Table des matières
Antonin Durand
PrésentationAntonin Durand
Mathématiciens en armes. La participation des mathématiciens aux guerres d’indépendance italiennes- Introduction
- La construction de la figure du mathématicien patriote
- La rareté des témoignages
- Nécrologies et construction du mythe
- Mathématicien et militaire : un problème de compatibilité
- Temps des études, temps de la guerre
- Rester militaire
- La guerre comme source de politisation
- Effet de génération, effet d’âge
- 1848 et la politisation des mathématiciens
- Conclusion
Rossana Tazzioli
Les mathématiciens italiens face à l’interventionnisme dans la Première Guerre mondialeAnne-Laure Anizan
Paul Painlevé et la guerre (1908-1933). Science poliade et défense nationale- Introduction
- La Belle Epoque : la défense de la République, un moteur de l’engagement civique et politique
- Les convictions du jeune mathématicien, une sensibilité humaniste et pacifiste
- L’affaire Dreyfus, une première confrontation avec l’armée, le début de l’engagement
- Les débuts de l’aviation, les premières prises de position sur la stratégie militaire
- Au Parlement, une précoce spécialisation sur les questions de Défense
- Le Premier conflit mondial : la guerre scientifique, un tremplin politique
- Les commissions
- Le ministère de l’Instruction Publique, des Beaux-Arts et des Inventions intéressant la Défense nationale
- Le ministre de la Guerre
- L’entre-deux-guerres : les ambiguïtés de la paix, pacifisme aléatoire et limites du scientisme
- L’engagement pacifiste du député et du ministre
- La répression des révoltes coloniales
- Une science plus puissante et plus dangereuse
- Annexe 1. Le mathématicien – Chronologie
- Annexe 2. L’homme politique – Chronologie
Jean-Guy Prevost
Mesurer le coût de la guerre : statistique, expertise et politique en Italie (1915-1925)William Thomas
The mathematical management of uncertainty in Britain and America in the Second World War and afterPierre Journoud
Laurent Schwartz et le Vietnam : la « perte de l’innocence »- L’engagement d’un anticolonialiste trotskyste pour l’indépendance et la victoire du Vietnam communiste
- L’engagement « pédagogique »
- L’engagement « moral »
- Schwartz face à la violence : à Paris à la tête du CVN ; au Vietnam pour le Tribunal Russell
- Dénoncer la violence de guerre générée par l’intervention américaine, mais jusqu’où ?
- Se distancer de la violence politique croissante au sein du CVN
- Conclusion : la coopération avec le Vietnam socialiste malgré les désillusions
Anne-Sandrine Paumier
Laurent Schwartz, un mathématicien face aux guerres