Quelques problèmes généraux

Bonnes et mauvaises rencontres du céramologue au pays de la micro‑informatique

• 1. Ressources de l’informatique pour les études céramologiques.

• 2. Schéma fonctionnel des applications de l’informatique à la céramologie.

• 3. Schéma des échanges nécessaires entre les fonctions informatiques dans le cas d’applications archéologiques.

Les ateliers du sud de la France

Présentation générale

• 1. Ateliers de sigillée dans le sud de la Gaule. Carte de répartition par rapport au tracé (pour une grande part hypothétique) des principales voies romaines.

• 2. Ateliers de sigillée du sud de la Gaule. Informations générales.

• 3. Importance relative des ateliers du Sud d’après le nombre des potiers.

Les premiers ateliers

• 1. Situation des ateliers par rapport au réseau routier.

• 2. Lieux de découverte de séparateurs tripodes.

L’essor des ateliers

• 1. Comparaison entre les aires de diffusion connues actuellement pour les ateliers de Bram (a), La Graufesenque (b), Montons (c) et Banassac (d).

Groupe de Bram

• 1. Bram. Principaux types de céramiques « présigillées ».

• 2. Bram. Timbres épigraphiques et anépigraphes.

• 3. Narbonne. Principaux types de céramiques « présigillées ».

• 4. Narbonne. Timbres de potiers. 1‑10 : certainement narbonnais ; 11‑17 : probablement narbonnais.

Groupe de Montans

• 1. Carte des ateliers tarnais : Montans, Saint‑Sauveur, Crambade, Valéry.

• 2. Choix d’estampilles montanaises : A. épigraphiques ; B. anépigraphes.

• 3. Montans. Sigillée lisse : formes principales.

• 4. Montans. Sigillée lisse : formes rares ou inédites (de 5 à 40 ap. J.‑C.).

• 5. Montans. Sigillée lisse : formes rares ou inédites (de 40 à 100 ap. J.‑C.).

• 6. Montans. Sigillée lisse : formes rares ou inédites (de 100 à 225 ap. J.‑C.).

• 7. Montans. Sigillée décorée : formes principales.

• 8. Montans. Sigillée décorée : coupes carénées Drag. 29B des années 60/70 ap. J.‑C. (n^os 1 à 9) ; bols hémisphériques Drag. 37 de la seconde moitié du i^er s. de notre ère (n^os 10 à 17) ; Marques : Cunas (Cunasus) sur 1‑6, 9 ; Eutic (Euticus) sur 7‑8. Décors : vase n^o 10 (style de Logirnus) ; vases n^os 11‑17 (Style d’Atfillus).

• 9. Montans. Sigillée décorée : bols hémisphériques Drag. 37 (100 à 175 ap. J.‑C.). Décors : vases n^o 1‑2 (style de Felicio) ; vases n^o 3‑4 (style de Secundus II) ; vases n^o 5‑6 (décorateurs anonymes, vers 150/175).

• 10. Aire de diffusion des céramiques sigillées montanaises aux deux premiers siècles de notre ère.

• 11. Crambade. Les timbres épigraphiques : répartition par formes.

• 12. Crambade. En haut : répartition des marques anépigraphes par formes. En bas : 1, comparaison globale du nombre des marques épigraphiques et anépigraphes ; 2, graphique analytique du nombre des attestations connues des marques épigraphiques (classées par potiers) et des marques anépigraphes ; 3, formes des cartouches des marques épigraphiques (A, rectangulaires, B, circulaires).

• 13. Crambade. Accessoires de cuisson et systèmes d’empilement.

• 14. Crambade. En haut : principales formes lisses et décorées produites dans l’atelier. En bas : exemples de décors. 76

• 15. Crambade. Exemples de décors.

• 16. Saint‑Sauveur. Moules de bols Drag. 37 de Logimus.

• 17. Valéry. Formes principales : 1, Drag. 29B ; 2, Drag. 15/17 ; 3, Drag. 18 ; 4, Drag. 23 ; 5, Ritt. 9 ; 6, Drag. 24/25 ; 7, Drag. 27 ; 8, Ritt. 8.

