1 Avec 20 pièces de plus, le trésor aurait totalisé la valeur d’une livre de 240 deniers, mais rares sont les trésors monétaires qui correspondent à des thésaurisations de sommes rondes, telles qu’on en rencontre davantage dans les sources écrites.

2 Voir ci-dessous, §7, le rapport d’analyse de Maryse Blet-Lemarquand.

3 Duplessy 1985a, et pour les trésors de monnaies d’Orléans Duplessy 2002.

4 Dumas 2013.

5 Voir ci-dessous, §7.1, les données des analyses

6 Dhénin 1978.

7 Duplessy 1999b.

8 Cf. Schulze 2003, p. 327-328 ; Cordero 1846.

9 Duplessy 1985a, 124.

10 Duplessy 1985a, 209.

11 Schulze 2003.

12 Voir ci-dessous, §7.1, les données des analyses.

13 Voir Bompaire, Guerra 2000.

14 Duplessy 1985a, 307 et Dieudonné, Legrand, 1911.

15 Duplessy 1985a, 237.

16 Duplessy 1985a, 372 et Yvon 1959.

17 Ibid.

18 Sérafini 1951.

19 Duplessy 1985a, 209.

20 Poey d’Avant 1858.

21 Duplessy 2004.

22 Legros 1982, 964.

23 Sérafini 1951, 133 (92).

24 D’après Ponton d’Amécourt 1895, p. 147, n^o 28.

25 Duplessy 1995, 39.

26 Cartier 1845.

27 Voir l’article qui lui est consacré dans ce volume.

28 Yvon 1959.

29 Lafaurie 1951.

30 Duplessy 1999.

31 Dumas 2004.

32 Pour le type avec alpha et oméga, toutefois, sur les pièces d’Étampes ils sont appendus à la croix comme ils l’étaient sur les monnaies anonymes d’Orléans ! Mais ils sont dans la même position sur des monnaies de Paris dont les types ont pu influencer le monnayage d’Étampes autant que ceux d’Orléans (cf. Prot 2015).

33 Duplessy 1985a, 91 ; RN 1864, p. 232 ; RN 1845, p. 123.

34 Duplessy 1985a, 285.

35 Duplessy 1985a, 230.

36 Crinon, Tissière 1996, p. 69, n. 12.

37 Duplessy 1985a, 355.

38 Duplessy 1985a, 209.

39 Duplessy 1985a, 7.

40 Duplessy 1985a, 51.

41 Duplessy 1985a, 286.

42 Duplessy 1985a, 262.

43 Duplessy 2004, p. 183.

44 Duplessy 1985a, 146 et Lhéritier 1910.

45 Duplessy 1985a, 1.

46 Mater 1887.

47 Dhénin 1979.

48 Dieudonné 1936, p. 101-102.

49 Duplessy 2004, p. 153-158, n^o 637-655.

50 Duplessy 1985a, 286 les attribue à Louis VII puisque c’est une pièce du type donné à Louis VII qui est la seule monnaie de Bourges gravée dans Le Blanc 1690 auquel renvoyait, tout en parlant de Louis VI, Lecointre-Dupont 1840, p. 47.

51 Mater 1887.

52 En particulier les trésors de Varzy et d’Accolay datables d’après 1168.

53 Mater 1882 et 1887.

54 Buhot de Kersers 1873.

55 Bompaire 2015.

56 Halphen, Poupardin 1913.

57 Duplessy 1985a, 357 : monnaies d’Orléans et de Paris de Louis VI et Louis VII.

58 Voir la carte figurant dans ce volume dans l’étude du trésor du Loiret, p. 8.

59 La succession de multiples émissions à Étampes pourrait correspondre à un rythme triennal sur une vingtaine d’années cf. Prot 2015 qui porte à six le nombre des types différents, auquel aurait pu se substituer, comme à Paris ou à Orléans, le prélèvement d’une taxe triennale destinée à assurer la stabilité monétaire.

