1 Sanders, Bartos 2011 ; Jaouen, Poletto 2014 ; oui et al. 2017 ; Jambu 2017a ; Bernard-Maugiron et al. 2017.
2 Le Prince de Conty (Belle-Île, 1746) est une épave à peu près comparable en ce qu’elle contenait des métaux précieux et a été pillée. Il ne s’agissait cependant pas de pièces de monnaies d’argent provenant d’Amérique, mais de lingots d’or achetés en Asie, dont la fouille et la publication ont été partielles. Voir notamment L’Hour, Richez 1989, p. 1989.
3 Dermigny 1954, p. 240.
4 Jaouen et al. 2017, p. 45-63.
5 Bartolomei 2011, p. 187 et suiv.
6 Cité par Ozanam 1968, p. 259 et Garcia-Baquero, Collado 1990, p. 173.
7 Buti 1994, p. 212-213.
8 Courdurié, Rebuffat 1966.
9 Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b6949276k.r=Port%20de%20Cadix?rk=150215;2
10 Dornic 1954, p. 320.
11 Courrier d’Avignon, 2 décembre 1755 et 6 janvier 1756.
12 Idem, 25 novembre 1755 (voir transcription annexe I.5).
13 Archives nationales (ci-après AN), AE BI272, f° 217-220 (7 octobre 1755).
14 Idem, f° 225-226 (10 octobre 1755).
15 Ibidem, f° 237-238 (4 novembre 1755).
16 Ibid., f° 253 (21 novembre 1755).
17 Ibid., f°245-246 (18 novembre 1755).
18 Courrier d’Avignon, 13 janvier 1756 (voir transcription annexe I.5).
19 Archives de la chambre de commerce et d’industrie de Marseille (ci-après ACCIM), L09/410, 26 novembre 1755.
20 Carrière 1973, I, p. 555-556.
21 Jaouen et al. 2017, p. 68-69.
22 AN, AE BI271, f° 117-122.
23 AN, AE BI272, f° 253.
24 Jaouen et al. 2017, p. 43.
25 Précisément pour 8 000 dalles suédoises. Archives départementales de l’Hérault (ci-après ADH), 4B 302, 5 décembre 1755.
26 Mémoire Roux cité par Carrière 1973, II, p. 723-724.
27 Buti 1994, p. 212-213.
28 Lupo 2015.
29 Carrière 1973, I, p. 83.
30 Idem, I, p. 423-425.
31 Lupo 2015, p. 613.
32 Carrière 1973, II, p. 722.
33 Appelé ainsi dans les archives notariales de Cadix (Archives historiques provinciales de Cadix [ci-après AHPC], Protocolos notariales, Cadix, 1613, 1615 et 1616, notaire Juan Carrega, années 1754, 1755 et 1756).
34 AN, AE BI278, f° 375-376.
35 Informations extraites de l’« Index prosopographique » de la Correspondance des consuls de France à Cadix (1666-1792), conservée aux Archives nationales, réalisé par Anne Mézin, p. 617 (consultable en ligne sur le site Internet des AN :
https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/mm/media/download/FRAN_ANX_011370.pdf).
36 Idem, p. 628.
37 Ozanam 1968, p. 270.
38 Idem, p. 273.
39 En 1771, la première classe était réservée aux maisons ayant plus de 150 000 livres de capital.
40 Ozanam 1968, tableau hors texte.
41 À Cadix, au xviiie siècle, la colonie marchande française a toujours été la plus nombreuse (Le Gouic 2008, p. 288). Après la guerre de Sept Ans, en 1764, les marchands étrangers étaient 506, dont 219 Français, sans compter leurs personnels, familles, etc. (Le Gouic 2005, p. 71). Les marchands français, qui étaient cependant deux fois moins nombreux que les marchands espagnols entre 1753 et 1762, détenaient la moitié des ressources financières de la place (Bartolomei 2010, p. 113-114).
42 Dermigny 1954, p. 241.
43 Malgré nos recherches aux différents dépôts d’archives de Séville et de Cadix (Archives des Indes, Archives historiques provinciales et Archives municipales).