• 18. Valéry. Choix de décors relevés sur des coupes carénées Drag. 29B de Valéry : 1 à 12, frises supérieures ; 13 à 23, médaillons ; 24 à 26, palissades godronnées ; 27, structure décorative d’un Drag. 29B marqué VLATVGNI.

• 19. Valéry. Tableau des correspondances entre formes et timbres de potiers (fouilles été 1971).

• 20. Carrade. Sigillée lisse : formes atypiques ou rares.

• 21. Carrade. Tableau des signatures sur formes lisses.

• 22. Carrade. Exemples de décors sur formes moulées. 1‑6 : Drag. 29 ; 7‑9, 11‑13, 15 : Drag. 30 ; 10, 14, 16‑18 : Drag. 37.

• 23. Carrade. Exemples de décors sur formes moulées Drag. 37.

• 24. Brive. Décors du « groupe de Brive » : en haut, exemples de frises sur Drag. 37 ; en bas, poinçons caractéristiques du groupe (dessins de J.‑L. Tilhard).

• 25. Brive. Répartition des productions du « groupe de Brive » ; état des recherches en février 1985 (carte établie par J.‑ L. Tilhard).

• 26. Brive. Formes Drag. 35‑36 (service A d’A. Vernhet) trouvées à Brive : a. diagramme des relations entre diamètre du bord et hauteur ; b. diagramme des relations entre diamètre du bord et diamètre du pied ; pois noirs : diamètres les plus fréquents à Brive ; triangles : diamètres les plus fréquents à La Graufesenque ; à l’intérieur des traits pleins : vases de La Graufesenque ; à l’intérieur des tracés tiretés : vases sigillés de Brive dont la hauteur est conservée.

Groupe de La Graufesenque

• 1. La Graufesenque. Formes décorées.

• 2. La Graufesenque. Formes lisses.

• 3. La Graufesenque. Les « services » flaviens.

• 4. La Graufesenque. Principaux modes de composition des motifs décoratifs.

• 5. La Graufesenque. Exemples de décors sur les types les plus courants.

• 6. La Graufesenque. Diffusion des céramiques de La Graufesenque.

• 7. Banassac. Décors de Biragillus.

• 8. Banassac. Décors de Germanus.

• 9. Banassac. Décors de Natalis.

• 10. Banassac. Estampilles épigraphiques.

• 11. Banassac. En haut, estampilles illisibles et figurées ; en bas, quelques exemples de gobelets. ,

• 12. Le Rozier. À gauche, répertoire de formes lisses ; à droite, moule d’un potier connu à La Graufesenque.

• 13. Le Rozier. Estampilles de potiers.

• 14. Aspiran. Principales formes produites dans l’atelier.

• 15. Aspiran. Catalogue des estampilles. Entre parenthèses : nombre d’exemplaires retrouvés.

• 16. Jonquières ‑ Saint‑Saturnin. Fac‑similés des timbres,

• 17. Jonquières ‑ Saint‑Saturnin. Exemples de la production décorée (1, 2) ; poinçon‑matrice (3).

• 18. Jonquières ‑ Saint‑Saturnin. Tableau de répartition des timbres (* : t. connu à La Graufesenque (cf. Vernhet (A.). — Notes sur la terre sigillée à La Graufesenque, Millau, 1974); ** : t. connu à Aspiran (cf. Genty (P.Y.), Fiches (J.‑L.). — op. cit.).

Les ateliers du centre de la France

Présentation générale

• 1. Ateliers de sigillée dans le centre de la Gaule. Carte de répartition par rapport au tracé (pour une grande part hypothétique) des principales voies romaines.

Groupe des ateliers rhodaniens

• 1. Saint‑Romain‑en‑Gal. En haut : répertoire des formes ; en bas : tableau des estampilles (éch. 1 : 1).

Groupe du Centre‑Ouest

• 1. Groupe du Centre‑Ouest. Situation des « ateliers » et autres lieux de découvertes. A : capitale de ciuitas; B : lieux de production ? ; C : autres lieux de production (hors du groupe); D : lieux de découvertes. 1 : Argentomagus ‑ Saint‑Marcel (Indre) ; 2 : Blois (Loir‑et‑Cher); 3 : Civaux (Vienne) ; 4 : Luynes (Indre‑et‑Loire); 5 : Naintré, Vieux Poitiers (Vienne) ; 6 : Pouillé‑Thésée (Loir‑et‑Cher); 7 : Caesarodunum – Tours (Indre‑et‑Loire) ; 8 : Vendeuvre (Vienne).