60 Duplessy 1985a, 358 et Lafaurie 1976.

61 Duplessy 1985a, 236 ; Soyer 1950 et Clairand 2007.

62 Duplessy 1985a, 342.

63 Duplessy 1985a, 362bis.

64 Duplessy 1985a, 339 et Legrand 1923a.

65 Duplessy 1985a, 371.

66 Dumas-Dubourg 2006.

67 Collin 2017.

68 Duplessy 1985a, 90.

69 Cf. le master de G. Peigney.

70 Duplessy 1985a, 307 et Dieudonné, Legrand 1911.

71 Duplessy 1985a, 237.

72 Duplessy 1985a, 146.

73 Crinon, Tissière 1996, p. 69, n. 12.

74 Duplessy 1985a, 372.

75 Duplessy 1985a, 133.

76 Duplessy 1985a, 1.

77 Duplessy 1985a, 287.

78 Duplessy 1985a, 366.

79 Duplessy 1985a, 14.

80 Duplessy 1985a, 286.

81 Duplessy 1985a, 128.

82 Duplessy 1985a, 252.

83 Le Blanc 1690 ; Duby 1790.

84 Devailly 1973.

85 Voir ci-dessous, § 7.1.

86 En effet, en 1065, c’est à la marquise Adélaïde et à ses fils que l’archevêque de Vienne Léger demande de faire cesser une fabrication de contrefaçons de ses monnaies, de la même façon qu’Odon (vers 1056-1060) avait déjà mis fin à un faux-monnayage à Aiguebelle (Chevalier 1891, p. 24, n^o 61).

87 Tamen et omnibus notum fiat, trapezeta a domno Leone Papa excommunicatus paralysi perculsus membris omnibus dissolutus impiam vitam digna morte finivit. « Mais tous doivent savoir que le changeur excommunié par le pape Léon IX (1048-1054) a fini sa vie d’impiété paralysé et sans l’usage de ses membres par une digne mort. »

88 Feller 1986.

89 Chassaing 1886, n^o 52, p. 110 : « 60 sol melg, de 50 sol. de Dijones quos ipse tradiderat fecerat… ».

90 Concioni 1995, p. 57-58 et 70-72.

91 Bompaire, Teboulbi 2012.

92 Duplessy 1984b.

93 Voir ci-dessous § 7.2.

94 Mater 1887, pl. 2, 7.

95 Voir ci-dessous § 7.3.

96 Ingénieure de recherche au CNRS. Iramat-CEB, UMR5060, CNRS/Université d’Orléans.

97 Nous remercions vivement Felipe Hernandez Rodriguez pour nous avoir autorisée à publier ce rapport d’étude. Nous tenons également à exprimer notre gratitude envers Michel Amandry, directeur du département des Monnaies, médailles et antiques de la BNF jusqu’en 2013, et Jean-Yves Kind, responsable du fonds des monnaies médiévales, pour avoir mis à notre disposition les monnaies pour analyses, ainsi que Benjamin Saint-Jean-Vitus, responsable d’opération des fouilles de Saint-Genest de Nevers.

98  Nous remercions Guillaume Sarah et Amel Teboulbi pour avoir réalisé ces analyses.

99  Voir Sarah et al. 2007 pour une présentation de la méthode LA-ICP-MS et du protocole utilisé pour ces analyses effectuées en 2008.

100  Pour une présentation de la méthode voir par exemple Beauchesne, Barrandon 1986 ; Beauchesne et al. 1988.

101  Meeks 1993.

102 Meeks 1993, p. 257.

103  Phénomène de dézincification des laitons, voir par exemple Aucouturier 2007.

104 Quelle que soit sa mise en pratique, l’étamage se termine par un brunissage pour rendre la surface étamée brillante (Meeks 1993, p. 255). Il est donc logique d’étamer le flan puis de le frapper.

105  Voir, par exemple, Pline l’Ancien (Zehnacker 1983, p. 161-162), Théophile (de L’Escalopier 1977, chapitre XXIV, p. 43), Mappae Clavicula (Smith et Hawthorne 1974, recette 115, p. 46).

106 Voir Meeks 1993, p. 255. Le procédé électrochimique est exclu car il laisse une très fine couche d’étain, sans commune mesure avec l’épaisseur de l’étamage des monnaies étudiées ici.

107 Voir par exemple les ateliers de faux-monnayage mis au jour dans l’Aude et datés de la fin du xv^e et du xvi^e siècle qui ont pratiqué l’argenture à l’amalgame (Arles 2011 ; Arles et al. 2013) ou le trésor de Preuschdorf dont les faux Schüsselpfennige témoignent de l’utilisation de diverses techniques d’argenture, dont celle au mercure (Beck et al. 2010). Par contre, ce procédé n’aurait pas été beaucoup employé pendant l’Antiquité (La Niece 1993 ; Anheuser 1997). Il a été identifié pour la couverte d’un faux antoninien au nom de Philippe (Blanchet, 2015) et aurait servi à argenter la production officielle de nummi tétrarchiques fin iii^e début iv^e s. (Vlachou et al. 2007), mais ce dernier résultat est contradictoire avec ceux d’études précédentes (Anheuser, France, 2002).