LA GIPSY

Ballet-pantomime en trois actes et cinq tableaux d’Henri de Saint-Georges.

Musique de François Benoist (A. I), Ambroise Thomas (A. II) et Aurelio Marliani (A. III).

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 28 janvier 1839

Chorégraphie de Joseph Mazilier.

Décors de René Philastre et Charles Cambon.

Costumes de Paul Lormier.

A. I : Paysage d’Écosse. À g., le château de Lord Campbell.

A. II, t. 1 : Vaste tente placée dans une rue d’Édimbourg.

A. II, t. 2 : La grande foire d’Édimbourg.

A. II, t. 3 : Une salle de l’hôtel de Lord Campbell.

A. III : Riche salon du château de Lord Campbell.

1. Treize maquettes de costumes par Paul Lormier

Plume, aquarelle et gouache. En partie signées et datées : 1838.

H. 150-230 x L. 110-200 mm. – Pag. 63-75.
[D. 216 (12)

Les ff. 64, 65, 69, 72-75 ne sont ni signés ni datés.

GISELLE OU LES WILLIS

Ballet fantastique en deux actes de Théophile Gautier et Henri de Saint-Georges.

Musique d’Adolphe Adam.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 28 juin 1841

Chorégraphie de Jean Coralli et Jules Perrot.

Décors de Pierre-Luc-Charles Ciceri.

Costumes de Paul Lormier.

A. I : Riante vallée en Allemagne. Chaumière de Giselle.

A. II : Une forêt sur le bord d’un étang.

1. Maquette construite de l’acte II, par Pierre-Luc-Charles Ciceri

Crayon.

1 plantation.

1 toile de fond.

5 principales.

6 éléments divers.
[Maq. A 300

Prov. : Fonds Taglioni.

2. Six maquettes de costumes par Paul Lormier

Crayon, plume, aquarelle. En partie signées et datées : 1841.

H. 150-230 x L. 075-150 mm. – Pag. 75-80.
[D. 216 (13)

Les ff. 78-80 ne sont ni signés ni datés.

1 fol. d’une autre main. – H. 195 x L. 143 mm. – Pag. 81.

3. Carlotta Grisi dans le rôle de Giselle, par Alfred-Édouard Chalon

Aquarelle. Signée et datée en bas : A. E. Chalon R. A. etc. etc. 1843.

H. 410 x L. 280 mm.
[Musée 285

Créatrice du rôle.

4. Fitz-James et Mabille dans Giselle

Dessin anonyme. Crayon, aquarelle. S. d.

H. 198 x L. 256 mm.

[Dessins Portr.

À la création, Mabille dansait le rôle de Hilarion.

Reprise le 8 mai 1863

Décors d’Édouard Despléchin (A. I), Charles Cambon et Joseph Thierry (A. II). Costumes d’Alfred Albert, Paul Lormier.

Pour le décor de l’acte I, on avait utilisé l’acte III de Tannhäuser, retouché par Despléchin.

« La grande innovation se trouvait dans le dernier acte : c’était l’emploi de grands miroirs pour le lac. Placés à des angles différents par rapport aux yeux des spectateurs, ils produisaient un espace mort d’où pouvaient surgir les willis sans détruire l’illusion qu’elles venaient du lac » (E. Binney, Les Ballets de Théophile Gautier, p. 65).

5. Treize maquettes de costumes par Alfred Albert

Crayon, aquarelle. En partie signées et datées : 1863.

H. ca 280 x L. 200 mm. – Pag. 7-19.
[D. 216 (22)

Les ff. 17 et 18 ne sont pas signés.

Le fol. 14 est signé : Gondoin.

GRAZIOSA

Ballet-pantomime en un acte de J. Derley.

Musique de Théodore Labarre.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 25 mars 1861

Chorégraphie de Lucien Petipa.

Décors de Charles Cambon et Joseph Thierry.

Costumes d’Alfred Albert.

Acte unique : Place publique dans une petite ville italienne.

1. Une maquette de costume par Alfred Albert

Crayon, aquarelle, gouache. Signée et datée : 1861.

H. 230 x L. 150 mm. – Pag. 71.
[D. 216 (21)

GRETNA GREEN

Ballet-pantomime en un acte de Charles Nuitter.

Musique d’Ernest Guiraud.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 5 mai 1873

Chorégraphie de Louis Mérante.

Décors d’Auguste Rubé et Philippe Chaperon.

Costumes d’Alfred Albert.