• 2. Groupe du Centre‑Ouest. En haut : quelques formes lisses de Mougon (d’après Vallée et Toulier 1976, fig. 12) ; en bas : estampilles de potiers (1‑9 : provenant de Poitiers ; 10 : provenant de Mougon).

• 3. Groupe du Centre‑Ouest. Fragments de moules décorés (empreinte des décors) conservés à Tours (S.A.T.).

• 4. Groupe du Centre‑Ouest. Exemples de décors sur Drag. 37. 1‑4 : de Tours (cf. B. Hofmann, 1977 (1)) ; 5‑7 : de Rouillé (cf. P. Thion, Thèse, 1982). 134

• 5. Groupe du Centre‑Ouest. Exemples de décors sur Drag. 37. 1‑5 : de Poitiers (d’après Ch. Gendron, 1977) ; 6‑7 : de Naintré et 8‑9 : de Civaux (ibid.).

Groupe de Lezoux

• 1. Lezoux. Principaux types de céramique sigillée non décorée ou à décor secondaire.

• 2. Lezoux. Principaux types de céramique sigillée décorée.

• 3. Lezoux. Exemples de décors. 1‑3 : vases du i^er s. ; 4 : vase signé de Libertus (env. 90 ‑ env. 120) ; 5 : vase du milieu du ii^e s. ; 6 : vase de la fin du ii^e s.

• 4. Lezoux. Exemples de décors. 7‑9 : vases moulés du iv^e s. ; 10 : vase ovoïde à décors d’applique du iv^e s.

• 5. Les Martres‑de‑Veyre. Formes lisses principales : assiettes.

• 6. Les Martres‑de‑Veyre. Formes lisses principales : coupes et coupelles.

• 7. Les Martres‑de‑Veyre. Formes lisses principales : mortiers et ovoïdes ; forme à décor excisé.

• 8. Les Martres‑de‑Veyre. Principale forme décorée moulée : bols Drag. 37 du début (1‑2) et de la fin (3‑4) du ii^e s.

• 9. Les Martres‑de‑Veyre. Décors sur Drag. 37 du début du ii^e s. 1 : zones superposées (style de X‑3) ; 2 : décor libre (style de X‑2) ; 3 : frise à métopes (style d’Ioenalis/X‑11) ; 4 : rinceau (style d’loenalis/X‑12),

• 10. Les Martres‑de‑Veyre. Décors sur Drag. 37 de la fin du ii^e s. (style de Cettus). 3‑4 : dessin de J.‑R. Terrisse.

• 11. Toulon‑sur‑Allier. Exemples, en haut, de décor stylisé, en bas, de décor traditionnel.

• 12. Terre‑Franche. Estampilles épigraphiques.

• 13. Terre‑Franche. Estampilles anépigraphes.

• 14. Terre‑Franche. Exemples de décors sur formes Drag. 37. A gauche : moule du Potier Z (empreinte); à droite: figuration de « Mars‑Borvo ».

• 15. Terre‑Franche. Échantillon des principales formes lisses (dessins de J. Corrocher, d’après Sites, n^o 819, janv. 1981).

Fabrique isolée du Centre‑Est

• 1. Gueugnon. Vases ornés : 1 et 2 ; vases unis : 3à 16 ; vases produits en grandes séries : 1 (4 ø différents), 4, 6, 7, 12, 13, 14, 15.

• 2. Gueugnon. Style de Birocatus‑Comitianus (période antonine).

• 3. Gueugnon. Style de Satto (fin de la période antonine).

• 4. Gueugnon. Décors du ii^e (1, 2) et du début du iii^e s. (3).

• 5. Gueugnon. 1 : Maître à la Rosette (début de la période antonine) ; 2 : Capellianus (iii^e s.).

