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    Plan détaillé Texte intégral De l’Information scientifique et technique (IST) à la translittéracie* L’IL est-elle une discipline ? Bibliographie Notes de bas de page Auteur

    Cultures de l'information

    Ce livre est recensé par

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    Table des matières

    Le champ de l’information literacy en France à travers les publications scientifiques

    Joumana Boustany

    p. 139-158

    Note de l’éditeur

    Inédit

    Texte intégral Bibliographie Références bibliographiques Notes de bas de page Auteur

    Texte intégral

    1Le concept d’information literacy* (IL), utilisé pour la première fois par Paul Zurkowski en 1974, n’est pas très clairement défini (Behrens, 1993). Il a fallu attendre les travaux de l’American Library Association pour qu’une définition plus consensuelle soit arrêtée : « Être compétent dans l’usage de l’information signifie que l’on sait reconnaître quand émerge un besoin d’information et que l’on est capable de trouver l’information adéquate, ainsi que de l’évaluer et de l’exploiter » (ACRL, 1989). Ce n’est toujours pas le cas en France et la liste des expressions employées par les auteurs pour désigner l’IL est assez longue. De ce fait, et par souci de représentativité, nous avons privilégié dans cette contribution l’expression information literacy.

    2À travers une analyse de la littérature, nous retracerons l’historique de l’IL en France et dégagerons les tendances et les débats qui ont traversé ce champ avant d’exprimer notre point de vue. Pour ce faire, nous avons réalisé une bibliographie regroupant environ 630 publications sans distinction entre articles scientifiques ou comptes rendus d’expériences ni entre chapitre d’ouvrage, site web, mémoire, thèse. Pour constituer cette bibliographie, nous avons interrogé plusieurs bases de données (Cairn, Sudoc, etc.) ainsi que les archives des revues professionnelles, les archives ouvertes et Google Scholar avec les mots clés suivants : « maîtrise de l’information* », « culture de l’information* », « culture informationnelle* ».

    De l’Information scientifique et technique (IST) à la translittéracie*

    3À partir des années 1970, la France mena une politique dynamique en faveur de l’IST. Elle se traduisit par la création en 1973 du Bureau national de l’information scientifique et technique (BNIST) dont l’objectif fut de « définir et promouvoir une politique nationale en matière d’information » (Bretelle-Desmazières, 1998, p. 132). En 1977, cet organisme lança un appel d’offres afin de financer des formations à l’information dans les universités et les grandes écoles. Avant cette date, la dizaine d’articles recensés relatent des expériences de formation à la recherche documentaire, fruits d’initiatives personnelles.

    L’âge d’or de l’IST (1977-1984)

    4D’un point de vue technologique, l’année 1979 vit naître les serveurs de bases de données comme Télésystème-Questel, ainsi que le réseau national de transmission par paquets Transpac. D’un point de vue institutionnel, l’année 1979 vit également la création de la Mission interministérielle de l’information scientifique et technique (MIDIST) rattachée au Premier ministre. Elle remplaça le BNIST rattaché au ministère de l’Industrie. Cette mission avait pour but de développer les banques de données et de les promouvoir par l’éducation.

    5L’année 1982 vit naître les Unités régionales de formation et de promotion pour l’information scientifique et technique (URFIST). Elles avaient pour mission « la promotion de l’IST en milieu universitaire et la formation à l’interrogation en ligne des utilisateurs de toutes catégories : professionnels des bibliothèques et de la documentation, mais aussi chercheurs, enseignants, étudiants » (Lefort, 1987, p. 23). Les formations dans les universités se multiplièrent sous l’égide de la MIDIST. Compte tenu de ces facteurs, l’IST prit son essor. Mais il est important de noter qu’à cette période, l’information fut essentiellement l’apanage des entreprises eu égard au coût d’accès aux banques de données assez prohibitif pour les particuliers.