Acte unique : Entrée du village de Gretna Green. Riante campagne.

À g., l’auberge ; à dr., l’atelier du forgeron.

1. Étude pour la maquette construite, par Émile Daran

[Maq. A 115

2. Maquette construite par Auguste Rubé et Philippe Chaperon

[Maq. 363

3. Dix-neuf maquettes de costumes par Alfred Albert

Crayon, aquarelle. En partie signées et datées : 1872 ou 1873.

H. 260-320 x L. 160-240 mm. – Pag. 21-39.
[D. 216 (24)

Les ff. 22, 31, 37 ne sont pas signés.

Les ff. 10, 13, 14 sont signés des deux initiales : A. P.

Tous les autres sont signés par A. Albert.

GRISELIDIS OU LES CINQ SENS

Ballet-pantomime en trois actes et cinq tableaux de Philippe Dumanoir.

Musique d’Adolphe Adam.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 16 février 1848

Chorégraphie de Joseph Mazilier.

Décors de Charles Cambon et Joseph Thierry.

Costumes de Paul Lormier.

A. I, t. 1 : Prague. Une galerie de la résidence royale.

A. I, t. 2 : Une place de village.

A. II : Le toucher.

A. III, t. 1 : L’odorat et le goût.

A. III, t. 2 : La vue.

1. Esquisse de décor de l’acte II, tableau 1, par Charles Cambon

Les jardins du palais d’Hassan, à Belgrade.

Fusain et rehauts de blanc, sur papier beige. Non signée, s. d.

H. 437 x L. 575 mm.
[Esq. Cambon 52

2. Esquisse de décor de l’acte III, tableau 2, par Charles Cambon

Le palais de l’Hospodar à Jassy.

Pastel (brun), sur papier beige. Non signée, s. d.

H. 467 x L. 610 mm.
[Esq. Cambon 53

3. Huit maquettes de costumes par Paul Lormier

Crayon, plume, aquarelle. En partie signées et datées : 1848.

H. ca 220 x L. 180-230 mm. – Pag. 38-45.
[D. 216 (16)

LE GUÉRILLERO

Opéra en deux actes de Théodore Anne.

Musique d’Ambroise Thomas.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 22 juin 1842

Décors de Charles Séchan, Jules Dieterle, Édouard Despléchin.

Costumes de Paul Lormier.

A. I : Entrée d’une forêt.

A. II : Une grande salle de château de style mauresque.

1. Quatre maquettes de costumes par Paul Lormier

Gouache, aquarelle. Signées et datées : 1842.

H. 230-265 x L. 150-180 mm. – Pag. 2-5.
[D. 216 (14)

GUIDO ET GINEVRA OU LA PESTE DE FLORENCE

Opéra en cinq actes d’Eugène Scribe.

Musique de Jacques-Fromental Halévy.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 5 mars 1838

Divertissements de Joseph Mazilier.

Décors de René Philastre et Charles Cambon.

Costumes de Paul Lormier.

A. I : Un village près de Florence.

A. II : Le palais de Cosme de Médicis, à Florence.

A. III : La cathédrale de Florence. Au-dessous, les caveaux de l’église.

A. IV : Salon élégant dans le palais de Manfredi.

A. V : Le village de Camaldoli, aux pieds des Apennins.

1. Étude pour la maquette construite de l’acte V, par Contant

Plantation.
[Maq. A 114

2. Trente et une maquettes de costumes par Paul Lormier

Crayon, plume, aquarelle, gouache. En partie signées et datées : 1837 ou 1838.

H. 170-270 x L. 130-280 mm. – Pag. 3-35.
[D. 216 (12)

Les ff. 11-14, 19, 26, 28, 31-33, ne sont ni signés ni datés.

Les ff. 34 et 35 présentent deux gravures coloriées par Gatine, d’après Lanté.

3. Six maquettes de costumes par Eugène Du Faget

Aquarelle. Non signées, s. d.

H. 120-205 x L. 080-115 mm. – Pag. 89-93. [D. 216 (O²)

Les interprètes de la création :

M^me Stoltz (Ricciarda), M^me Dorus-Gras (Ginevra) ; MM. Duprez (Guido), Massol (Forte-Braccio), Derivis (Manfredi).

GUILLAUME TELL

Opéra en quatre actes d’Hippolyte Bis et Étienne de Jouy.

Musique de Gioacchino Rossini.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 3 août 1829

Divertissements de Jean-Pierre Aumer.