Les ateliers de l’Est de la France

Les conditions de la première implantation des ateliers médiomatriques

• 1. Ateliers de sigillée dans l’est de la Gaule et la vallée du Rhin. Carte de répartition par rapport au tracé (pour une grande part hypothétique) des principales voies romaines.

La fin des ateliers

• 1. Ateliers de l’Est. Carte de répartition géographique et chronologique (sites certains ou probables).

• 2. Ateliers de l’Est. Carte des relations actuellement déterminées entre les fabriques.

• 3. Ateliers de l’Est. Tableau chronologique faisant apparaître les datations antérieures à 1960 et les résultats de travaux plus récents.

• 4. Ateliers de l’Est. Tableau chronologique des productions céramiques autres que la sigillée.

• 5. Ateliers de l’Est. Tableau des déplacements de potiers et des relations entre lieux de production.

• 6. Ateliers de l’Est. Tableau chronologique des villae en Alsace et en Lorraine. 189

• 7. Région de l’Est. Situation des principaux ateliers par rapport aux villae détruites et abandonnées entre la fin du ii^e et le cours du iv^e s.

Groupe d’Argonne

• 1. Exemples de décors moulés d’Argonne. Vases de Tribunus et Gesatus.

• 2. Exemples de décors moulés d’Argonne. 8‑10 : Tocca ; 11‑12 : Germanus ; 13‑14 : Amenus ; 15 : Eburus ; 16 : anonyme des Allieux.

• 3. Formes diverses de l’atelier de Lavoye (d’après G. Chenet et G. Goudron, o.c., fig. 10, 34 et 39 ; éch. 1 : 3, sauf 9 : 1 : 4.) 1‑4 : ii^e s. ; 5‑12 : fin ii^e‑iii^e s. Décors guillochés : 1, 2, 5, 6 ; excisés : 9, 10 ; appliqués ; 11, 12.

• 4. Gobelets ovoïdes de Lavoye décorés à la barbotine. Fin ii^e‑iii^e s. (d’après G. Chenet et G. Goudron, o.c., fig. 29‑30 ; éch. 1 :4). 1 et 2 : variétés de la forme ; 3 et 4 : exemples de décors.

• 5. Formes de l’atelier du Pont‑des‑Rèmes (d’après G. Chenet et G. Goudron, o.c., fig. 6 ; échelles diverses proches le plus souvent de 1 : 4). Au centre, deux formes locales.

Les ateliers de la Moselle

• 1. Ateliers de la Moselle. Exemples de divers styles décoratifs, importés de Gaule du Centre ou indigènes.

• 2. Boucheporn. Sigillée lisse : formes précoces (Claude‑Flaviens).

• 3. Boucheporn. Sigillée lisse : productions du ii^e s. (en haut : Trajan‑Hadrien ; en bas : fin du ii^e s.).

• 4. Chémery. Principales formes de sigillée lisse. Échelles diverses.

• 5. Mittelbronn. Formes lisses produites dans l’atelier.

• 6. Mittelbronn. Formes lisses produites dans l’atelier.

Les ateliers d’Alsace

• 1. Dinsheim‑Heiligenberg. IANVS : décors sur vases (1 : festons et signature ; 2 : rinceau ; 3: métopes) et sur moule Drag. 37 (4).

• 2. Dinsheim‑Heiligenberg. Le Maître F : décors sur vases. 1 : noter les petits médaillons, caractéristiques du potier, à la place des oves ; 2 : exemplaire signé ; 3 : les putti vendangeurs, propres à cet atelier, paraissent directement repris de la vaisselle métallique.

Fabriques dispersées de l’Est

• 1. Jaulges‑Villiers‑Vineux. 1 et 2 : marques de Birrantus imprimées respectivement sur la face externe d’un fond (1) et sur la face interne d’un autre (2) ; 3 : colifichet portant l’empreinte de deux oves caractéristiques ; 4 : poinçon‑matrice ; 5 et 6 : fragments de vases moulés à engobe métallescent ; 7 à 10 : décors caractéristiques de l’atelier (7‑8 : sur vases ; 9‑10 : sur moules, 9=MAN 71453).

• 2. Luxeuil. Échantillons de sigillée lisse.

