Table des matières

Introduction

Hélène Buisson-Fenet, Valérie Fontanieu et Lisa Marx

Que sont devenus les élèves issus des dispositifs Ulis et Segpa ?

Un éclairage sur deux volets de la « difficulté scolaire » à travers Génération 2017

• Introduction
• 1. La 3^e Ulis/Segpa concerne davantage des jeunes hommes d’origine et de conditions de vie modestes
• 1.1. Une surreprésentation masculine différenciée
• 1.2. Des parents peu qualifiés plus souvent nés à l’étranger, des mères plus souvent inactives
• 1.3. Une domiciliation défavorisée, une décohabitation plus tardive
• 1.4. Comparaison dans le temps entre les vagues d’enquête Générations G10, G13, G17
• 2. Un parcours scolaire difficile
• 2.1. Des redoublements plus fréquents, une orientation après la 3^e plus souvent subie
• 2.2. Des spécialités de CAP moins diversifiées et moins qualifiantes
• 2.3. Comparaison dans le temps entre les vagues d’enquête Générations G10, G13, G17
• 3. Une insertion professionnelle et une situation en emploi beaucoup plus incertaines
• 3.1. Des trajectoires vers l’emploi plus erratiques…
• 3.2. … pour un contrat de travail précaire et un niveau de salaire modeste
• 3.3. Comparaison dans le temps entre les vagues d’enquête Générations G10, G13, G17
• Conclusion

Philippe Lemistre et Benjamin Saccomanno

Les bacheliers technologiques en gestion : évolutions des publics et des parcours dans le système éducatif et à l’insertion

• Introduction
• 1. Un diplôme qui reste attractif, un public peu à peu plus féminisé et d’origine moins populaire
• 2. L’après-bac : de plus en plus haut avec une logique de filière renforcée
• 3. Parcours de STMG dans le supérieur : quelles ségrégations ?
• 4. Accès à l’emploi et qualité des emplois occupés
• Conclusion

Arnaud Dupray et Stéphanie Moullet

Bacheliers professionnels et poursuite d’études : du « bon » usage du temps dans la transition vers l’emploi

• Introduction
• 1. Problématique
• 1.1. Théorie de la décision de poursuite d’études
• 1.2. Hypothèses
• 2. Données et méthodologie
• 2.1. Données et plans de comparaison
• 2.2. Méthode économétrique
• 3. Résultats descriptifs
• 3.1. Statistiques des indicateurs d’insertion : des positions relatives variables selon l’approche
• 3.2 Les facteurs prédisposant à la réussite dans les études supérieures
• 4. Résultats des modèles de matching
• Conclusion

Sandrine Knobé, Anne Benoit et Lilian Pichot

Les diplômés en STAPS au regard des autres diplômés de l’enseignement supérieur : quelques singularités remarquables, des études à l’emploi

• Introduction
• 1. Situations d’emploi des diplômés en STAPS : similarités et différences d’avec les autres diplômés de l’enseignement supérieur
• 1.1. De quelques singularités des diplômés en STAPS
• 1.2. Opinions sur leur situation d’emploi
• 2. Éléments de compréhension des caractéristiques des emplois des diplômés en STAPS
• 2.1. Accès à l’emploi
• 2.2. Parcours de formation
• 2.3. Expériences de travail « qualifiantes »
• Conclusion

Benoit Cart, Marie-Hélène Toutin et Lola Lercari

Avant la réforme de la formation en alternance, comment les jeunes profitent-ils de ces dispositifs dans l’enseignement supérieur ?

• Introduction
• 1. Les étudiants sont-ils différents des apprentis et des jeunes en contrat de professionnalisation ?
• 2. Quels sont les effets de ces modes de formation différenciés sur l’insertion professionnelle ?
• Conclusion

Elise Tenret et Elise Verley

L’épanouissement au travail à l’épreuve des expérimentations en cours d’études

• Introduction
• 1. Des jeunes épanoui·es professionnellement ?
• 1.1. Un sentiment de se réaliser professionnellement majoritaire
• 1.2. Des jeunes plutôt satisfait·es et optimistes vis-à-vis de leur emploi
• 2. Un sentiment d’épanouissement tributaire des conditions de travail plus que des parcours de formation
• 2.1. Un effet des conditions de travail
• 2.2. Un sentiment peu tributaire du niveau de formation
• 3. L’effet inégal et limité des expériences en cours d’études
• 3.1. Une diversité d’expériences en cours d’études inégalement partagées et institutionnalisées
• 3.2. Un effet limité sur le sentiment de se réaliser professionnellement
• Conclusion

Fanette Merlin et Alexie Robert

Interrompre temporairement ses études : diversité des pratiques, des publics et effets sur l’insertion

• Introduction
• 1. Le public des interruptions temporaires d’études
• 2. Une typologie des interruptions d’études
• Classe 1 : interruptions pour travailler (37 %)
• Classe 2 : césures à l’étranger pour apprendre une langue (15 %)
• Classe 3 : interruptions pour raison de santé (6 %)
• Classe 4 : interruptions pour faire une pause (11 %)
• Classe 5 : interruptions pour faire du bénévolat ou volontariat (3 %)
• Classe 6 : interruptions pour une autre raison (28 %)
• 3. L’obtention du diplôme de fin d’études après l’interruption
• 4. Avoir interrompu temporairement ses études est-il un atout pour trouver un emploi ?
• Conclusion

Arnaud Dupray

Les séjours à l’étranger en cours d’études : une portée sur l’insertion qui dépend de ses caractéristiques

• Introduction
• 1. Les enseignements de la littérature
• 2. Méthodologie
• 3. Résultats
• 3.1 Caractéristiques des expériences de séjour à l’étranger
• 3.2 Des séjours de natures différentes
• 4. L’incidence des séjours sur les conditions d’accès à l’emploi pour les sortants du supérieur
• 4.1 Des effets duséjour surtout visibles sur les niveaux de salaire et de qualification
• 4.2 La nature du séjour : des effets positifs de la durée, du diplôme et du pays d’accueil
• 4.3 Des effets du séjour qui persistent en contrôlant un éventuel biais d’endogénéité
• Conclusion