44 ACCIMP, L09/851, 1er avril 1755 et 27 janvier 1756.
45 Archives de la Bibliothèque municipale et universitaire de Genève (ci-après ABG), ms. fr 983, 21 novembre 1755 (voir transcription annexe I.4).
46 ACCIMP, L09/851 (correspondance à l’arrivée, Verduc, Vincent et Compagnie) et Lupo 2002. La maison Gough, Jolif et Lecouteulx fournissait également les Roux en piastres (Dermigny 1954, p. 241).
47 Lupo 2002, p. 47.
48 ADH, 4B 302, 16 novembre 1755 (voir transcription annexe I.1).
49 AN, AE BI272, f° 181-182.
50 Courrier d’Avignon, 6 janvier 1756.
51 Carrière 1973, II, p. 654.
52 ACCIM, L09/410, 26 novembre (voir transcription annexe I.3) et 15 décembre 1755.
53 Voir section 4.
54 ACCIM, L09/410, 15 décembre 1755.
55 ADH, 4B 302, 17 novembre 1755.
56 Idem, 15 novembre-12 décembre 1755.
57 Face à ce qui est aujourd’hui la commune de Villeneuve-lès-Maguelone, à 150 m du rivage à l’époque et 300 m aujourd’hui, par environ 5 m de profondeur. Jaouen et al. 2017, p. 42-44.
58 On songe par exemple à la Vue du port de Sète (fig. 5), censée représenter, à la même époque, une scène de perdition se déroulant à quelques lieues du site du naufrage de la Jeanne-Élisabeth. Il est remarquable que, dans son livret de présentation, on lise la description suivante : « Cette vue est prise du côté de la mer, derrière la jetée isolée ; comme ce port est au fond du golfe de Lyon, et que la mer y est souvent agitée, surtout par le vent du sud, on y a représenté un temps orageux, avec des bâtiments qui font une manœuvre extraordinaire, mais convenable pour l’entrée de ce port, et au vent par lequel ils entrent. Sur le devant un brigantin maltais surpris par le vent dans ces parages, et n’ayant pu gagner ce port ni doubler la pointe de la jetée isolée, prend le parti d’aller échouer sur le sable, et fait une manœuvre en conséquence. »
59 Jaouen et al. 2017, p. 78-80.
60 ACCIM, L09/410 (correspondance à l’arrivée, Laurent).
61 ADH, 4B 302, 3 décembre 1755.
62 Jaouen et al. 2017, p. 43-44.
63 Sténuit 2012.
64 AN, AE BI271, f° 204-206.
65 ABG, ms. fr. 983, 17 décembre 1755.
66 Information inédite de Francis Dieulafait dans Jaouen, Poletto 2015, p. 49.
67 Dermigny 1954, p. 243.
68 ABG, ms. fr. 983, 31 juillet 1756.
69 Richard 2015, p. 11.
70 Ça m’intéresse, no 281, juillet 2004, p. 52.
71 Une législation spécifique encadre en effet les épaves et, depuis 1989, la catégorie des biens culturels maritimes (BCM). Qu’il s’agisse d’un objet isolé, d’une épave ou d’un site stratifié, la découverte de tout vestige présentant un intérêt préhistorique, archéologique ou historique, en mer et sur l’estran, est soumise à déclaration en vue de son expertise par les services compétents de l’archéologie. Par ailleurs, la découverte d’une épave ou d’un BCM ne vaut aucun droit de propriété, même partiel, à son inventeur. Les BCM sont en effet la pleine propriété de l’État français, qui peut cependant attribuer une récompense selon l’intérêt de la découverte. Depuis 2013, cette législation est appliquée à l’ensemble de la zone économique exclusive française, soit 11 millions de km². Pour en savoir plus, voir L’Hour 2013.
