Table des matières
Ouverture
La communication scientifique : le cœur même du métier de chercheur
- Épistémologie et communication
- Une remise en cause nécessaire de l’épistémologie
- Fonder la connaissance
- Nature, concepts, méthodes et résultats de la science
- La communication, ou l’impensé du métier de chercheur
- Compréhension & séduction
- Variations disciplinaires
- La communication en sciences sociales
- La communication vue par les sciences et techniques de l’information et de la communication (STIC)
- La communication vue par les sciences cognitives
- La communication par les sciences du langage
- Une expérimentation, un séminaire
- Une nouvelle finalité scientifique
- 1° La communication comme point aveugle du métier de chercheur
- 2° Des épistémologies singulières et isolées
- La volonté d’expérimenter une nouvelle méthode
- Hypothèses & méthodes de travail
- Originalité du séminaire
Première partie. Mémoire d'une expérimentation
Premier exemple
Séminaire « Des usages mathématiques en sciences : langue commune ou outil de communication ? »
- Présentation de la séance : Christophe Duroure (météorologue)
- Utilisation des mathématiques en sciences
- F. Vazeille (physicien)
- Intervention
- Débat
- Intervention de Catherine Simonet (Économiste)
- Intervention
- Débat
- Albert Benassi (mathématicien)
- Intervention
- Trois citations liminaires
- Le langage mathématique est dérivé de l’expérience
- Mathématiques et physique
- Débat
Deuxième exemple
Séminaire « Argumenter »
- Introduction (Alex Esbelin, Mathématicien)
- Argumenter ? (J.-C. Gay, philosophe)
- Quelques questions
- Démonstration/argumentation en art et en histoire de l’art (Élise Aspord, Histoire de l’art)
- Art/Science
- Art informatique
- Démontrer et argumenter en mathématiques (Alex Esbelin, Mathématiques)
- Argumenter en biologie (Philippe Lachaume, Biologiste)
- Une nature « économe » en faits
- C’est l’expérience qui parle
- Moins égale plus d’informations
- Le compte est bon
- Je ne crois que ce que je vois
Deuxième partie. Enseignements et regards d'une expérimentation
Le séminaire vu par les chercheurs en sciences de la nature
- Épistémologie et communication en mathématiques (Alex Esbelin, Mathématiques)
- Conclusion
- Communiquer la science, une vision ! (Pierre Bonton, sciences de l’ingénieur)
- Impressions d’un membre fondateur (Christophe Duroure, Météorologie)
- Ce que j’ai appris des autres sciences et de la communication scientifique
- Ce que j’ai appris sur la diversité des épistémologies « vécues »
- Un intérêt strictement utilitaire (Philippe Lachaume, biologie)
- La communication, un enjeu majeur de la société du xxie siècle
- Qu’est-ce que communiquer ?
- Les scientifiques doivent-ils communiquer ?
- Une communication qui s’adapte au public
- La communication a ses exigences
- Respect réciproque
- Un partage des concepts indispensable à la compréhension réciproque
- La complexité comme limite de la communication ?
- Les outils de la communication
- Ce que j’ai appris au-delà de la communication
- Et maintenant…
- … que vais-je faire ?
Le séminaire vu par les chercheurs en sciences de l’homme
- Impressions (Élise Aspord, Histoire de l’art)
- Clichés des savoirs, clichés sur les savoirs : ce que j’ai appris des autres sciences
- Transdisciplinarité
- Émergence du savoir
- Le génie de la communication : ce que j’ai appris sur la communication scientifique
- Médiation scientifique : communication versus expression
- La maîtrise des outils
- La question de l’art
- Principe d’égalité : enseignement versus communication
- Les institutions, l’université
- Science in progress
- Question de langage
- Ce que j’ai appris sur les relations entre les sciences sociales et les autres sciences
- Approches sociologiques des sciences
- Pouvoir
- Interférences sciences sociales et sciences dures
- Reflet dans le miroir : ce que j’ai appris sur l’épistémologie
- Qu’est-ce que l’épistémologie ?