Décors de Pierre-Luc-Charles Ciceri.

Costumes d’Hippolyte Lecomte.

A. I : Vue de l’habitation de Guillaume Tell.

A. II : Le lac des Quatre Cantons.

A. III : Grande place d’Altorf.

A. IV, t. 1 : Un grand chalet.

A. IV, t. 2 : Vue des montagnes et du lac.

Ensemble de 6 dessins préparatoires à la gravure,

ou états gravés modifiés au lavis, relatant l’histoire de Guillaume Tell, par Charles Chasselat. – 6 ff., 1816.
[Esq. 19 (213-218)

Chaque folio est décrit séparément :

1. Scène représentant le fils de Guillaume Tell attaché à un arbre

Grav. par Noël jne, d’après Chasselat, avec découpes et collages de dessins au lavis.

H. 290 x L. 350 mm. (dimension totale de la pl.). – Pl. 213.

2. Même scène modifiée

Lavis et plume. Signée et datée en bas : Ch. Chasselat inv. et del. 1816.

H. 260 x L. 355 mm. – Pl. 214.

3. Scène représentant l’enfant courant vers les bras de sa mère, après l’exploit de son père

Plume, lavis. Signée et datée en bas : Ch. Chasselat inv. et del. 1816.

H. 260 x L. 350 mm. – Pl. 215.

4. Scène représentant Guillaume tuant Gessler d’une flèche, dans la montagne

Plume, lavis et collages, avec rehauts de blanc. Signée et datée en bas : Ch. Chasselat inv. et del. 1816.

H. 265 x L. 355 mm. – Pl. 216.

5. Trois études de Guillaume Tell avec l’arc

Pl. 217 :

2 lavis non signés, s. d.
H. 245 x L. 150 mm (chacun).

1 grav. avec collages de lavis rehaussés de blanc. Non signée, s. d.
H. 173 x L. 135 mm.

6. Scène représentant l’enfant courant vers les bras de sa mère, après l’exploit de son père

Pl. 218 :

Plume, lavis et rehauts de blanc. Non signée, s. d.

H. 245 x L. 338 mm.

7. Détail de l’acte I, par Pierre-Luc-Charles Ciceri

« 1^re décoration au 2^e plan. Du 2 au 4 ». La maison de Guillaume Tell.

Crayon signé en bas à dr. :

C. 25, s. d.

H. 255 x L. 250 mm.
[Esq. Ciceri 12

8. Détail de l’acte I ( ?), par Pierre-Luc-Charles Ciceri

Un arbre «6^e plan».

Crayon, plume. En haut, à l’encre : « Guillaume Tell. Opéra ». Non signé, s. d.

H. 440 x L. 320 mm.
[Esq. Ciceri 11

9. Trois plantations aquarellées avec annotations ms., par Contant

[Maq. A 116

10. Dix-huit maquettes de costumes par Hippolyte Lecomte

Crayon, plume, aquarelle. Non signées, s. d.

H. ca 200 x L. 130-155 mm. – Pag. 98-115.
[D. 216 (8)

11. Trois maquettes de costumes par Eugène Du Faget

Aquarelle. Non signées, s. d.

H. 205 x L. 085-115 mm. – Pag. 30-32.
[D. 216 (O²)

Interprètes de la création : Adolphe Nourrit (rôle d’Arnold Melcthal), M^me Cinti-Damoreau (Mathilde), Levasseur (Walter).

12. Portrait d’Henri Bernard Dabadie dans le rôle de Guillaume Tell, par François-Gabriel-Guillaume Lepaulle

Huile sur toile. Signé et daté en bas à dr. : G. Lepaulle 1836.

H. 445 x L. 370 mm.
[Musée 741

Créateur du rôle.

Prov. : Don de M^me Lami, petite-fille de Dabadie, en 1933.

13. Gilbert Duprez dans le rôle d’Arnold

Caricature par Eugène Legenisel.

Fusain sur papier teinté. Non signé, s. d.

H. 285 x L. 215 mm.
[Dessins Portr.

Interpréta le rôle en 1837.

Reprise le 26 février 1875 (salle Garnier)

Mise en scène de Léon Carvalho.

Décors d’Auguste Rubé et Philippe Chaperon (A. I), Charles Cambon (A. II), Antoine Lavastre et Édouard Despléchin (A. III), Jean-Louis Chéret (A. IV).

Costumes d’Alfred Albert et Paul Lormier.