    6Le 26 janvier 1984, le ministère de l’Éducation nationale, dans le cadre de la réforme de l’enseignement supérieur, publia la loi dite Loi Savary1. L’article 4, abrogé en 2000, fixa quatre missions à l’université, entre autres « la diffusion de la culture et l’information scientifique et technique ». De ce fait, « apprendre à connaître et à utiliser les outils et les techniques de l’information n’est plus une activité réservée aux seuls spécialistes de la conception, de la création et du fonctionnement des systèmes d’informations : l’accès à l’information est désormais au cœur du processus de la formation de tous et de l’accès autonome au savoir » (Bretelle-Desmazières et Rozensztroch, 1998, p. iv). Pour cette période, les pouvoirs publics s’appuyèrent sur la Conférence des grandes écoles pour mettre en place une action concertée de formation des enseignants et des élèves à la maîtrise de l’information. Plusieurs articles relatent ces expériences.

    Explosion de la société de l’information* et déclin des aides publiques (1985-2000)

    7De nouveaux outils informatiques facilitent l’accès à l’information. Paradoxalement, les pouvoirs publics se désengagèrent de l’IST à partir de 1985. D’ailleurs Jean Michel (1990, p. 200) dénonça cet état de fait : « il serait à cet égard urgent de s’interroger sur l’absence de politique nationale en matière d’information et de documentation et sur les conséquences des “destructions” de certains outils et structures ayant pourtant parfaitement démontré leur efficacité ». En parallèle, les enseignements à l’information scientifique et technique se multiplièrent dans les universités. Les écrits relatant les pratiques pédagogiques, analysant les résultats, traitant de la formation des usagers et de la formation des professionnels de l’information dans la revue Documentaliste-Sciences de l’information et le Bulletin des bibliothèques de France prennent de l’ampleur.

    8En 1992, l’information est abordée comme une science. « La construction de nouveaux savoirs scientifiques et techniques, la constitution de nouvelles disciplines, conduisent à introduire progressivement dans les cursus universitaires de nouveaux enseignements. Ainsi en est-il de l’information scientifique et technique (IST). Elle est l’objet d’étude de la science de l’information (encore appelée science de l’information et de la communication) qui s’est progressivement structurée sous forme d’une discipline qui a vu le jour dans les années soixante aux États-Unis » (Le Coadic et Bretelle-Desmazières, 1992, p. 137).

    L’essor de la société de l’information

    9À partir de 1995, le développement du Web et la généralisation de la micro-informatique démocratisèrent l’usage de l’information tant d’un point de vue professionnel que personnel. L’information, plus facilement accessible au grand public, nécessite une certaine maîtrise. Le besoin de formation à l’information s’accentua. En 1997, le ministère de l’Éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie mettra en place un dispositif* national dédié à la formation à l’information scientifique et technique (FORMIST) ayant « pour objectifs de permettre au public de l’enseignement supérieur de se former à l’usage de l’information disciplinaire d’une manière autonome et aux formateurs de mener des activités de veille scientifique et technique et de produire et diffuser des documents pédagogiques » (Colas, 1998, p. 28) qui fut opérationnel en 1999.

    10Conscientes des enjeux de la société de l’information, les associations tinrent également un rôle déterminant dans la promotion de la formation à l’information. D’ailleurs, l’interassociation des archivistes, bibliothécaires, conservateurs et documentalistes (ABCD) publia en 1996 un manifeste pour la culture de l’information. Ce manifeste « propose que soit rapidement institué et mis en place un Haut Comité pour la culture de l’information dont les missions seraient de poursuivre et approfondir la réflexion de fond sur ce sujet, de sensibiliser les diverses institutions de tutelle et les grands décideurs publics et privés et de jouer un rôle incitateur pour le développement d’actions appropriées en faveur de la culture de l’information » (ABCD, 1996). Il assigna dix-huit tâches à ce Haut Comité, qui n’a jamais vu le jour, dont le but aurait été de promouvoir la culture de l’information.

    11En ce qui concerne l’enseignement supérieur, la réforme du diplôme d’études universitaires générales2 (DEUG) introduisit une unité d’enseignement intitulée « Méthodologie du travail universitaire » (MTU), commune à tous les premiers cycles durant leur premier semestre universitaire (article 6). Selon les témoignages de l’époque, compte tenu du manque de moyens, seules quelques universités réussirent à mettre en place ce module.

    Le xxie siècle : le renouveau de l’IL

    12À partir de l’an 2000, plusieurs actions seront menées contribuant à donner une assise à l’IL. Parmi celles-ci, citons :

    • les rencontres FORMIST3 qui rassemblèrent tous les ans, de 2001 à 2012, la communauté des formateurs afin d’échanger sur la formation à l’information4.

