de rejets assez concentrées et bien individualisées (tas de galets de chauffe jetés dans la pente et amas de blocs de calcaires). En périphérie de ces tas se sont accumulés les artefacts. Un vide archéologique relatif se dessine parallèlement à cette concentration ; il pourrait former un angle droit dont l’autre limite longerait tangentiellement l’amas calcaire situé dans les carrés GC, GD, GE, 25, 26, 27. Au‑delà de ce très hypothétique « effet de paroi », la répartition du matériel se concentre dans « l’angle ». La concentration du mobilier archéologique n’est pas suffisante pour que l’on parle d’un « dépotoir ». Il est plus probable que cette zone soit mixte et qu’il existe des zones de circulation entre les amas de déchets essentiellement lithiques. Il semble également que ces nombreux galets aient joué un rôle d’empierrement, peut‑être pour assainir cette petite dépression.

16.4 Le mobilier

16.4.1 Le mobilier lithique

15Fig. 6

16Il est débité en partie sur du silex régional (Muschelkalk ?), et sur du silex du complexe récifal oxfor‑dien des minières de la vallée de la Meuse aux environs de Saint‑Mihiel (cf. travaux de C. Guillaume). Il existe aussi des importations de silex noir de la craie. Le débitage du silex et de la quartzite (galets de Moselle) a été pratiqué sur place (percuteurs, éclats corticaux ou non). L’ensemble de l’outillage n’est pas homogène : des lamelles fines (débitage type « Montbani »), un petit grattoir unguiforme ainsi qu’une pointe de flèche dissymétrique à base concave sur lamelle fine de même débitage évoquent le Mésolithique (fig. 6, nos 1, 2). De plus, les seuls nucléus découverts sur place sont de petits nucléus à lamelle d’allure également mésolithique. Le reste de l’outillage est composé de grattoirs sur éclats épais, de pièces esquillées et racloirs.

17Deux poignards ont été relevés (fig. 6, nos 8, 9). L’un, entier, taillé dans du silex local est constitué d’une lame dont un seul bord et la pointe sont retouchés. La retouche de la pointe est directe et envahissante. L’autre, fragmentaire, est constitué d’une lame épaisse à retouche abrupte. Il est bien caractéristique de la fin du Néolithique.

18Les pointes de flèches, toutes perçantes, sont de formes très variées : triangulaires à base concave, triangulaires à base rectiligne et bord à cran (reprise de la pointe), triangulaire à pédoncule et ailerons peu dégagés, losangiques trapues ou longues et pédoncule large plus ou moins dégagé (fig. 6, nos 3, 7, 11, 12).

16.4.2 L’outillage osseux

19Deux objets ont été mis au jour au cours du décapage du niveau de sol :
– un fût d’épingle en os à pointe mousse et section ronde mesurant 8 cm de long pour une épaisseur de 0,3 cm ;
– une baguette plate, tirée d’un os long, dont l’une des extrémités pointues porte des traces d’usure et de polissage (longueur : 14 cm, largeur maxi : 1 cm, épaisseur : 0,3 cm) (fig. 7). Il peut s’agir d’une dent de peigne, le Néolithique final suisse ayant fourni des peignes dits « à carder » composés d’une quinzaine de dents plates tout à fait comparables, liées entre elles par des liens végétaux.

FIG. 7 – Baguette plate en os.

16.4.3 Le matériel céramique

20Très fragmentaire et mal conservée, la céramique n’a pas livré un très grand nombres de formes. Le lot se partage facilement en deux ensembles : la céramique fine qui présente toutes les caractéristiques de la vaisselle campaniforme et des récipients de grande taille, à pâte grossière et gros dégraissant.

16.4.3.1 La céramique grossière

21Elle constitue plus de la moitié de l’ensemble. Deux groupes peuvent être déterminés par la composition de la pâte :
– pâte vacuolaire de cuisson réductrice avec légère post‑cuisson oxydante à l’extérieur, dégraissant composite (végétal et chamotte) ; la seule forme identifiable est une forme ouverte, type bol à bord droit arrondi ;
– pâte à dégraissant composite, en grande partie coquillier, chamotte et peut‑être des fragments végétaux ; les surfaces sont lissées, la cuisson est de bonne qualité : cuisson réductrice et post‑cuisson ; les surfaces internes sont très rouges, cette qualité de cuisson est à mettre en parallèle avec celle de la céramique campaniforme ; si aucune forme entière n’a pu être restituée, plusieurs éléments sont à noter : il s’agit de vases de grande taille de forme ouverte ; les fonds sont épais et plats ; les bords sont irréguliers et légèrement rentrants ; trois éléments plastiques sont présents : un trou de suspension sur pâte sèche ou cuite, un élément de préhension type oreille (fig. 8) et un cordon lisse ; aucun élément de décor n’a été relevé.

FIG. 8 – Céramique grossière.

16.4.3.2 La céramique fine

22Dans cette catégorie, tous les tessons découverts ne portent pas de déçois, mais en raison de la fragmentation, il n’est pas possible d’isoler des vases non décorés. Deux groupes peuvent être identifiés dans ce lot.