14. Maquette construite de l’acte I, par Auguste Rubé et Philippe Chaperon

[Maq. 14

15. Maquette construite de l’acte II, par Charles Cambon

[Maq. 15

16. Maquette construite de l’acte III, par Antoine Lavastre et Édouard Despléchin

[Maq. 16

17. Rideau de l’acte IV, tableau 1, par Jean-Louis Chéret (partant à vue)

[Maq. 17

18. Maquette construite de l’acte IV, tableau 2, par Jean-Louis Chéret

[Maq. 18

19. Deux maquettes de costumes par Alfred Albert et Paul Lormier

Aquarelle et gouache. Signées et datées : 1875.

H. 300 x L. 215 mm. – Pag. 88-89.
[D. 216 (24)

Le fol. 88 est signé : P. L.

Le fol. 89 est signé : A. Albert.

20. Une maquette de costume par le comte Lepic, pour une reprise vers 1885

Crayon, aquarelle. Signée et datée : 1885.

H. 255 x L. 175 mm. – Pag. 90.
[D. 216 (24)

Reprise le 6 mars 1899

Mise en scène de Lapissida.

Décors d’Auguste Rubé et Marcel Moisson (A. I), Marcel Jambon et Alexandre Bailly (A. II, IV), Eugène Carpezat (A. III).

21. Cinq maquettes de costumes par Charles Bétout et Jules Muelle

Crayon, plume, aquarelle. En partie signées, s. d.

H. ca 300 x L. 235 mm.
[Fonds Muelle 9

Les ff. 1, 4 sont signés par Bétout.

Le fol. 5 est de la main de Muelle.

GUSTAVE III OU LE BAL MASQUÉ

Opéra historique en cinq actes d’Eugène Scribe.

Musique de Daniel-François-Esprit Auber.

Création au Théâtre de l’Opéra (salle Le Peletier) le 27 février 1833

Divertissements de Philippe Taglioni.

Décors de Léon Feuchère (A. I ; V, t. 2), Jules Dieterle (A. II), Alfred (A. III), Pierre-Luc-Charles Ciceri (A. IV), René Philastre et Charles Cambon (A. V, t. 1). Exécutés par Philastre et Cambon ou Ciceri.

(L’affiche de la reprise du 2 juillet 1838 n’indique que les noms de Ciceri, Philastre et Cambon).

Costumes d’Eugène Lami et Paul Lormier.

A. I : Vaste et riche salon d’attente dans le palais du roi à Stockholm.

A. II : La maison de la devineresse.

A. III : Un site affreux et sauvage aux environs de Stockholm.

A. IV : Le cabinet de travail d’Ankastrom.

A. V, t. 1 : Une galerie du palais attenant à la salle de l’Opéra.

A. V, t. 2 : La salle de bal.

« La grande affaire de l’Opéra, en montant Gustave, ce n’était, il faut bien le dire, ni le drame de M. Scribe, ni la musique de M. Auber ; mais la mise en scène d’un ballet splendide, réglé par M. Duponchel au cinquième acte de l’ouvrage. La vaste scène de l’Académie Royale de Musique devait représenter un coup d’œil féerique, un spectacle vraiment nouveau, et comme il s’agissait d’un bal masqué, on avait voulu étaler toutes ces magnificences en plein carnaval parisien. L’assassinat du roi de Suède n’était qu’un thème, la conspiration qu’un moyen d’arriver au galop monstre. Le bal de Gustave, c’était le bal de l’Opéra réalisant, dans une société positive, la merveille d’un conte des Mille et Une Nuits. » (B. Jouvin, D.-F.-E. Auber, sa vie et ses œuvres, 1864).

Pourtant, certains, mais ils furent rares, dénoncèrent ce luxe de mise en scène et la recherche de vérité excessive dans les décors. Se référant à la Juive et à Gustave, Delacroix écrit dans son Journal : « Dans le premier, on voyait de vraies statues sur la scène et autres accessoires qu’on imite ordinairement par la peinture. Dans Gustave, il y avait de vrais rochers, imités à la vérité, mais par des blocs saillants. Ainsi, par l’amour de l’illusion on arrivait à la supprimer tout à fait. On conçoit que des colonnes ou des statues placées sur la scène dans la condition ou on voit ordinairement les décorations et éclairées par des lumières venant de tous côtés perdent tout espèce d’effet ; c’est à cette époque qu’on introduisit sur la scène de vraies armures, etc. ; on revenait ainsi à l’enfance de l’art à force de perfectionnements […] On nous dit que les pièces de Shakespeare ont été en général représentées dans des espèces de granges, et on n’y faisait pas tant de façon. Les changements perpétuels de décoration qui, pour le dire en passant, semblent le fait d’un art déjà perverti plutôt qu’avancé, étaient exprimés par un écriteau où l’on voyait : ceci est une forêt ; ceci est une prison, etc. Dans ce cadre de convention, l’imagination du spectateur voyait s’agiter des personnages animés de passions prises sur la nature, et cela suffisait » (9 avril 1856).