72 Jaouen, Poletto 2015, p. 29.
73 Sarah Finger, « Moi, Pierre, pilleur d’épaves », Libération, 17 décembre 2008.
74 Yannick Philipponnat, « Le procès des pilleurs d’épaves », Midi Libre, 16 septembre 2015, et « Le pilleur de trésor puni… », Midi Libre, 3 décembre 2016 ; Vivien Thivent, « Chasse aux trésors en eaux troubles », Le Monde, 6 février 2016.
75 Premier responsable d’opération entre 2008 et 2011.
76 Remonté lors des fouilles de 2011, il contenait de la vaisselle d’argent (10 assiettes, 10 fourchettes et 10 cuillers) fabriquée à Mexico (Jaouen et al. 2018, p. 73).
77 Jaouen, Poletto 2015 et 2016.
78 Comme à Vanikoro par exemple (Lapérouse 2008, p. 320-325).
79 Mercedes 2014.
80 Flotte organisée par convoi par le gouvernement espagnol, généralement chaque année, entre les Indes occidentales, via le Mexique, et l’Espagne.
81 Ordonnance du 9 juin 1728 (Dasí 1951, p. 51).
82 67 réaux étant taillés dans un marc de 1535 à 1728, puis 68 au marc de 1728 à 1825, le marc de Castille pesant 230,04 g.
83 Jaouen, Poletto 2015, p. 30.
84 Comprise la barrette d’argent qui correspondrait à environ 4,8 piastres et la pièce de 2 réaux. On arrondit le compte à 5 piastres.
85 Cela équivaut également à la somme de 23 442 réaux de plata.
86 24 360 piastres déclarées - 18 000 piastres volées - 2 935 piastres fouillées = 3 425 piastres manquantes.
87 ABG, ms. fr. 983, 3 décembre 1755
88 ACCIM, L09/410, 28 juillet 1756.
89 Jaouen, Poletto 2016, p. 33-34, et Jaouen et al. 2017, p. 78.
90 Bernard-Maugiron et. al. 2017.
91 On ne peut en aucun cas, comme dans l’article ci-dessus, avancer qu’il s’agit d’« une bourse d’officier ».
92 2009 et 2010.
93 Étudiées par Jacques Messonnier (Jaouen et al. 2017, p. 78).
94 Calicó 2008, p. 453, type 53, no 246.
95 Nous retirons de ce compte les 32 piastres et demie trouvées en 2015 dans une autre zone et peut-être résiduelles du pillage.
96 Jaouen, Poletto 2015, p. 29.
97 La barrette d’argent était dans un lot de pièces de 4 réaux.
98 Jaouen, Poletto 2015, p. 31.
99 Mercedes 2014, p. 209 et p. 233.
100 Idem, p. 239.
101 Jaouen, Poletto 2015, p. 30.
102 ACCIM, L09/410, 24 novembre, 3 et 15 décembre 1755.
103 Mercedes 2014, p. 233.
104 ACCIM, L09/851, 20 avril 1756.
105 ACCIM, L09/410, 24 décembre 1755.
106 Idem, 24 novembre 1755.
107 AN, AE BI272, f° 217-220.
108 Le Gouic 2005, p. 87-92.
109 Jaouen, Poletto 2015, p. 21.
110 Microscope électronique à balayage-Energy Dispersive X-Ray Analysis.
111 Diffraction des rayons X. Nous remercions Emmanuel Veron et Domingos De Sousa Meneses (CEMHTI, CNRS d’Orléans) qui ont procédé aux analyses par DRX et par spectroscopie infrarouge.
112 North, MacLeod 1987.
113 MacLeod 1991, p. 225.
114 Au contraire des monnaies de la Mercedes par exemple, qui étaient toutes vertes d’oxydation (Mercedes 2014, p. 185).
115 Sauf pour la pièce de Madrid, frappée avant la réforme, au poids légal de 27,47 g. Elle est cependant beaucoup trop légère avec 24,48 g, soit une faiblesse de poids de près de 3 g (11 %). Son état de conservation indique que c’est son séjour prolongé en milieu sous-marin qui est à l’origine de cette perte.