    • les assises nationales en 2003 qui permirent « de faire le bilan des problèmes et questions soulevées, évaluer les pratiques informationnelles et documentaires à l’œuvre depuis l’époque où elles sont devenues prégnantes, et le souhait de tracer quelques perspectives d’action ou de réflexions nouvelles » (Losfeld, 2003) et « ont tout de même abouti à la naissance d’une ERTé (Équipe de recherche technologique en éducation) : Culture informationnelle et curriculum documentaire » (Fructus, 2010). D’ailleurs, cette entité organisa en 2008 un important colloque sur la « Culture informationnelle et curriculum documentaire ».

    • les différentes manifestations des associations comme les congrès de la FADBEN (Fédération des documentalistes de l’éducation nationale) et les journées d’étude de l’ADBS.

    13Ceci conduisit à un accroissement du nombre de publications, notamment à visée scientifique, faisant ainsi de l’IL un objet d’étude attractif comme le démontre le graphique ci-dessous sur le nombre des publications par an, élaboré à partir de la bibliographie constituée par l’auteur.

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    14Entre 1970 et 1996, le nombre d’articles ne dépassa guère les dix publications par an avec un total de 94 publications sur cette période. À partir de 1997, la courbe commença à croître pour atteindre 86 documents entre 1997 et 2002, soit presque l’équivalent de 16 années de production en 5 ans. Après les assises, le nombre des publications augmenta selon un rythme exponentiel pour totaliser 457 publications en un peu plus de dix ans. Certains pics s’expliquent par la parution de numéros spéciaux de revue ou par l’organisation d’une manifestation (journée d’étude ou colloque).

    En France, où en est l’IL aujourd’hui ?

    15Malgré ce renouvellement, il est difficile d’affirmer que l’IL est un champ d’étude constitué en France. Même si, chaque jour, l’information joue un rôle de plus en plus déterminant dans la vie tant personnelle que professionnelle, « la culture informationnelle constitue aujourd’hui un domaine de recherche en voie de constitution » comme l’écrit Serres (2008) et comme l’ont déjà mentionné Alava et Etévé (1999) pour qui « […] la documentation comme objet de recherche n’est pas clairement identifiée. Elle se trouve, en France, au croisement de deux sections du CNU5, disciplines récentes dans le champ universitaire, les sciences de l’éducation (création 1967) et les sciences de l’information et de la communication (création 1975). Dans les deux cas il s’agit de pratiques, de produits et de processus relevant de champs interdisciplinaires ».

    16Un champ d’étude qui se cherche se retrouve également par la diversité des vocables utilisés à travers le temps. Dès les années 1970, les expressions « formation à la bibliographie » ou « formation à la documentation » décrivirent les enseignements relatifs à la maîtrise de l’information.

    17Au cours des années 1980, nous passâmes à l’Information scientifique et technique (IST) et à la maîtrise de l’information. Pour Lefort (1987, p. 31), « la formation à l’IST ne s’est pas limitée à la recherche bibliographique et à l’utilisation d’une documentation. Elle s’est étendue à la communication et à la diffusion d’information, abordant en particulier le problème de la rédaction scientifique et technique ».

    18L’expression « culture informationnelle » fut utilisée pour la première fois par Claude Baltz en 1993 lors du troisième Congrès de l’Association des documentalistes des lycées et collèges sur « Le Concept d’information : essai de définition ». Dans un souci de contraction, Jean Michel (1997b) proposa également le terme « infoculture » défini comme étant une « nouvelle composante culturelle fondée sur un élargissement considérable des conditions d’accès à l’information engendré par les nouvelles technologies numériques mais nécessitant un investissement important en matière de sensibilisation et d’éducation pour en maîtriser toutes les dimensions et toutes les conséquences. L’infoculture doit aider les individus à devenir des citoyens à part entière de la société de l’information ».

    19Au cours de la première décennie du xxie siècle, nous avons relevé dans la littérature une tentative de trouver l’expression française équivalente à l’IL. Pour Alexandre Serres (2008, p. 3), « nous avons tranché la question de la traduction par le choix suivant : d’une part, nous utiliserons ici l’expression “maîtrise de l’information” comme la traduction courante de information literacy ; d’autre part, afin de la sortir des querelles terminologiques, nous ferons de la “culture informationnelle” la dénomination d’une thématique en émergence, d’une conception particulière, voire d’une problématique qui surplombe la seule information literacy ».