- Théorie de l’évolution épistémologique : la science en train de se faire
- Conclusion
- Communication
- Transdisciplinarité
- Bibliographie
- Emission de radio
- L’activité du groupe « Épistémologie de la communication scientifique » au prisme de la pensée de Bruno Latour et de ses maîtres. » (Patrick Bourgne, Sciences de gestion)
- Mon intérêt pour le groupe expliqué par les questionnements liés à ma discipline, les sciences de gestion
- L’intérêt du groupe à la lumière des réflexions de Michel Serres
- L’intérêt de trois séances de travail à travers le prisme des écrits de Bruno Latour
- Bibliographie
- L’enjeu de la communication scientifique : la démocratie (Éric Dacheux, sciences de l’information et de la communication)
- La communication scientifique : révélateur de doxa épistémologiques différentes entre les sciences sociales et les autres sciences
- La science : une construction symbolique, deux conceptions de la connaissance
- La communication scientifique : un processus non réductible à la vulgarisation scientifique
- Point intermédiaire : une analyse nécessaire d’un point aveugle du métier de chercheur, mais une réflexion épistémologique qui reste au point mort
- Ce que j’ai appris des autres sciences
- a – Un statut académique unique mais des pratiques professionnelles très diverses
- b – Les mathématiques : une connaissance aux multiples fonctions, mais pas forcément un outil universel de communication
- c – L’importance grandissante de la question du partage du savoir
- d – La méconnaissance des médias
- e – Une typologie des lois scientifiques
- Ma compréhension nouvelle de la dichotomie sciences dures/sciences sociales
- a – Des sciences dures hétérogènes
- b – Des sciences sociales également très hétérogènes
- c – Une nouvelle typologie : l’opposition science de la nature / science de l’homme
- d – Une frontière plus floue entre sciences de la nature et sciences de l’homme
- Un regard nouveau sur la communication scientifique
- a – L’influence de l’espace
- b – Le poids de l’argumentation
- c – Une diversité qui reste à explorer
- Conclusion : un obstacle épistémologique qui n’est pas forcément celui qui avait été identifié
- Bibliographie
- Un exercice réflexif et déstabilisant : l’épistémologie de la communication vue par un linguiste à partir de l’analyse de deux séances du séminaire (Julien Longhi, sciences du langage)
- Le langage, la polysémie, et le vocabulaire spécifique à chaque discipline
- La séance sur la polysémie du sémantème « intermittent » en sciences « dures », « molles » et humaines : confrontation de mes travaux à ceux de mes collègues des sciences « molles » et « dures »
- Les apports de ce séminaire
- Bibliographie
- Impressions (Didier Mulnet, des SVT à l’éducation au développement durable)
- Des clichés sur les matières aux pratiques réelles : ce que j’ai appris des autres sciences
- Pluridisciplinarité ou transdisciplinarité ?
- Des mots pour le dire…
- Communiquer, des pratiques diversifiées : ce que j’ai appris sur la communication scientifique
- Des modes de communication différents
- Des stratégies de communication différentes
- Ce que j’ai appris sur les interrelations entre les sciences
- Le statut de la connaissance
- Les savoirs hybrides
- Vous avez dit épistémologie ?
Conclusion générale
Conclusion générale
Penser la communication scientifique comme pratique professionnelle méconnue
- Un cadre commun d’analyse de la communication scientifique
- La communication scientifique dans l’espace académique
- La signature : le reflet d’un habitus disciplinaire
- Les schémas : un langage simplifié propre à chaque discipline
- Argumenter : peut-on échapper à la rhétorique et à la déduction ?
- Des vocables communs, mais des épistémologies différentes
- Traduire c’est communiquer donc interpréter
- La communication scientifique dans l’espace public
- Nécessité de distinguer le public averti du grand public
- Les deux obstacles de la communication grand public
- Médiation, médiatisation, art
- Le partage des savoirs
- Développer une approche non réductionniste du partage de savoirs
- Une question de communication scientifique centrale dans la perspective de la construction démocratique d’une société de la connaissance
- La relation doctorant / directeur de thèse
Annexes
Annexe 1. Un exemple de compte-rendu subjectif par une personne découvrant le séminaire pour la première fois
- Quelques points de réaction et d’analyse suite à la séance du 4 octobre 2012 (J.-C. Gay, philosophe)
- 1er point : Trois extraits de vidéos
- 2e point : Une distinction utile
- 3e point : Sophistes et philosophes au ve siècle avant J.-C.
- 4e point : « Entre chien et loup… » (Voir Platon, Le sophiste, 231a) aujourd’hui ?
- 5e point : Retour sur les vidéos
- 6e point : Valeur de l’argumentation
- Questions
Annexe 2. Les quatre étapes de la préparation d’une séance du séminaire : l’exemple de l’Intermittence
- A) Première étape : construire une séance
- Texte no 1
- Texte no 2
- Texte no 3
- Périodique/apériodique
- Prévisible/imprévisible
- B) Seconde étape : promouvoir la séance du séminaire
- Résumé court
- Séminaire « Épistémologie de la communication scientifique » de l’ISCC
- Lundi 7 Juin 2010, 14 heures, Pôle physique des Cézeaux
- Résumé long
- Séminaire « Épistémologie de la communication scientifique » de l’ISCC
- Lundi 7 Juin 2010, 14 heures, Pôle physique des Cézeaux
- C) Troisième étape : présenter la séance aux personnes réunies
- Introduction
- 1 – Le chercheur vu comme un « acteur-réseau », épistémologiquement délocalisé
- 2 – Le chercheur en train de trouver est un acteur-réseau quasi autiste
- 3 – Le chercheur en train de rechercher un problème à résoudre est un « puits » d’information (communication asymétrique)
- 4 – Deux définitions du mot « intermittence »
- 5 – Trois exemples d’intermittence « analogue » (à un certain niveau)
- 6 – Similitudes entre les deux observations physiques, nuages et flux de message de recherche.
- Conclusion de cette introduction : la relation forte entre intermittence et existence d’un processus hiérarchique caché
- D) Quatrième étape : analyser la séance
- Impressions subjectives de Christophe Duroure sur le séminaire du groupe « épistémologies en Auvergne » (ISCC) du 20 octobre 2011 à l’IREM sur Intermittence et modèles sociologiques » par Alex Esbelin et Patrick Bourgne
- Impression 1
- Impression 2
- Impression 3
- Impression 4
- Impression 5