116 Jaouen, Poletto 2015, p. 47-48.
117 Le Chameau 1971.
118 Mercedes 2014, p. 168-169.
119 Lapérouse 2008, p. 184, 205 et 320-325.
120 Dasí 1951, p. 52-54 et p. LXVIII-LXXIII.
121 Idem, p. 62, no 464.
122 Ibidem, p. 84.
123 Abot de Bazinghen 1764, II, p. 478-479.
124 Et non 1752, comme il est parfois écrit (Burzio 1958, p. 43).
125 Dasi 1951, p. 140, no 646A et Calicó 2008, p. 543, nos 305-306. Il y en a deux, en revanche, à ce millésime dans le lot pillé (nos 3716 et 3717) (voir plus loin).
126 Et non Carasa, comme parfois indiqué (Pellicer I Bru 2010, p. 187).
127 Et non Abarca, de même.
128 Nous confirmons ce nom, qui n’est pas certain pour Pellicer I Bru 2010.
129 “Que Don Manuel de Iglesia Albaxa, queda en posesion y en exercio de su empleo ensayador supernumerario de aquella Casa de Moneda y que Don Domingo Eyzaguirre que le servia interinamente queda sin destino en ella.” Archives des Indes (ci-après ADI), Lima, 1262B.
130 Dasi 1951, p. 84-87 (type no 61 pour Philippe V) et p. 132-134 (type no 68 pour Ferdinand VI).
131 Il n’y avait pas, ni dans le lot fouillé, ni dans le lot pillé (voir plus loin), les très rares premières pièces frappées mécaniquement et millésimées 1732 ou 1733.
132 1734, 4 sur 3 ; 1739, 9 sur 6, 7 ou 8 ; etc. Voir Calicó 2008, p. 472.
133 Calicó 2008, p. 472.
134 Pas plus, d’ailleurs, que sur les quatre exemplaires du lot saisi.
135 Trois sont indéterminées.
136 Calicó 2008, p. 544.
137 Dasi 1951, p. 132-133, subtipo A (“rematadas por corona real”) et subtipo B (“la de la izquierda por corona imperial y la de la derecha pro corona real”).
138 Jaouen, Poletto 2015, p. 46.
139 Menzell 2004, p. 316-317.
140 Burzio 1945, p. 49 ; Menzell 2004, p. 359.
141 À l’occasion de sa réouverture définitive, en 1683 (Burzio 1958, p. 36 ; Menzell 2004, p. 197 et 200).
142 Burzio 1958, p. 42 ; Menzell 2004, p. 198 et 231.
143 Menzell 2004, p. 351, écrit par exemple à propos des pièces frappées entre 1741 et 1744 par l’essayeur José Carnizer : “[He] produced a coinage with incomplete centers and nonexistent legends.”
144 “It is difficult to find silver coins of Louis in the major denominations whose legends render the king’s name in even partially legible forme”, (Menzell 2004, p. 214).
145 Des pièces de monnaie bien rondes et assez larges pour y faire figurer les légendes étaient régulièrement fabriquées dans les ateliers afin d’être offertes aux officiels, distribuées lors des donations, etc.
146 Cf. Menzell 2004, p. 224.
147 “Forma corazón” ou “Heart-shaped pieces”.
148 Burzio 1945, p. 59-60.
149 Menzell 2004, p. 326 pour les premiers exemplaires et p. 354 pour les derniers, vers 1759.
150 Idem, p. 352 (type II).
151 Ibidem, p. 226.
152 “With the exception of a few mediocre presentation pieces, the quality of the workmanship and striking of assayer R’silver pieces was abysmal.”
153 Calicó 2004, p. 169-170.
154 Menzell 2004, p. 460 et Calicó 2008, p. 542 (type 78, no 284).
155 Menzell 2004, p. 455-456.
156 Lázaro 1996.
157 Calicó 2008, p. 470, type 140, no 727 (« Rarísima »). Menzell 2004, p. 127, présente un exemplaire similaire millésimé 1734. Herrera 1914, II, pl. XIV, no 5 en présentait un de 1733 mais surfrappé pour les républiques d’Amérique centrale vers 1850.