    20Depuis quelques années, et en suivant le sillage des Canadiens, nous voyons apparaître les expressions de Litératie informationnelle ou médiatique ainsi que de translitératie. La décennie 2010-2020 serait-elle la décennie de la convergence comme le mentionnent Liquète, Delamotte et Chapron (2012) dans l’introduction au numéro spécial de la revue Études de communication ? Il est encore trop tôt pour l’affirmer. Mais dans la littérature, les prémices sont là.

    21Pour Olivier Le Deuff (2012), « le concept [littératie*] est importé du monde anglo-saxon avec une transition opérée notamment par les Québécois pour l’adapter en langue française ». Quant à Divina Frau-Meigs (2012, p. 18), « Le néologisme de “translittératie”, pour insatisfaisant qu’il soit, peut être considéré comme opératoire, car il regroupe en son sein la triple maîtrise de l’information, des médias et du numérique et englobe la notion d’éducation (à la française, comme dans “éducation aux médias*”) et la notion d’alphabétisation (à l’anglaise, comme dans “ media literacy”), rendant compte de la double dimension abstraite et pragmatique du phénomène considéré. »

    L’IL est-elle une discipline ?

    22En voulant mettre en avant les différents débats qui ont jalonné le domaine de l’information literacy en France, dans une liste non exhaustive à la Prévert, nous avons relevé dans la littérature plusieurs locutions la désignant, témoignant d’une thématique qui se cherche : « culture de l’information », « culture informationnelle », « cyberculture », « éducation à l’information », « formation des étudiants », « formation des usagers », « formation à l’information », « Information scientifique et technique », « intelligence informationnelle* », « littéracie* informationnelle », « maîtrise de l’information », « méthodologie documentaire », « translitératie informationnelle », etc.

    23Avec cette multitude de termes, des problématiques récurrentes ont traversé ce champ : celles des objectifs, des contenus des formations et des curricula* avec une grande question en toile de fond : l’IL est-elle une discipline ou non ? D’ailleurs, plusieurs voix réclament la reconnaissance de la culture informationnelle en tant que telle à commencer par l’interassociation ABCD qui « considère qu’il est temps que la France s’occupe sérieusement de la culture de l’information et singulièrement de la formation des Français à cette discipline », en passant par les travaux de Viviane Couzinet (2008) ou Alexandre Serres – pour qui « une éducation à la culture informationnelle se doit de viser la réflexion, autrement dit la compréhension, la connaissance, le savoir sur les outils et les réseaux de l’information. […] Pour nous en tenir au seul domaine de l’information-documentation, nous sommes plusieurs à penser, notamment au GRCDI6, qu’il y a ici matière à transmission, à enseignement, à didactisation, peut-être demain à discipline » (Serres, 2009) –, jusqu’à Éric Bruillard (2011). D’autres chercheurs la voient comme une métadiscipline, « Cependant, reconnaître une spécificité disciplinaire, ce pourrait être aussi abandonner l’ambition métadisciplinaire, les visées instituantes qui l’accompagnaient, et accepter, de facto, que l’information-documentation ne soit qu’une entrée dans une classification des savoirs » (Chante et De Lavergne, 2010, p. 11).

    24Mais comme Claude Baltz (1998, p. 77) nous croyons que « La culture informationnelle, c’est d’abord plus que la culture de l’information… » Même si nous nous positionnons à contre-courant de ce qui précède et notamment avec les auteurs qui donnent à la culture informationnelle une dimension plus large que l’information literacy, nous sommes convaincues qu’elle reste le meilleur synonyme d’information literacy. En effet, est-il possible d’arriver à des compétences informationnelles* telles que définies par l’ACRL sans une certaine culture informationnelle tout simplement en se contentant de quelques pratiques ? Si cette thématique reste étroitement liée aux sciences de l’information étant donné qu’elle utilise la plupart des technologies et des théories de cette dernière, ne serait-il pas réducteur de la limiter à ce seul domaine ?

