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Dossier : Nature/natures : approches anthropologiques

Varia

Ibi namque in tabernaculis litterarum ludi erant: alcune riflessioni sulle scuole negli spazi forensi a Roma

Ibi namque in tabernaculis litterarum ludi erant : réflexions sur la place des écoles dans les forums romains

Ibi namque in tabernaculis litterarum ludi erant: Notes on School’s Places in Roman Forum

Patrick Manuello

Résumé

Selon la célèbre légende de Virginie écrite par Tite Live (III, 44, 6), au forum romain, pendant la période du Décemvirat, il y avait une école primaire vers laquelle la jeune fille se dirigeait avant que Marcus Claudius ne l’approche de manière hostile. Cet article se concentre sur l’expression in tabernaculis ou, selon d’autres manuscrits, in tabernis. Bien que cette description soit considérée comme anachronique par les érudits modernes, Tite Live dépeint une situation réelle. Il est certes difficile d’étudier les écoles romaines en tant que bâtiments spécifiques à cause de leur précarité matérielle (dans le cas des tabernacula) ou du fait qu’elles étaient situées dans des installations multifonctionnelles comme les tabernae du forum ; mais, grâce à certaines images pompéiennes des Praedia de Iulia Felix et aux graffitis de la Basilique Argentaria sur le forum de César, on peut imaginer comment se présentait une école élémentaire romaine. C’était probablement un endroit bruyant, pas séparé des marchés et des rues bondées, où la distraction devait être une conséquence naturelle de la topographie.

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Extrait du texte

Premessa

Questo articolo si propone di riflettere, a partire da un noto passo di Livio, sulla scuola romana da un punto di vista materiale e topografico, senza trascurare il contesto socioculturale in cui era inserita. I dati e gli spunti affrontati qui si inseriscono nel filone di studi sui luoghi dell’amministrazione romana che Filippo Coarelli1 ha sviluppato ampiamente e con solida metodologia in un suo recente libro. Legare la scuola all’amministrazione appare legittimo nella misura in cui la prima fornisce alla seconda tutta quella serie di abilità e conoscenze che ne rappresentano il presupposto. E come i luoghi dell’amministrazione hanno spesso lasciato scarse o controverse tracce della propria esistenza – quasi fossero una “struttura invisibile”2 – allo stesso modo le scuole, data la loro effimera natura materiale, appaiono difficili o piuttosto impossibili da identificare. Non possiamo poi evitare di osservare che tale parallelismo fra scuola e amministrazione sembra essere ...

Auteur

Liceo Classico A. Gramsci, Olbia

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