158 Cf. Lázaro 1996, p. 54-55, Menzell 2004, p. 221 et Calicó 2008, p. 466.
159 Calicó 2008, type 149, variété g, no 832 (1735) manque, mais cf. nos 845-847 (1744-1746). Menzell 2004, p. 347, présente des flans courts pour 1735 et 1736 mais dont on distingue encore des morceaux de légende. Il montre des pièces équivalentes à notre exemplaire, millésimées 1742 et 1743, p. 351. Puis cette forme deviendra habituelle dans les années 1750 (p. 354-355).
160 Calicó 2008, p. 554, no 334 et Cayon 2005, p. 1050-1051, no 10591.
161 Dasí 1951, p. 51.
162 Arrêt du Conseil d’Etat du roi qui ordonne que les piastres neuves du Mexique ne seront dorénavant payées dans les hôtels des Monnoyes que sur le pied de 40 livres 9 sols 4 deniers le marc, Paris (?), 12 mai 1725 (CAEF, MdP, ms. 4° 116).
163 Abot de Bazinghen 1764, p. 479.
164 “La moneda acuñada en Potosí hasta 1773 fué defectuosa en su peso y ley” (Burzio1945, p. 7).
165 Cf. notre article, « Le temps de l’Espagne », dans ce volume.
166 Laser Ablation Inductively Coupled Plasma Mass Spectrometry (spectrométrie de masse couplée à un plasma inductif avec prélèvement par ablation laser).
167 Burzio 1945, p. 57.
168 Dermigny 1954, p. 243.
169 Le Roy Ladurie et al. 1990.
170 Le Roy Ladurie et al. 1972.
171 Voir l’annexe qui présente les résultats de l’analyse neutronique d’une série de monnaies de Potosí dans Le Roy Ladurie et al. 1990, p. 502, ainsi que le graphique p. 489. Nous précisons que les quelques monnaies qui donnent des résultats en contradiction avec cette observation ont en fait été mal identifiées et ne sont pas potosiennes.
172 Le Roy Ladurie et al. 1990, p. 489 et 502.
173 Navires autorisés à réaliser la liaison en dehors des Flottes, notamment lorsqu’elles sont suspendues, comme à cette époque.
174 Morineau 1985, p. 392.
175 Idem, p. 393.
176 AN, AE BI272, f° 5-7.
177 Tucci 1984, p. 344. Le rapport or/argent était précisément de 15,5/1 dans tout l’Empire espagnol depuis 1730, contre 14,5/1 en France.
178 Morineau 1984, p. 123.
179 ACCIM, L09/410, 1er décembre 1755.
180 ACCIM, L09/410, 11 mars 1755.
181 ADI, Contratación 2778, ACCIM, L09/410 et Morineau 1985, p. 390.
182 Une note à cette date de la Monnaie de Lima annonçait que la Begoña allait partir « dans peu de temps ». ADI, Lima, 1262B.
183 L’Amable Maria, arrivée à Cadix dès le 21 juillet, en provenance de Callao et de Valparaiso, était sans doute partie trop tôt. Elle transportait cependant les boîtes des échantillons des monnayages délivrés par la Monnaie de Lima en 1754, qui lui furent envoyées le 3 janvier 1755. ADI, Lima, 1262B, Contratación 2280.
184 ACCIMP, L09/410, 26 novembre 1755 (voir transcription annexe I.3)
185 Expression qui revient souvent sous la plume de Daniel Laurent (ACCIM, L09/410, 15 décembre 1755).
186 ADH, 4B 302, 1er décembre 1755.
187 Idem, 3 décembre 1755.
188 Il n’y a en effet pas d’autre combinaison possible pour faire 11 000 livres. Ces deux clients avaient donc commandé trois lots.
189 ACCIM, L09/410, 24 et 28 novembre 1755, 3 décembre 1755, 28 juillet 1756, 1er décembre 1756.
190 ADH, 4B 302, 3 décembre 1755.
191 ACCIM, L09/410, 5 décembre 1755.
192 Ces sacs portaient précisément les nos 192 à 194. ABG, ms. fr. 983, 21 novembre 1755 (voir transcription annexe I.4).
