Table des matières

• 0.1. De notre rapport ordinaire aux dispositions : une évidence empirique teintée de méfiance
• 0.2. Les dispositions en questions
• 0.2.1. La distinction dispositionnel – catégorique
• (a) L’élimination des dispositions
• (b) la réduction des dispositions
• (c) Défendre les dispositions ?
• 0.2.2. Les analyses des attributions de dispositions
• (a) L’analyse conditionnelle simple (ACS)
• (b) Les dispositions « traîtresses », « simulées », « masquées » et les antidotes
• (c) Les analyses conditionnelles sophistiquées
• (d) Les analyses non conditionnelles et leurs limites
• 0.2.3. Les dispositions et leurs bases catégoriques
• (a) La notion de base causale
• (b) La possibilité des dispositions nues
• (c) La relation des dispositions à leurs bases.
• 0.2.4. Le caractère intrinsèque des dispositions
• 0.2.5. L’efficacité causale des dispositions
• 0.3. Une position leibnizienne aujourd’hui ?
• 0.3.1. Méthodologie et hypothèses de recherche
• 0.3.2. Le « cas » des dispositions probabilistes ou stochastiques

I. La dynamique contre le paradigme cartésien

Chapitre 1

• 1.1. Contre Aristote
• 1.2. La substance étendue
• 1.3. La « clé » du paradigme

Chapitre 2

• 2.1. Genèse historique et rationalité conceptuelle de la Dynamique
• 2.2. Les trois périodes de la physique leibnizienne
• 2.3. La notion de « forme substantielle »
• 2.4. La période « corpusculaire »
• 2.5. Le programme de réduction analytique des qualités
• 2.6. La métrique de la force vive
• 2.7. La synthèse dynamiste : enjeux épistémologiques et ontologiques
• 2.8. Formes substantielles, pouvoirs et dispositions
• 2.9. La « complémentarité » métaphysique et le rôle des pouvoirs en physique
• 2.10. Bilan provisoire

Chapitre 3

• 3.1. La notion d’action, clé de voûte de la terminologie leibnizienne ?
• 3.2. Force et action motrice
• 3.3. Le problème général
• 3.4. « L’effet formel »
• 3.5. L’argumentaire a priori
• 3.6. Quelques précisions sur la notion d’a priori chez Leibniz
• 3.7. Les difficultés soulevées par l’argumentaire a priori et l’interprétation de la notion d’ « effet formel »
• 3.8. Une Mathématique des qualités
• 3.9. L’action motrice, une propriété à la fois métaphysique et dynamique
• 3.10. Un premier bilan conceptuel

II. Leibniz, critique du paradigme empiriste de la puissance

Chapitre 4

• 4.1. En quel sens parler d’un paradigme empiriste à propos de l’interprétation des pouvoirs ?
• 4.2. Une analyse empiriste et réaliste des pouvoirs
• 4.3. La position d’Harré
• 4.4. L’analyse conditionnelle et ses limites
• 4.5. Les natures contre les vertus dormitives
• 4.6. Locke et les pouvoirs
• 4.7. L’héritage de Locke dans le débat contemporain
• 4.8. Une épistémologie sans ontologie ?
• 4.9. Le pouvoir des qualités : la « perspective-limite » de C.B Martin et ses limites

Chapitre 5

• 5.1. La critique de la distinction entre qualités premières et qualités secondes et tertiaires
• 5.2. Un réalisme épistémologique et ontologique
• 5.3. La résolution analytique des qualités sensibles
• 5.4. Distinguer l’analyse épistémologique de l’analyse ontologique.
• 5.5. Le traitement leibnizien de la notion de « pouvoir causal ». Les deux sens de la notion de « cause »
• 5.6. La causalité comme rapport expressif et non modal

Chapitre 6

• 6.1. Réalisme modal vs conceptualisme modal : les enjeux de l’interprétation ontologique de la force
• 6.2. La force comme pouvoir « intelligible »
• 6.3. Les forces dérivatives.
• 6.4. Des dispositions aux forces

III. Actualité, pouvoir causal et contingence : le paradigme leibnizien de la puissance

Chapitre 7

• 7.1. L’interprétation réaliste contemporaine
• 7.2. L’actualité de la puissance chez Leibniz
• 7.3. Forces primitives et substances corporelles
• 7.4. Statut ontologique des forces dérivatives
• 7.5. Attributs, modes et accidents
• 7.6. La piste des accidents réels
• 7.7. Une réinterprétation substantialiste du critère causal de l’existence ?

Chapitre 8

• 8.1. Des pouvoirs plutôt que des lois ?
• 8.2. Un aristotélicien au pays des Modernes
• 8.3. Contre l’analyse conditionnelle, distinguer le potentiel de l’effectif ; la notion de causation
• 8.4. Insuffisance de la position néo-essentialiste en faveur des propriétés dispositionnelles
• 8.5. Une ontologie de tendances
• 8.6. Quelques interrogations
• 8.7. Leibniz, les pouvoirs et les lois
• 8.7.1. Action sur soi et rejet de la causalité transitive
• 8.7.2. L’analyse leibnizienne de l’action
• 8.7.3. « Actio in seipsum »
• 8.7.4. Une activité intrinsèque, spontanée et réflexive
• 8.8. La doctrine de l’harmonie préétablie, cheval de Troie régulariste ?
• 8.9. En quoi consiste la doctrine de l’harmonie préétablie ?

Chapitre 9

• 9.1. Des propriétés plutôt que des lois
• 9.2. Essentialisme et nécessitarisme
• 9.3. Les réserves de Mumford : un essentialisme bien tempéré ?
• 9.4. Essence et « notion complète »
• 9.5. Essentialisme et « superessentialisme » : la notion de genre en question
• 9.6. Universalité ou particularité des attributions de propriétés
• 9.7. Notions « complètes » et notions « spécifiques »
• 9.8. Le caractère architectonique et contingent des lois de la Dynamique
• 9.9. De la réalité accidentelle des pouvoirs physiques

• 10.1. En quoi la lecture de Leibniz se trouve-t-elle enrichie par les problématiques contemporaines ayant trait aux dispositions ?
• 10.2. En quoi cette interprétation de la philosophie de Leibniz permet-elle de clarifier les enjeux discutés dans les débats contemporains sur les dispositions ?

Annexes

Annexe A

• A-1.Une position néo leibnizienne ?
• A-2. Une interprétation à la fois critique et réaliste de la mécanique quantique
• A-2.1. Les limites de l’expérience
• A-2.2. En faveur du réalisme scientifique
• A-3. Une ontologie de dispositions et de pouvoirs.
• A-4. La typologie des puissances dans la philosophie de Leibniz
• A-5. Expression
• A-6. La notion de pouvoir causal
• A-7. Les entités « appareillage-monde » et les monades
• A-8. Des pouvoirs ou des substances ?
• A-9. Le réalisme leibnizien face à la physique contemporaine
• A-9.1.Connexionisme et déterminisme
• A-9.2. Les théories de la variable cachée
• A-9.3. Le réalisme des variables cachées

Annexe B

• B-1. La notion de propension chez Popper
• B-1.1. Propensions et fréquences statistiques
• B-1.2. Propensions et possibilités
• B-1.3. Propensions et forces variables
• B-2. L’interprétation leibnizienne de la probabilité
• B-2.1. Questions de méthode
• B-2.2. Les racines juridiques du projet leibnizien.
• B-2.3 L’estimation du probable
• B-2.4. L’aléatoire
• B-3. Pour conclure : le déterminisme de Leibniz est-il fortuit ?