    25Comme chacun le sait, la culture informationnelle est une série de compétences à maîtriser, d’ailleurs le nombre de référentiels* publiés en France et dans le monde en est la preuve. Mais à l’heure de l’interdisciplinarité, est-il judicieux d’affirmer qu’il s’agit d’une discipline scientifique à part même si les différentes thématiques relevées dans les publications nous ont permis de remarquer que la culture informationnelle interroge de façon très forte le cloisonnement disciplinaire qui caractérise le système éducatif français tant au niveau scolaire qu’universitaire ? La culture informationnelle ne serait-elle pas une transdiscipline avec des interactions très fortes avec les autres disciplines tant littéraires que scientifiques ?

    Bibliographie

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    Cette bibliographie a été enrichie de toutes les références bibliographiques automatiquement générées par Bilbo en utilisant Crossref.

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    Michel, Jean, « De la créativité en documentation Autres perspectives pour la formation », Bulletin des bibliothèques de France, no 3, 1990, p. 193-201.
    Disponible sur : <http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-1990-03-0193-002>

    Michel, Jean, « La formation documentaire : un enjeu pour le troisième millénaire », La bibliothèque, partenaire du projet pédagogique. Ateliers francophones sur la formation documentaire, Gembloux, 13-15 octobre, 1997a, p. 17-26.
    Disponible sur : <http://michel.jean.free.fr/publi/JM303.html>

    Michel, Jean, « Une politique et des partenariats pour le développement de l’infoculture », Colloque INFOethics, Monte-Carlo, Monaco, 10-12 mars 1997, The International Information and Library Review, volume 29, no 3-4, septembre-décembre 1997, (1997b), p. 465-478.
    Disponible sur : <http://michel.jean.free.fr/publi/JM290.htm>

    Panijel, Claire, « La formation documentaire dans l’enseignement supérieur en France », in Laverdière, Richard et Fedrigo, Claudio, La formation documentaire. Actes du colloque de l’ABCDEF, Université Laval, Québec, 21-23 octobre 1995, Montréal, AUPELF-UREF, 1998, p. 95-108.

    Salaün, Jean michel, « La fin de l’IST ? », Histoire des politiques publiques françaises en information scientifique et technique, rapport de recherche Centre d’études et de recherches en sciences de l’information, CERSI, Juillet 1991.
    Disponible sur : <http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/1378-la-fin-de-l-ist-histoire-des-politiques-publiquesfrancaises-en-information-scientifique-et-technique.pdf>

    Serres, Alexandre, « La culture informationnelle », in Papy, Fabrice (dir.), Problématiques émergentes dans les sciences de l’information, Paris, Hermès Lavoisier, 2008, p. 137-160.

    Serres, Alexandre, « Une certaine vision de la culture informationnelle », en ligne sur Slhole.fr : penser et repenser l’école, 2009.
    Disponible sur : <http://skhole.fr/une-certaine-vision-de-la-culture-informationnelle>

    Zurkowski, Paul G., The Information Service Environment Relationship and Priorities, National Commission on Libraries and Information Science, Washington, D.C., National Program for Library and Information Services, 1974.

    Notes de bas de page

    1 Loi no 84-52 du 26 janvier 1984 sur l’enseignement supérieur. Disponible sur : <http://goo.gl/B2P2q5>

    2 Arrêté du 9 avril 1997 relatif au diplôme d’études universitaires générales, à la licence et à la maîtrise. Disponible sur : <http://goo.gl/7LLmRB>

    3 Pour consulter les programmes de ces rencontres, voir <http://goo.gl/bjFbzi>

    4 En ce qui concerne les journées FORMIST, seules ont été recensées les communications accompagnées d’un texte rédigé et non les supports de présentation, ni les supports en audio.

    5 Conseil national des universités.

    6 GRCDI : Groupe de recherche sur la culture et la didactique de l’information.

    Auteur

    Joumana Boustany

    Maître de conférences à l’Université Paris Descartes où elle assure différents enseignements liés à la maîtrise de l’information et à l’informatique documentaire. Elle exerce sa recherche au sein du laboratoire DICEN-idf (Dispositifs d’Information et de Communication à l’Ère Numérique – Île-de-France) au CNAM. La culture informationnelle est un de ses axes de recherche en concomitance avec l’accès et la réutilisation des données publiques. Sa dernière publication dans ce domaine concerne la culture informationnelle des étudiants de l’Institut Universitaire de Technologie de l’Université Paris Descartes