193 Dermigny, 1954, p. 256-257 : « Pire encore, c’est le vaisseau Jeanne et Elisabeth (sic), parti de Cadix avec une cargaison de blé et de piastres, dont trois caisses (sic) pour Lefort-Beaumont, qui fait naufrage (…) en novembre 1755 ».
194 Idem, p. 255-256.
195 « M. Rigail, Aribert et Cie » dans le texte. ACCIM, L09/410, 24 et 28 novembre 1755.
196 Idem, 7 février 1757.
197 Ibidem, 14 avril 1756.
198 ADH, 4B 302, 16 novembre 1755 (voir transcription annexe I.1).
199 Arrêt du Conseil du roi du 4 novembre 1727.
200 Duplessy 1989, p. 318-319.
201 Morineau 1984 et Clairand 1996.
202 « Aix a toujours mal payé : le marché commercial, qu’il soit levantin ou lyonnais, l’emportait », Carrière, 1973, p. 803.
203 Celui-ci ne sera ouvert que tardivement, en 1787.
204 Arrêt du Conseil d’état du roi qui ordonne qu’à commencer du premier septembre suivant, il sera payé par les directeurs des Monnoies, tant aux changeurs qu’aux commerçants, huit deniers pour livre au-delà du prix fixé par les tarifs, sur toutes les espèces et matières d’or et d’argent (…), Versailles, 25 août 1755 (Paris, Imprimerie royale, 1755).
205 Établi par l’arrêt du Conseil du roi rendu à Versailles le 15 juin 1726. Confirmé après de nombreuses prorogations par l’arrêt du Conseil du roi rendu à Fontainebleau le 11 novembre 1738.
206 Déclaration du roi qui permet le commerce et la fonte des matières d’or et d’argent, et des espèces étrangères, Fontainebleau, 7 octobre 1755 (Paris, Imprimerie royale, 1755).
207 ABG, ms. fr. 983, 25 octobre 1755.
208 Morineau 1984 et Clairand 1996.
209 Godefroy 1965, p. 13-15.
210 Benoit 1986, p. 382.
211 Idem, p. 377-379.
212 Carrière, 1973, p. 103-105.
213 Idem, p. 804.
214 Dornic 1954, p. 321.
215 Le Gouic 2008, p. 302-303.
216 ABG, ms. fr. 983, 21, 26 novembre, 17 décembre 1755.
217 Boislisle 1883, p. 295, no 944.
218 Dermigny 1954, p. 250.
219 Lupo 2015, p. 609-624.
220 ABG, ms. fr. 983, 21, 26 novembre, 17 décembre 1755.
221 Dermigny 1954, p. 273.
222 Carrière 1976, p. 14.
223 Abot de Bazinghen, 1764, II, p. 478-479.
224 ABG, ms. fr. 983, 25 octobre et 17 décembre 1755.
225 Leurs contacts étaient MM. Vieusseux et Lagier puis MM. Le Clerc et Grand à Nice, et MM. Gaillard et Villard à Lyon. BG, ms fr. 983, 1er, 25 et 31 octobre, 21 et 26 novembre, 17 décembre 1755, 10 janvier 1756.
226 ABG, ms. fr. 983, 26 novembre 1755 et 23 février 1756.
227 Idem, 23 janvier 1755.
228 Ibidem, 12 mai 1755.
229 ACCIM, L09/851, 4 novembre 1755.
230 ABG, ms. fr. 983, 21 novembre 1755 (voir transcription annexe I.4).
231 ACCIM, L09/851, 9 décembre 1755. Un courrier du 27 janvier 1756 indique qu’ils sont arrivés à bon port.
232 ABG, ms. fr. 983, 12 mai 1755.
233 En février 1755, le consul de Cadix faisait remonter que plusieurs naufrages avaient causé la ruine de quelques maisons de commerce. AN, AE BI272, f°35-37.
234 Cité par Lupo 2007, p. 109.