• 3. Luxeuil. Signatures sur vases lisses : 1‑2 : Regulus (1 sur forme Walt. 79) ; 3: Sil... sur coupe grise; 4‑5 : rosettes sur Drag. 33 et forme hémisphérique. Signatures intradécoratives : 6 : OMM sur Drag. 37 ; 7 : marque non déchiffrée (légèrement agrandie) ; 8‑9 : deux fragments d’une estampille issus du même moule. Décors du potier D (qui signe OMM) : 10‑11 : empreintes de deux moules Drag. 37.

• 4. La Madeleine. Principales formes de vases (d’après les planches de G. Poirot).

• 5. La Madeleine. Exemples de décors. En haut : fragments de moules ; en bas : vases dessinés par G. Poirot.

En Germanie Supérieure

Premiers fabricants trévires de sigillée ornée et leurs relations avec d’autres ateliers

• 1. Trêves. Poinçons de l’atelier I.

• 2. Trèves. Poinçons de l’atelier II dérivés du répertoire de l’atelier I et ensuite cédés au potier L.At.At.

• 3. Empreinte d’un fragment de moule de Neuss (éch. 1 : 1).

• 4. Chronologie des ateliers de Trèves, Sinzig et Eschweiler Hof.

Recherches sur l’origine des répertoires de poinçons des potiers de gaule de l’est et de Germanie Supérieure

• 1. Composition du répertoire de poinçons du Maître aux Grandes Figures à Blickweiler. Entre crochets : nombre des poinçons qu’on ne retrouve dans aucun atelier antérieur. Poinçons propres : 63 %. Poinçons importés : 37 % — originaux : 28 % et surmoulés : 9 %.

• 2. Composition du répertoire de poinçons des vases à l’ove H/J de La Madeleine (d’après H. Ricken). Entre crochets : nombre des poinçons qu’on ne retrouve dans aucun atelier antérieur. Poinçons propres : 19 %. Poinçons importés : 81 % — originaux : 81 % et surmoulés : 0.

• 3. Composition du répertoire de poinçons de lanuarius I à Rheinzabern. Entre crochets : nombre des poinçons qu’on ne retrouve dans aucun atelier antérieur. Poinçons propres : 30 %. Poinçons importés : 69 % — originaux : 62 % et surmoulés : 7 %. 258

• 4. Composition du répertoire de Reginus I (à l’exception des poinçons secondaires) à Rheinzabern. Entre crochets : nombre des poinçons qu’on ne retrouve dans aucun atelier antérieur. Poinçons propres : 36 %. Poinçons importés : 64 % — originaux : 22 % et surmoulés : 42 %.

La production de terre sigillée en Suisse au i^er s. de notre ère

• 1. 1‑4 : productions de Vepotalus : 1. Augst, 2. Vidy, 3. Riddes, 4. Nyon. 5‑7 : formes étrangères au répertoire de la terre sigillée : 5. Drack 20 (terra nigra), 6. Drack 21, 7. Drack 22. (1‑3 : Ettlinger‑Muller, 1977, p. 96. 5‑6 : Laufer, 1980, fig. 24, p. 33 et 25, p. 34. 7 : Kaenel et alii, 1982, pl. 24, n n^o 274.).

• 2. Tableau des formes fabriquées dans l’atelier de La Péniche. (Laufer, 1980, fig. 7, p. 5, échelles diverses).

• 3. Estampilles des potiers de La Péniche sur terre sigillée. (Laufer, 1980, fig. 26, p. 36, échelle : 1 : 1).

La production de terre sigillée en Suisse aux ii^e s. et iii^e s. : problèmes de définition

• 1. Ateliers helvètes de sigillée : les oves (éch. 1 : 1).

• 2. Sigillée décorée helvète : suggestion graphique de l’association des poinçons (colonnes noires) aux différents types de bordures supérieures (E : oves ; P : feuilles) d’après Ettlinger (E.), Roth‑Rubi (K.). — Op. cit., pp. 12‑13.

• 3. Carte de diffusion des sigillées helvètes.

• 4. Sigillée lisse et formes d’inspirations diverses toutes à enduit brillant (Glanztonfilm).