1. Esquisse de décor de l’acte III, par Pierre-Luc-Charles Ciceri

Aquarelle, gouache. Signée et datée en bas à dr. : Ciceri 1833.

H. 260 x L. 340 mm.
[Musée 273

Vue saisissante des gibets où sont suspendus les corps des suppliciés. Les arbres et les rochers teintés d’une lumière verdâtre, les corbeaux dans ce paysage lunaire, donnent à cette scène un aspect lugubre et dramatique.

2. Esquisse de décor de l’acte IV, par Pierre-Luc-Charles Ciceri

Crayon, lavis de sépia. Non signée, s. d.

H. 185 x L. 233 mm.
[Rés. 1018

Fol. 9 v°, n^o 26.

À dr., une cheminée et deux vases. Au fond, un bureau, et au mur, une pendule, une carte et un portrait en pied du roi.

3. Esquisse de décor de l’acte V, tableau 2, par Charles Cambon

Plume, encre brune, lavis d’encre et rehauts de gouache. Non signée, s. d.

H. 460 x L. 595 mm.
[Esq. Cambon 54

Architecture grandiose de la salle de bal dans le palais de Stockholm.

À g., un escalier. Personnages aquarellés avec touches de gouache, de la main de Diaz.

4. Quarante maquettes de costumes par Eugène Lami et Paul Lormier

Crayon, aquarelle. En partie signées et datées : 1832 ou 1834.

H. 150-300 x L. 110-280 mm. – Pag. 3-42.
[D. 216 (11)

Selon une note portée sur la page de garde de l’album, les croquis des ff. 3, 4, 5 sont de la main d’Eugène Lami. Les autres sont de Paul Lormier, sauf le fol. 37.

Les ff. 17-35 sont des calques ou des esquisses d’après Boquet, pour la scène du bal de l’acte V.

Le fol. 42 représente Deburau en costume de Pierrot. Il s’agit d’une litho. de Rigo, d’après Alexandre Lacauchie.

5. Dix maquettes de costumes par Eugène Du Faget

Aquarelle. Non signées, s. d.

H. 110-225 x L. 060-315 mm. – Pag. 57-65.
[D. 216 (O²)

Les interprètes de la création : Levasseur, A. Nourrit, M^mes Falcon, Dabadie, Dorus, Montessu.

6. Lise Noblet en costume de folie

Aquarelle anonyme, s. d.

H. 485 x L. 330 mm.
[Dessins Portr.

GWENDOLINE

Opéra en trois actes de Catulle Mendès.

Musique d’Emmanuel Chabrier.

Création à Bruxelles le 10 avril 1886.

Première au Théâtre de l’Opéra (salle Garnier) le 27 décembre 1893

Mise en scène de Lapissida.

Décors d’Amable et Eugène Gardy.

Costumes de Charles Bianchini.

A. I : Habitation du vieil Armel au bord de la mer.

A. II : Petite salle parée d’étoffes claires et de fleurs.

A. III : Site farouche au bord de la mer.

1. Maquette construite de l’acte I, par Amable et Eugène Gardy

[Maq. 260

2. Vingt-trois maquettes de costumes par Charles Bianchini

Crayon, plume, aquarelle. Non signées, s. d.

H. 160-320 x L. 080-225 mm. – Pag. 89-111.
[D. 216 (48)

3. Quatre maquettes de costumes par Charles Bétout, pour une reprise non identifiée

Plume, aquarelle. En partie signées, s. d.

H. 300 x L. 230 mm.
[Muelle 9

Seul le fol. 2 n’est pas signé.

Reprise le 3 mai 1911

4. Quatre maquettes de costumes par Joseph Pinchon

Crayon, encre de Chine, aquarelle, rehauts de gouache. Portent la mention : « par Mr Pinchon », s. d.

H. 300 x L. 190-210 mm. – Pag. 31-34.
[D. 216 (73)