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    1 Loi no 84-52 du 26 janvier 1984 sur l’enseignement supérieur. Disponible sur : <http://goo.gl/B2P2q5>

    2 Arrêté du 9 avril 1997 relatif au diplôme d’études universitaires générales, à la licence et à la maîtrise. Disponible sur : <http://goo.gl/7LLmRB>

    3 Pour consulter les programmes de ces rencontres, voir <http://goo.gl/bjFbzi>

    4 En ce qui concerne les journées FORMIST, seules ont été recensées les communications accompagnées d’un texte rédigé et non les supports de présentation, ni les supports en audio.

    5 Conseil national des universités.

    6 GRCDI : Groupe de recherche sur la culture et la didactique de l’information.

    Cultures de l'information

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    Ce livre est cité par

    • Couzinet, Viviane. Liquète, Vincent. (2022) Recherches francophones sur les éducations aux médias, à l’information et au numérique. DOI: 10.4000/books.pressesenssib.17121
    • Salaün, Jean-Michel. Serres, Alexandre. (2022) Recherches francophones sur les éducations aux médias, à l’information et au numérique. DOI: 10.4000/books.pressesenssib.17129
    • d’Hennezel, Claire. (2017) Culture informationnelle collaborative et intelligence économique. Communication et organisation. DOI: 10.4000/communicationorganisation.5591
    • Cordier, Anne. (2016) Neither Accomplices, nor Submissive: The Commitment of the “Digital Natives” in the Field of Digital Politics. Hybrid. DOI: 10.4000/hybrid.1005
    • Dumas, Aurélia. Martin-Juchat, Fabienne. Pierre, Julien. (2017) Les cadres et le numérique. Communication et organisation. DOI: 10.4000/communicationorganisation.5520
    • Brzustowski-Vaïsse, Katie. Marczak, Raphaël. Marie-Montagnac, Hélène. (2018) De Subpoena à CIEL : étude de l’acquisition de compétences informationnelles à travers une approche vidéoludique pluridisciplinaire. Communication et organisation. DOI: 10.4000/communicationorganisation.7226
    • Lehmans, Anne. (2017) Données ouvertes et redéfinition de la culture de l’information dans les organisations. Communication et organisation. DOI: 10.4000/communicationorganisation.5495
    • Ferreira Coêlho, Tamires. Rodrigo da Silva, Marcelo. (2017) La mort, l’humour et les stratégies de communication numérique. Communication et organisation. DOI: 10.4000/communicationorganisation.5541
    • Cordier, Anne. (2018) On ne naît pas étudiant·e, on le devient. Revue française des sciences de l’information et de la communication. DOI: 10.4000/rfsic.5130
    • Cordier, Anne. (2016) Ni complices, ni soumis : l’engagement en politique numérique des “digital natives”. Hybrid. DOI: 10.4000/hybrid.1000
    • Cordier, Anne. Stalder, Angèle. (2017) Modes d’appréhension et de dissémination des cultures de l’information dans l’École. Communication et organisation. DOI: 10.4000/communicationorganisation.5533

    Ce chapitre est cité par

    • Messaoui, Anita. (2018) Concevoir des ressources pour enseigner, un levier pour le développement des compétences informationnelles des professeurs?. SHS Web of Conferences, 52. DOI: 10.1051/shsconf/20185202003

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    Boustany, J. (2014). Le champ de l’information literacy en France à travers les publications scientifiques. In V. Liquète (éd.), Cultures de l’information (1‑). CNRS Éditions. https://doi.org/10.4000/books.editionscnrs.20128
    Boustany, Joumana. « Le champ de l’information literacy en France à travers les publications scientifiques ». In Cultures de l’information, édité par Vincent Liquète. Paris: CNRS Éditions, 2014. https://doi.org/10.4000/books.editionscnrs.20128.
    Boustany, Joumana. « Le champ de l’information literacy en France à travers les publications scientifiques ». Cultures de l’information, édité par Vincent Liquète, CNRS Éditions, 2014, https://doi.org/10.4000/books.editionscnrs.20128.

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    Liquète, Vincent, éditeur. Cultures de l’information. CNRS Éditions, 2014, https://doi.org/10.4000/books.editionscnrs.20083.
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