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Fukushima, dix ans après

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Cécile Asanuma-Brice

Table des matières

Catastrophe naturelle et désastre nucléaire : une gestion impossible

La panique
Les conséquences du cafouillage de l’évacuation
Des enfants en danger dans des écoles rouvertes

Le peuple s’organise

Citoyens et chercheurs mobilisés pour la révision de la zone de contamination
La remise en cause des acteurs publics de la santé
Des manifestations pour l’arrêt du nucléaire
Des associations non gouvernementales indispensables à la gestion du désastre

La mise en place d’une politique de relogement

Répartition géographique des dégâts
La mise à disposition des logements publics vacants
Les logements provisoires
De la permanence du temporaire
Le cas des réfugiés dits « volontaires »
Des scandales politiques accompagnent la crise
Les conséquences de la débâcle : l’abstention électorale

Les conséquences sanitaires de la catastrophe

Des morts liées à l'explosion de la centrale, les « genpatsu kanrenshi »
Les travailleurs de la centrale
L’accroissement du nombre de cancers de la thyroïde
Les conséquences psychologiques de la catastrophe
« Atomic divorces »

Inciter au retour : décontamination et communication du risque

La politique de décontamination et ses limites
Un budget dédié à la communication du risque
Les musées de mise en scène de la catastrophe
La résilience : une injonction à se résigner ?

Les vertiges de la reconstruction

Revenir ou rester, la suspension des aides au refuge
Pourquoi revient-on vivre dans une ancienne zone évacuée ?

Conclusion. « Cette pause sur le bord d'un abîme »

Bilan de la gestion de la catastrophe
Bilan des activités citoyennes
Réfugiés et résidents : histoire de vies
 
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