Table des matières
Claudine Tiercelin
Connaissance philosophique, connaissance des essences : où en sommes-nous ?Roger Pouivet
Sommes-nous faits pour connaître ?- 1. Le problème de la désintégration
- 2. « Tous les hommes désirent naturellement savoir »
- 3. Métaphysique et métaphysique
- 4. Anti-réceptivisme et pessimisme épistémologique
- 5. L’identité du connaissant et du connu
- 6. La quiddité comme objet propre de l’intelligence
- 7. Après Plantinga, saint Thomas
- 8. Anti-moderne
Jean-Marie Chevalier
Entre analyse conceptuelle et essentialisme a posteriori, l’introuvable épistémologie hybride de la métaphysique et la tâche interprétative de la philosophie- 1. Quatre définitions de la métaphysique
- 2. Deux voies d’accès à la connaissance métaphysique
- 3. Du côté de l’essentialisme a posteriori : une introuvable métaphysique normative
- 4. Quelques clarifications sur la clarification conceptuelle
- 5. Du côté de l’analyse conceptuelle : une introuvable métaphysique « descriptive »
- 6. Le problème de la généralité : ni abstraction ni déduction
- 6. L’improbable épistémologie hybride
- 7. Proposition : la tâche interprétative de la philosophie
Jean-Baptiste Guillon
L’essence et le sens commun- 1. La métaphilosophie du sens commun
- 2. Le problème de la définition nominale du mot « essence »
- 3. Les catégories du sens commun qui pourraient servir dans une définition de « l’essence »
- 3a. Nécessité de dicto et nécessité de re
- 3b. Catégories sortales et catégories non sortales
- 3c. La distinction entre attributs définitionnels et attributs caractéristiques
- 3d. La cause non évidente des attributs caractéristiques
- 4. Quelle définition pour le mot « essence » ?
- Conclusion
Alexandre Declos
Sur la « découverte » de l’essence- Introduction
- 1. L’essentialisme Kripke/Putnam
- 1.1. La théorie causale de la référence et l’externalisme sémantique
- 1.2. Le nécessaire a posteriori
- 1.3. Le microessentialisme
- 1.4. L’orthodoxie K/P et la découverte de l’essence
- 2. Contre l’orthodoxie K/P
- 2.1. Le scénario de Terre-Deutérium
- 2.2. Les conséquences du scénario de LaPorte
- 2.3. Contre le microessentialisme
- 2.4. Des essences « stipulées » ?
- 3. Prolongements métaphysiques et épistémologiques des analyses de LaPorte
- 3.1. L’essence en abondance
- 3.2. Une vertu épistémique de l’essentialisme abondantiste
- 3.3. Sur la connaissance des essences
- Conclusion
Vincent Grandjean
L’approche non-modale de l’essenceFilipe Drapeau Vieira Contim
La nécessité sans l’essence : le problème de la distinction numérique- Introduction
- 1. La conception pré-modale de l’essence
- 2. Le principe de fondation essentielle
- 3. Le contre-exemple des distinctions non essentielles
- 4. Essences conjointes et objets abstraits
- 5. Le principe des indiscernables essentiels
- 6. Distinction et différence de catégorie
- 7. De l’identité essentielle à la distinction essentielle
- 8. Pluralités et essences collectives
- Conclusion
Pierre Saint-Germier
L’analyse contrefactuelle de l’essence- Introduction
- 1. Connaissance modale et raisonnement contrefactuel
- 2. Raisonnement contrefactuel et connaissance des essences
- 3. Les accidents nécessaires et les contrepossibles
- 4. Les mondes impossibles des essences sans accidents
- 5. Être et ne pouvoir être soi
- 6. De la logique des contrefactuels à la logique de l’essence
- Conclusion
Nathan Wildman
Against the epistemology of essenceAnna Marmodoro
Le dynamisme des pouvoirs causaux- 1. Le problème de la boîte noire
- 2. Propriétés téliques
- 3. L’orientation des pouvoirs
- 3.1. Intentionnalité physique
- 3.2. Relations de fixation d’identité
- 3.3. Une relation de production ?
- 4. Complexité intrinsèque et dépendance extrinsèque des pouvoirs
- 5. Bilan
- 6. Tu quoque, mais pour une raison précise
- Conclusion
Jean-Paul Paccioni
« Des propositions utiles tant à la science qu’à la vie », Wolff et la « forme authentique des propositions »- Introduction
- 1. Les caractéristiques de la « forme authentique des propositions » et l’introduction de la notion de proposition déterminée
- 2. La chose représentée et le mariage de l’a priori et de l’a posteriori ; non pas un formalisme vide et abstrait mais l’invention de l’articulation du logique, du psychologique et de l’ontologique
- 3. La chose représentée, la détermination conceptuelle, l’essence réelle et l’objet de l’ontologue
- Conclusion