Premier groupe

23Il s’agit d’une céramique fine à dégraissant siliceux presque invisible. Les surfaces sont très soignées, la présence de décor presque une règle. La cuisson est toujours de bonne qualité, réductrice avec post‑cuisson oxydante rendant les surfaces très rouges ou ocres (fig. 9). Il s’agit de gobelets campaniformes classiques, avec un décor de bandes limitées à la cordelette ou au peigne et remplissage oblique au peigne alternativement à droite et à gauche, avec toujours une bande vide entre, sauf dans un cas (fig. 9, nos 8, 9) Des décors internes du bord ont été rencontrés à deux reprises ; il s’agit de lignes à la cordelette.

FIG. 9 – Céramique fine du 1er groupe.

Deuxième groupe

24Cet autre groupe est constitué d’une céramique de même module. Le dégraissant est visible : hétérogène, il est composé d’éléments coquilliers pouvant atteindre 6 mm de long, de grains siliceux et peut‑être de chamotte (poterie domestique fine). Les surfaces ont moins bien résisté à l’érosion (fig. 10, nos 1, 2, 3) ; elles sont beaucoup moins lisses. La tranche des tessons ne fait pas apparaître aussi nettement les surfaces rouges et le cœur noir : celles‑ci peuvent être ocres ou brunes et certains tessons ont subi une cuisson presque entièrement oxydante. Les décors sont moins fréquents, au vu du nombre de bords non décorés (fig. 10). Ils sont de même type que sur la céramique à dégraissant très fin, mais les impressions peuvent être groupées par trois ou, dans la mesure où il est pertinent de l’affirmer pour des tessons, réparties régulièrement de façon tapissante. Les nombreux bords appartiennent tous à des gobelets. Aucun élément plastique n’a été remarqué.

FIG. 10 – Céramique fine du 2e groupe.

25Cette céramique fine s’inscrit bien dans le groupe des gobelets maritimes : les vases sont décorés jusqu’à leur base (fig. 10, nos 5, 12, 13), il n’existe pas de « contractions zonales », les décors sont limités à des bandes hachurées au peigne ou à la spatule dentée. Par contre, la présence de décors à la cordelette à l’intérieur du col (fig. 9, no 2) et la présence de lignes horizontales cordées groupées (fig. 10, no 3), et non simplement utilisées comme limites de bandes, évoquent les gobelets « Ail Over Corded » type 2IIb (Lanting, van der Waals 1976).

26L’ensemble se situerait donc bien à une période assez ancienne, associant les gobelets A.O.C. et les gobelets maritimes. Cette phase est représentée en Lorraine, en particulier par la découverte ancienne d’une sépulture accompagnée d’un vase à décor maritime, à Marly près de Metz. D’autre part, la céramique grossière, à décor plastique, trous de suspension et fonds plats peut évoquer la « begleitkeramik » associée à la diffusion du Campaniforme, ou éventuellement une composante Néolithique final d’un faciès proche du Néolithique final du Bassin parisien, comme le suggèrent les quelques éléments à décor plastique associés à un poignard de silex découverts dans la vallée de la Saulx, près de Bar‑le‑Duc (Meuse).

27Pour conclure, en l’état actuel de la fouille, on pourrait positionner le site de Vandières à la phase 2/réseau 2 de l’hypothèse d’Alain Gallay, au moment de l’appariton des gobelets maritimes ou à la phase3/réseau 4 (Campaniforme septentrional) où la céramique Campaniforme dérive directement du substrat constitué par le couple A.O.C./maritinie et se diversifie régionalement. On pourrait se situer alors dans la zone de diffusion secondaire englobant l’axe Rhin‑Rhône et l’Europe centrale.

28Seule la poursuite de la fouille permettra d’avancer et de confirmer l’une ou l’autre hypothèse. Elle aura aussi pour objectif de caractériser la nature des composantes campaniformes de cette implantation, et leur relation avec le Néolithique final régional.

Bibliographie

Bibliographie

Blanchet 1984 : BLANCHET (J. C.). — Les premiers métallurgistes en Picardie et dans le nord de la France. Mémoires de la Société préhistorique française, T. 17, 1984.

Gallay 1979 : GALAY (A.). — Le Phénomène campaniforme : une nouvelle hypothèse historique. Genève : Archives suisses d’Anthropologie générale, 43, 2, 1979.

Lanting, van der Waals 1976 : LANTING (J.N.), VAN DER WAALS (J.D.). — Beaker Culture in the lower Rhine Basin. In : Glocken becher symposium. Oberried, 1974. Bussum : Harlem, 1976.

Table des illustrations

Légende FIG. 1 – Localisation des vestiges campaniformes dans la dépression entaillant la terrasse alluviale.
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Légende FIG. 2 – Coupes est/ouest : les zones de rejet tapissent les pentes de la dépression.
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Légende FIG. 3 – Vue prise vers le sud‑ouest montrant le niveau de sol tapissant le paléochenal.
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Légende FIG. 4 – Zone de rejet constituée en grande partie de galets de chauffe.
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Légende FIG. 5 – Dépôt de la structure 525, le vase est écrasé au niveau de l’épaulement, le fragment de pyrite de fer est visible sous le briquet en silex.
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Légende FIG. 6 – Mobilier lithique. 23711 : pointes de flèches ; 146 : racloirs ; 513 : pièces esquillées ; 8, 9 : fragments de poignards ; 14 et 15 : briquet en silex et fragment de pyrite de fer.
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Légende FIG. 7 – Baguette plate en os.
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Légende FIG. 8 – Céramique grossière.
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Légende FIG. 9 – Céramique fine du 1er groupe.
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Légende FIG. 10 – Céramique fine du 2e groupe.
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© Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 1993

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